Psychologue ayant été confrontée à la problémartique, je peux simplement affirmer qu’on ne guéri jamais de l’autisme. L’autisme est la forme la plus archaïque de la psychose. Une forme de non-désir d’entrer dans le monde des vivants et de la réalité . Mais la psychanalyse ou l’accompagnement psychologique restent indispensables pour encadrer toutes les personnes qui sont confrontées au problème. En premier lieu, les parents, ensuite, tout le personnel soignant. On peut juste apprendre des rudiments d’autonomie (apprendre les gestes élémentaires de l’existence, je parle ici de l’autisme profond et a-relationnel : cela relève plus de Pavlov que de la thérapie.). Mais n’oubliez jamais en quoi consiste la psychose dont les psychanalystes ont au moins donné une bonne définition : l’effort pour rendre l’autre fou. Et là le psychanlyste est très utiles pour aider l’entourage à comprendre un peu comment fonctionne le psychotique. Mais l’idéal serait d’arriver a ce qu’il y en ai moins. Hélas, dans notre société qui sombre elle-même lentement dans le psychose, le nombre des autistes augmente de façon exponentielle. Les autistes ont au moins un intérêt. Celui de faire comprendre : que le monde tel qu’il est devenu, inconsciemment ils n’en veulent. D’autre meurrent de mort subite. Je possède deux carte postales du début du siècle qui représentzent, l’une un bébé qui sort d’un oeuf et l’autre qui y retourne aussitôt. Mais paraît-il le roi philippe ainsi que Zuckerberg souffrent aussi d’une forme d’autisme que l’on appelle le syndrôme d’Asperger. Ces personnes sont souvent très douées sur le plan technologique mais débile sur le plan social (pour quelqu’un qui a inventé un soi-disant réseau social,...qui enfonce encore plus les individus dans l’autisme puisque la plupart du temps, les facebookeurs ne s’adressent qu’à des pseudos, c’est à dire qu’ils se parlent à eux-même, comme la nymphe Echo qui répond à Narcisse,...