C’est toujours la même chose. On ne voit jamais l’assaillant, pas
d’images de videosurveillance et comme à chaque fois, l’attaquant est
tué pour éviter toute reconstitution. On a droit éternellement au même
scénario diffusé en boucle par les médias autour d’une photo d’identité
d’un arabe.
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@Hugo
Il est de fait que ces attentats sont commis non pas par des musulmans, mais par des agents des services secrets, pour fabriquer de toutes pièces la thèse d’un islamisme qui n’a jamais existé nulle part. On pourrait penser que ces agents sont grassement rétribués pour des missions aussi périlleuses puisqu’il est de tradition qu’ils soient immédiatement massacrés sans autre forme de procès. Perdre la vie, ce n’est pas rien ! Mais si on croit cela, on se trompe lourdement : Ils ont tout juste droit, et je le sais de source sûre, à une petite prime en nature : une de ces barres chocolatées qu’on trouve dans n’importe quel distributeur automatique du métro ou des gares.
Le Procureur Molins, dans la relation officielle de ces sinistres événements, ne manque jamais de souligner d’une manière assez appuyée que le « terroriste » a bien crié, comme tous ses prédécesseurs : « Allah akbar ! »
De fait, dans le brouhaha ordinaire de la voie publique, c’est bien ce que la plupart des témoins auront cru entendre, mais voilà ce qui a TOUJOURS été crié :
« Allez ! une barre ! »
Ainsi s’exprime, à quelques secondes de l’instant fatal, et d’une manière ironiquement désespérée, le sentiment d’injustice de ces pauvres agents sous-payés. A la barre chocolatée ils ne toucheront pas. C’est leurs gamins, s’ils en ont, qui en profiteront à la prochaine récré. Encore, devront-ils se la partager, s’ils sont plusieurs. Je trouve cela assez atroce.
Par ailleurs, si on lit très attentivement « Les Centuries » de Nostradamus, ou, muni de la grille de décodage adéquate, n’importe quel livre consacré à la cuisine ou au jardinage, on pourra sans difficulté deviner la date et l’heure du prochain attentat. Je viens de le faire, mais j’aurais mieux fait de renoncer à une pareille curiosité : quand on sait de source sûre comment tout doit finir, on est vraiment dans la tragédie classique, au premier acte.