Ne dirait-on pas que
l’on égorge depuis peu de temps ?
Le surin des marlous, le couteau
de boucher, les mauvais garçons qui descendaient de Belleville pour
détrousser ( voire pour les trucider s’ils étaient de mauvaise
volonté ) les bourgeois perdus dans les rues ou venelles de Pigalle
ou Montmartre jouaient volontiers du couteau avant que les armes
automatiques ne rendent ce type d’agression désuet, trop artisanal
surtout aujourd’hui où, paraît-il, on se procure de l’armement
de guerre à certains coins de rue.
Je me souviens de
récits de mon enfance où dans des bagarres de bandes de quartier à
l’occasion d’une fête ou d’un bal parfois un coup de couteau
trop bien dirigé laissait l’un ou l’autre sur le carreau.
L’intention de
tuer n’était pas nécessairement présente ( c’est ce que
plaidait l’avocat ) mais le résultat était là qui ne souffrait
aucune discussion.
Ces attaques au
couteau par des gens dont on a lavé le cerveau ou qui sont en état
de délire mental ne témoigne que d’une chose l’affaiblissement
du mouvement terroriste incapable d’encore mener des actions à
grande échelle et qui revendique à tout va n’importe quel acte
quel qu’en soit l’auteur même si, comme aux USA, il n’a selon
toutes les apparences rien à voir avec leur mouvance.
Bientôt,
comme Allah est à l’origine de toute chose, ils revendiqueront
l’origine des cyclones et il se trouvera paut-être des
journalistes pour relayer l’information.