@Pascal L
Dans le rapport du « Dutch Safety Board » qui ne conclut pas à la culpabilité de la Russie et stipule qu’il est impossible de déterminer qui de l’Ukraine ou des rebelles ukrainiens occupaient la zone, le mot bowtie n’apparait qu’une fois page 135 dans un tableau décrivant l’ogive 9N314M.
Le terme utilisé est bow-tie. Et là c’est vrai que le rapport parle de plusieurs : DEUX.
Deux c’est plusieurs mais c’est guère mieux qu’un.... en tout cas bien tenté comme parade.
Ils sont présentés pages 89 et 91 du rapport et ils proviennent tous deux des corps des pilotes. Le corps du capitaine comportait 120 objets métalliques (p84).
Il est à noter que l’ogive comporte autant de fragments bow-tie que de fragments carré. Donc statiquement cela fait peu deux sur 72 fragments susceptibles de provenir de l’ogive du missile.
L’appendice V dont j’avais critiqué l’aspect synoptique, renvoie à des pages du rapport sans aucun lien avec son contenu... Donc si vous pouviez me dire précisément à quoi il se rapporte nous pourrions peut être trouver à quoi il renvoie et si comme je me doute, il est impossible de l’utiliser comme preuve à charge comme vous le faites.
« Quand vous dites que le rapport est à charge, il me semble que vous ne disposez pas des informations nécessaires pour prouver cette allégation. Vous avez déclaré précédemment ne pas connaître l’Internet Research Agency, alors vous devriez leur faire un procès pour concurrence déloyale. »
Le fait qu’un des suspects fasse partie de l’enquête du JIT suffit à rendre nul et non avenant son travail.
Concernant : Internet Research Agency, je vous avez dit que je n’avais aucun lien avec cette agence qui pour moi est une pure invention et n’existe que dans la propagande de l’OTAN.
Merci de m’avoir fait perdre deux heures à relire le rapport du DSB, mais au moins je vous aurais fait une réponse plus argumentée que la vôtre.
Vocifération n’est pas raison.