@gogoRat
« ne nous montre que le credo de l’auteur ... mais n’est en rien démontrée ! »
Voilà ce que c’est que d’ignorer l’histoire en pensant que ça ne sert à rien.
"Pire,
elle risque bien de montre avant tout le contresens que fait l’auteur
sur la liberté démocratique voulue par le peuple français."
Quand
on voit l’ersatz de liberté dont il se contente, et qu’après avoir un
élu un président de la République, sur un mensonge impudent - « Mon ennemie, c’est la finance ! »
- il a élu ce que cette même finance produit de pire, sur la base de
255 couvertures de magazines polychromes, on a des doutes sur la
profondeur de cette volonté.
"Cette liberté
est INDISPENSABLE pour l’accepation du contrat social démocratique
pensé par JJ Rousseau ; elle est INDISPENSABLE et première, pour
l’avènement d’ une égalité en dignité véritablement choisie et non pas
contrainte, et pour que puisse être vécue et non pas seulement singée
une vraie fraternité !"
Tout cela, ce sont précisément les
conneries qui ont rendu notre société telle qu’elle est. Et ça se voyait
venir de loin, puisque Tocqueville la décrivait ainsi, en... 1840 :
Je vois
une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur
eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent
leurs âmes. Chacun d’eux, retiré à
l’écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres : ses enfants
et ses amis particuliers forment pour lui toute l’espèce humaine ; quant
au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d’eux, mais il ne les voit
pas ; il les touche et ne les sent point ; il n’existe qu’en lui-même
et pour lui seul, et, s’il lui reste encore une famille, on peut dire du moins
qu’il n’a plus de patrie.
Saisissant, non ?