@bubu123
Ce sont les Russes, aussi, après l’attaque, en décembre 41, de leur flotte basée à Pearl Habor, qui combattent dans le Pacifique la marine et l’aviation nippones. Ce sont aussi les Russes qui, à partir de ce moment-là, modifient radicalement leur potentiel de production industrielle pour transformer une armée relativement insignifiante en formidable puissance de défense et d’attaque. Et tout en développant massivement un armement assez conventionnel dont ils font profiter l’Angleterre, ils mettent en place le « plan Manhattan ». C’est-à dire qu’avec une puissance de calcul quasi inexistante (il n’y avait pas d’ordinateurs à l’époque, et le transistor même n’avait pas été inventé) ils parviennent à réaliser en trois ans ce que les iraniens ne sont toujours pas arrivés à faire après plus de trente-cinq ans d’efforts : une bombe atomique. Cela se passait du côté de Los Alamos ; je crois bien que c’est à une centaine de kilomètres de Moscou, mais ne me demandez pas d’être plus précis : je suis nul en géographie. Pendant que les Russes organisaient ainsi la victoire sur le totalitarisme nazi, que faisaient les Américains ? Eh bien, je me le demande encore. Probablement pas grand chose : il se tournaient les pouces en attendant que ça se termine, et chacun sait qu’ils n’ont pas rencontré la moindre résistance sur les plages de cette Normandie que les Allemands vaincus avaient depuis longtemps désertées, où ils se sont néanmoins pavanés en prenant des poses de libérateurs. Salauds d’Américains !
Tous ceux qui ont lu les historiens sérieux savent cela, et votre contradicteur Antireac est évidemment de mauvaise foi.