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Commentaire de Jonas

sur Natacha Polony dénonce les pompiers pyromanes de l'islamisme radical


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Jonas Jonas 26 août 2017 14:23

@BA « monde arabe qui ne cessent de rappeler que l’Europe « devrait tout » aux califats passés de Bagdad et Al-Andalus, qui lui auraient permis de connaître une science que les Européens auraient en quelque sorte « volée » aux Arabo-musulmans »


Extrait de l’ouvrage de Darío Fernández-Morera, « « Le mythe du paradis andalou »  » afin de donner un aperçu de la « tolérance islamique » dans l’Espagne islamisée :

« Dans la jurisprudence malékite, une esclave sexuelle achetée sur une place de marché, ou capturée dans un raid guerrier, ayant des rapports sexuels avec son maître, devient son esclave sexuelle, une « jariya » (ou djariya, une concubine).
Sous la dynastie Omeyyades, Al-Andalous est devenu un centre de commerce et d’échanges d’esclaves : jeunes femmes esclaves sexuelles, même quelquefois âgée de 11 ans, enfants mâles castrés pour devenir des eunuques dans les harems, enfants mâles capturés et entrainés dans des campements pour devenir des esclaves guerriers, enfants utilisés comme jouets sexuels par les puissants (comme le calife Abd-Al-Rahman III qui était « amoureux » d’un enfant Chrétien capturé nommé Pelayo : refusant les avances sexuelles du Calife, Pelayo a alors été torturé, martyrisé et tué), hommes utilisés comme serviteurs ou travailleurs pour tout usage concevable, les êtres humains de tout âge et race étaient achetés et vendus.

Le prix d’un esclave dépendait de son âge, de son sexe, de sa race, et de ses capacités. Les esclaves blanches, en particulier les blondes, souvent capturées dans des raids menés sur les terres chrétiennes, étaient les plus recherchées. En 912, pendant le règne de l’âge d’or du Califat Omeyyades de Cordoue, le prix d’un esclave mâle noir était de 200 dirhams (pièces) d’argent. Une fille noire de Nubie étaient vendue pour 300 dinars d’or. Une femme blanche sans éducation coûtait 1 000 dinars d’or. Une femme blanche capable de chanter, valait 14 000 dinars.
La cour du Calife Abd-Al-Rahman III comptait 3 750 esclaves, un harem de 6 300 femmes, et son armée incluait 13 750 esclaves guerriers. »
Darío Fernández-Morera, « Le mythe du paradis andalou » p158-159

Les conquérants jihadistes Musulmans qui ont envahi l’Espagne de 711 à 1492, ont provoqué pendant des siècles guerres entre factions rivales pour la conquête du pouvoir, conflits ethniques et religieux, destruction de villages, d’Églises et de Synagogues, persécutions et réduction en esclavage des populations locales chrétiennes et juives.
A l’image de Al-Andalous, dans les pays musulmans, les Chrétiens et les Juifs subissent une extinction inexorable, par l’interdiction de construction de nouveaux lieux de culte, les brimades et les persécutions. Au Maroc, les Chrétiens ne représentent plus qu’une population de 8 000 personnes, et il n’y a plus que 4 000 Juifs. 99,9% de la population marocaine est musulmane, autant dire que la présence du Christianisme et du Judaïsme est maintenant anecdotique. Tout comme en Algérie, où la communauté chrétienne est devenue pratiquement inexistante (0,2% de la population algérienne), le simple fait de posséder une Bible peut être passible de poursuites judiciaires.

Depuis des siècles, les espAgnols fêtent la libération de leur peuple du joug islamique :

https://www.youtube.com/watch?v=G7-ZstEKQeY
https://www.youtube.com/watch?v=blUEMUfdb2Q



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