Quand on écrit un papier destiné à decredibiliser L’EPR et que l’on affirme, contre l’avis de L’ASN qui s’appuie sur des essais et calculs validé par un collège d’experts, que la cuve primaire risque de se fissurer au niveau du couvercle, il faut s’attendre à des réactions peu agréables.
Derrière il y a l’enjeu de la survie de notre industrie nucléaire, un élément stratégique pour notre pays et l’emploi.
Les magouilles d’Anne Lauvergeon mise en place par Mitterand, qui en connaissait un rayon sur ce plan, et les manipulations financières de Bollore, constituent clairement un handicap pour nos entreprises du domaine. Comme tous les incompétents qui se sont succédés au ministère de l’écologie à qui on a donné la mainmise sur l’industrie ce qui est une manière de tuer celle-ci.
Avec Hulot le businessman opportuniste de l’écologie politique on atteint d’ailleurs un sommet dans le domaine de la démagogie irresponsable.
Depuis les années 90 notre industrie nucléaire et notre recherche, pas seulement dans ce domaine, subissent des coups, comme le criminel sabotage du Super Phénix, qui servent aussi à justifier de nouvelles attaques.
Notre industrie nucléaire a été victime d’un moratoire d’une quinzaine d’années, une éternité dans le domaine (voir les difficultés de Renault à faire maintenant un moteur de F1 compétitif alors que c’est Renault qui a lancé les moteurs turbos dans cette discipline) Cela ne peut que laisser des traces. Alstom énergie à été vendu à l’américain Général Electric par les amis de monsieur Victor.
Dernièrement toute la mouvance écolo, y compris dans des syndicats et partis politiques, était mobilisée pour faire capoter les projet d’EPR en GB.
La survie de notre industrie nucléaire était en jeu.
Donc il est bien clair qu’à un moment si les choses ne sont pas inversées, tout ce contexte politique et financier va finir par tuer notre pays.