@rosemar
oui j’avais lu, c’était des articles de 2012 pour illustration
La réaction de Christine Angot disproportionnée et excessive c’est ce qui m’a le plus surpris bien plus que ses mots
Une réaction à la mesure du refoulement qu’elle a pu connaître (?), une histoire cousue d’ambiguïtés, d’actes contre-nature, pesante, douloureuse peut-être (?) un passé pas facile à vivre, à porter...
Une réaction qui apparaît en contradiction avec le fait que l’une et l’autre aient eu à subir à leur corps défendant mais différemment ni au même âge des maltraitances sexuelles (rapport de domination entre auteur et victime), en contraste avec la compréhension voire l’empathie qui aurait pu émerger peut-être dans cette rencontre, qui n’est restée qu’un « face à face » ...
ainsi que l’exprimait Christine Angot « On se débrouille, c’est comme ça » !
ça laisse perplexe, je ne sais plus quoi en penser ...dans le cas de Sandrine Rousseau son agresseur est un « autre » sans filiation, même si elle le connaît ou croyait le connaître, dans celui de Christine Angot, ce n’est pas un « autre »...
Peut-on dès lors en dépit de similitudes faire un amalgame entre les deux cas de figures et les réduire à des maltraitances sexuelles ? Peut-être touche-t-on aux confins d’un je ne sais quoi qui justifierait de ne pas mettre ces deux histoires dans le même sac ? ... deux tabous qui ne se situent pas dans le même plan ?