@carnac
Et qu’est ce qui impose ses volontés à l’UE ?
Révolution
de 2017 , terminons celle de1789
Pourquoi
la stratégie du chaos de l’UE
suite à la politique belliciste américaine ?
Après la fin de la guerre froide, les Etats-Unis/OTAN
après qu’ils eurent « assassinés » la Yougoslavie, ont
envahi l’Irak et l’Afghanistan, ont soutenu leurs alliés attaquant la Libye et le Yémen et ont
fomenté des insurrections en Syrie et en Ukraine. Et Amérique latine. Etant donné que la plupart de ces entreprises
se sont enlisées dans leur guerre par « proxy » avec l’emploi de
milices mercenaires peu fiables, nous
espérons – parfois avec un malin plaisir –que le superpouvoir anglo-yankee est
en phase de déclin final.
L’avertissement du président Eisenhower en
1961, présageant que le complexe militaro-industriel allait un jour embourber
le pays dans des guerres sans fin, semble se confirmer plus que jamais.
Mais se pourrait-il que la défaite sur les
champs de bataille soit davantage dans l’intérêt du complexe militaro industriel des Etats-Unis que la victoire ? C’est en quelque sorte un développement de
« l’ ‘étrange défaite » qu’a connue la France dans les années 1940
! Manifestement, ce complexe très
controversé gagne même davantage avec des conflits interminables.
Cela nous
ramène immanquablement au Courant ultra-minoritaire, voire folklorique, de la
mouvance nationale française issue de l’européisme découlant lui-même du
collaborationnisme du milieu du 20émé siècle, mais toujours présent et
constituant l’épine dorsale de « l’oligarchie , le nationalisme blanc
y apparaissant comme un phénomène, issu marginalement d’une évolution tardive
d’un courant tirant son origine d’une version « réduite » de l’occidentalisme.
Et majoritairement de l’importation en France des
thèses d’auteurs comme William Luther Pierce, Greg Johnson, Artur Kemp, Samuel
Jared Taylor ou Richard Bertrand Spencer à la faveur et survivance de la
collaboration pétainiste qui fut essentiellement, quoiqu’en écrivent les
historiens à la botte, une collaboration financière avec les gouvernements anglo-yankees soutenant
le nazisme via Wall Street et la
City bien que leurs pays d’accueils soient ouvertement en
guerre avec l’Allemagne.
Le point commun de tous ces auteurs est qu’ils sont
anglo-saxons et il n’est pas nécessaire d’étudier bien profondément leur pensée
pour se rendre compte que leur nationalisme blanc est avant tout un nationalisme
des blancs anglo-saxons et nordiques, dans lequel
les peuples latins et slaves pas plus que les peuples asiatiques, africains où
amérindiens n’ont nulle place.
Ceci est logique quand on dresse la généalogie de ce
courant qui est issu d’un sionisme non-juif né au sein du protestantisme
britannique : l’anglo-israélisme.