@JMBerniolles
Il faut abaisser la puissance de ce réacteur
Les défauts métallurgiques
de la cuve et du couvercle consistent en des parties de l’acier trop
carboné, induisant une résilience trop faible (résistance au chocs
mécaniques ou thermiques trop faible par rapport à la norme minimale, et
extrèmement faible par rapport à ce que savent faire les forges
Japonaises avec des aciers comparables).
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Alors certes on parle
de chocs mécaniques ou thermiques, donc le danger principal, outre la
chute d’un pont roulant de chargement sur le couvercle, peut aussi être
de trop violents et rapides changements de température.
Mais la
contrainte mécanique principale sur la cuve reste bien la pression
interne, d’environ 150 bars grosso modo sur les anciennes générations,
plus pour l’EPR.
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Et c’est d’ailleurs cette contrainte de
pression et les températures atteintes maximales qui sont les bases du
calcul de dimensionnement de la cuve.
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Donc je maintiens qu’en baissant la
puissance maximale du réacteur par abaissement de la température et donc
pression interne à la cuve, on peut trouver un domaine de
fonctionnement sur pour les caracteristiques des pièces en question.
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En Angleterre, sur le site des futurs EPR, un ancien réacteur nucléaire fonctionne encore, à puissance réduite, par précaution, car il est vétuste.
Il faut réduire la puissance de l’EPR de Flamanville, et aussi de certains anciens réacteurs Français dont on a prolongé le fonctionnement, malgré leur vétusté.
A croire qu’a
EdF ils ont embauché toute une tripotée de flambeurs accros du jeu, ou
que l’entreprise est tellement malade qu’ils n’ont plus que cette
possibilité, jouer leur va-tout en faisant politiquement pression sur
l’ASN pour accepter un réacteur défectueux en l’état..