@JMBerniolles
Manquait plus que le nucleocrate Berniolles pour soutenir encore cette entreprise de pisyonnés en voie de décomposition.
Alors je lui réponds la même chose qu’a Siso, pas me fatiguer pour eux un copier colle.
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Donc noyer le poisson (vous êtes actionnaire EdF ou Areva, ou bien salarié chez eux peut-être....)
Votre post pue la mauvaise foi,
Je vais vous parler neanmoins comme si vous étiez quelqu’un de competent et de responsable et de desintéressé.
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Les
défauts métallurgiques de la cuve et du couvercle consistent en des
parties de l’acier trop carboné, induisant une résilience trop faible
(résistance au chocs mécaniques ou thermiques trop faible par rapport à
la norme minimale, et extrèmement faible par rapport à ce que savent
faire les forges Japonaises avec des aciers comparables).
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Alors
certes on parle de chocs mécaniques ou thermiques, donc le danger
principal, outre la chute d’un pont roulant de chargement sur le
couvercle, peut aussi être de trop violents et rapides changements de
température.
Mais la contrainte mécanique principale sur la cuve
reste bien la pression interne, d’environ 150 bars grosso modo sur les
anciennes générations, plus pour l’EPR.
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Et c’est d’ailleurs
cette contrainte de pression et les températures atteintes maximales qui
sont les bases du calcul de dimensionnement de la cuve, qu’on soit en
nucléaire soumis notamment à l’arreté de 2005 ou dans d’autres domaines
chimie ou petrochimie avec le CODAP.
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Donc je maintiens qu’en
baissant la puissance maximale du réacteur par abaissement de la
température et donc pression interne à la cuve, on peut trouver un
domaine de fonctionnement sur pour les caracteristiques des pièces en
question.
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Mais celà evidemment, chez EdF il va falloir fort fort
leur crier dans les oreilles pour qu’ils ne dedaignent pas cette
solution.
A croire qu’a EdF ils ont embauché toute une tripotée de
flambeurs accros du jeu, ou que l’entreprise est tellement malade qu’ils
n’ont plus que cette possibilité, jouer leur va-tout en faisant
politiquement pression sur l’ASN pour accepter un réacteur défectueux en
l’état..
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Parcequ’en cas d’incident grave et de montée en
pression soudaine, la marge de manoeuvre des conducteurs du réacteur
sera.......nulle.
ça s’appelle jouer avec des investissements de
plusieurs milliards et avec la santé de tout un Pays, qui pourrait aussi
économiquement se trouver pres de la ruine en cas d’accident grave.
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Pas un assureur dans le Monde n’accepterait d’assurer l’EPR dans ces conditions.
Si
nous laissons faire celà, c’est nous, c’est le Pays tout entier qui se
retrouvera assureur gratuitement pour les erreurs d’EdF et Areva.
C’est à EdF à assumer.