"Et quand la plaignante, ou son avocat(e), ont eu l’imprudence d’utiliser
les mots tabou, « perversion », et « narcissique », elle peut même se
faire sévèrement châtier...«
Et à raison ! La victime doit décrire les faits, pas juger l’adversaire. Elle n’est pas psychiatre.
Le pendant du parano ou du PN, c’est »la victime".
Qui peut être innocente, avoir (parfois) un penchant maso, ou au contraire (eh oui), être une sainte-nitouche de première, toute contente d’utiliser l’idéologie pleurnicharde-victimaire qui développe et encourage si bien le fayotisme !
Ah les petites fayotes (mais on trouve aussi des fayots). Sournoises, harceleuses, si mignonnes, si attendrissantes, si patientes et toujours en butte aux beaufs de l’univers ! Il n’y a pas très longtemps, on disait de ces gens, sans les psychologiser le moins du monde : menteur, menteuse, fourbe, hypocrite, brutal(e), rusé(e), sans scrupules, voyou, voyouze, escroc, et pire encore. Sans langue de bois, et en privé.
La littérature regorge de ces personnages. Heureusement, sinon on s’ennuierait.
https://www.youtube.com/watch?v=nlGdDGlXXcg
Depuis que le monde est monde, elles s’entendent à rouler dans la farine ces gros naïfs de bonshommes, qui ne comprennent rien par nature aux méandres cérébraux très imbriqués de leurs compagnes. En s’appuyant sur tout ce qu’elles peuvent : une jugesse misoandre, un discours lacrymal, des preuves inventées, un gosse ou même deux, leur mère, leur soeur, leur frère, des mensonges éhontés !
Les PN et les paranos sont devenus autant féminins que masculins. Le PN est plutôt riche, politicien, médiateux, commerçant, communiquant. Le (la) parano est moins pourvu(e). Il ou elle a peur de perdre. Le (la) PN n’a pas froid aux yeux, et vous ment dans la gueule : tout le système le soutient ! Bien décrit dans l’article.