« La prostitution est bien une soumission à l’homme »
pas à l’homme mais au capital
« Elle anéantit le corps et l’esprit de la femme. »
comme le travail à la chaîne ou le fait de louer ses bras ou son ventre
« La prostituée destinée à être exposée aux regards, aux caprices des hommes, à leur volonté n’est-elle pas rabaissée, avilie ? »
il vous échappe certainement , en tant que prof coupée de la dure réalité du monde qui vous entoure, que les contingences du marché économique oblige les acteurs à la communication et au marketing.
« Le moment n’est-il pas venu de dire aux hommes que la femme n’est pas un objet, qu’elle ne mérite pas d’être achetée, vendue pour leur plaisir ? »
on vend forcément en suscitant du plaisir chez le consommateur
« La prostituée se réduit le plus souvent, à un corps, à un sexe, »scortum« , »une peau«
la chance de tomber sur une prostitué qui s’y connait en physique quantique ou qui voudrait débattre sur l’atonalisme en musique savante ça doit pas non plus être énorme.
»Où est la dignité humaine ?"
le capital se contrefout de la dignité humaine, il est là pour réifier l’être vivant et le réduire à l’état de marchandise fétichisée.
bref encore merci à l’auteur pour son énième tribune bisounours et nous rappeler que l’éducation nationale en bonne idiote utile du capital n’est pas foutue d’en faire une critique un tant soit peu lucide