Moderatus est de
retour avec ses dadas : l’Islam et ses dérives ( qui pour lui n’en sont pas ).
L’Islam, cette pathologie de la folie, qu’il faut éradiquer pour soigner ses fidèles.
Grand « exégète » de
l’Islam et pourfendeur de tout ce qui ressemble de près ou de loin
à un islamiste , c’est-à-dire comme le seul signe distinctif
qu’arborent ses adeptes ( qui pour la plupart ne fréquentent surtout pas les mosquées ), tout qui est issu d’une communauté
bien spécifique génériquement appelée arabe.
.Ces mosquées que notre chevalier blanc veut
fermer, j’entends bien toutes car on n’est jamais trop prudent.
L’attentat de Barcelone nous donne droit au sempiternel inventaire de tous les malheurs qui frappe
notre communauté avec la complicité passive ( sûrement )
de nos autorités accusées de laxisme ( de ne pas préparer
l’épuration ethnique ? ) et de ne pas utiliser la manière
forte qui permettrait à Moderatus de dormir sur ses deux oreilles
dans un monde apaisé et bien en phase avec les valeurs
traditionnelles du IXXe siècle quand nous étions chez eux et que
nous nous faisions respecter à la schlague pour notre pur profit.
Que comptaient les
morts à cette époque ? Si peu de choses car ils n’étaient
pas comptabilisés dans les vrais hommes, ce n’était que des indigènes parfois
valant moins que le cheptel des colons.
Je ne vais pas me
lancer dans une folle discussion sur les dogmes des religions, y
compris celle traditionnelle de la France, le catholicisme dont
l’interprétation est laissée à l’appréciation mentale de
l’officiant mais dont la diffusion est soumise aux contraintes de
la loi, ce serait oiseux et de toute manière inopérant sur
quelqu’un qui a choisi le camp de son bien contre celui de l’Islam
dont il se sert et abuse lorsqu’il nous gratifie de commentaires au
demeurant pas mal tournés, ce qui les rend encore plus pernicieux.
Lui dire que l’Islam sert de support à une action politique qui vient en réaction à des crimes que nous commettons sous d’autres cieux, Onfray l’a dit bien mieux que je ne saurais le faire et son humanisme tranche avec le cynisme mortifère d’un Houellebecq qui nous torche un roman d’anticipation que des naïfs prennent pour argent comptant.
Que Moderatus sache
cependant qu’à taper sur le même clou, on finit par lasser le
lecteur.