@ kalachnikov,
Ce qu’il y a de bien avec vous, c’est qu’il faut toujours vous répétez les choses au moins trois fois. Quand ce n’est pas plus...
« A proprement parler, un malentendu, un quiproquo donc, dont je vous ai fait part très honnêtement à l’époque... »
Donc selon vous vous m’aviez signalé ce quiproquos à l’époque... ben je suis désolé, wouaw... que ne l’ai je vu auparavant. En fait, je vois très bien la séquence, lorsqu’on cherche à prendre les gens pour des cons comme dans votre message
ici, en citant un auteur sans prendre soin de le préciser et qu’on lui reproche ensuite sa « confusion » voilà ce qui relève de l’acte de parole pervers. Et de ce genre de situation, il n’en manque pas chez vous. Ce qui témoigne de votre éducation.
Sur le tutoiement, la séquence est résumé
ici. Mais bien sur, de votre point de vue, c’est moi qui suis passé au tutoiement... hé oui, confusion oblige bien sûr !
« De plus, il n’y avait nul notion de reproche mais une simple constatation, vous passiez, très cher, soudainement au tutoiement. (la formulation était malheureuse ; j’aurais dû écrire ’tu me tutoies maintenant, chéri’ mais bref.) »
Et oui, c’est bien ce que je dis, vous créez le problème et en accusez ensuite votre contradicteur. On sent l’expérience dans cette séquence.
La formulation n’a strictement rien à voir la dedans. Le problème est justement dans l’acte de parole que je viens d’évoquer : vous créez la confusion, sur la base de cette confusion vous provoquez et vous venez ensuite accusez celui que vous avez provoquez de s’être trompé. A quel moment vous jouissez ?
« Rien que dans la présente page, vous présentez une contestation ou une contradiction comme une absence d’aptitude à l’empathie chez une personne. »
Heu... comment vous dire ? Ce n’est surement pas moi qui vais confondre une contestation avec une contradiction et encore plus subtil, une contradiction avec une injonction paradoxale et encore... encore plus subtil, une injonction paradoxale avec un paradoxe fermée.
Venant de quelqu’un qui voue un fantasme à l’inceste, ce que vous voyez dans ma pratique m’importe peu en fait.
« Votre mode de penser, me semble-t’il, ne doit rien au débat intellectuel mais a tout du type religieux. Si vous jugez qu’un interlocuteur est indigne, cela ne relève pas pour vous d’un problème de communication mais de nature. »
Bah pour le coup, c’est pas faute de les dénoncer les problèmes de communication avec vous. A commencer par votre entrée en matière sous mon précédent article. Lorsqu’un interlocuteur me joue la chanson du
non, non, non... ben je refuse pas un pas de danse. C’est toujours marrant de voir la façon dont quelqu’un s’y prend pour justifier ses actes lorsqu’il est pris les doigts dans le pot de confiture.
« Je dois préciser que notre conversation à lui et moi demeura paisible bien qu’opposant des points de vue non convergents et sur un sujet compliqué. »
Ha bon ? Et c’est quelqu’un qui écrivait encore il y peu : « Quand vous dites des sornettes - vous n’êtes pas à l’abri de dire des sornettes quand même ? -, si quelqu’un vous dit non, ce n’est pas du tout parce qu’il veut combattre comme vous vous le figurez mais peut-être tout simplement parce que c’est faux. »
Bel exemple de ratiocination, sur un sujet aussi délicat et incertain que l’inceste, puisque c’est de ça qu’il s’agissait lorsque vous m’avez asséné vos « non » répétitifs, vous pouvez prétendre que vous dites non « tout simplement parce que c’est faux » ?
Dieu n’aurait certainement pas fait mieux... je m’incline. Vous êtes plus fort que J.-P. Vernant, que Claude Lévis-Strauss et consorts qui tiennent la thèse de l’inceste pour vrai.
Que dire ?
Je vous l’ai déjà dis : publier vos études et vos théories pour que l’on reconnaisse en vous le génie mal connu que vous êtes plutôt que de me tenir la grappe sur un forum tel que celui-ci. Vous valez mieux que ça !
Quant à mon style religieux, je vous le concède fort volontiers dès lors que je dois apporter la contradiction à un dieu incarné.
(Ne vous inquiétez pas, mes prochains messages seront beaucoup plus courts, on va pas refaire une énième fois le débat que nous avons tenu sous mon précédent article.)