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Accueil du site > Tribune Libre > La prostitution ou la servitude féminine...

La prostitution ou la servitude féminine...

 La prostitution n'est-elle pas une des dernières servitudes réservées aux femmes ? 
Une servitude, car elle impose aux femmes de répondre aux désirs des hommes, à leur attente, moyennant finances. Une servitude, car la plupart des prostituées sont des femmes et que les hommes leur demandent un plaisir qu'elles ne partagent pas, le plus souvent.
 
C'est, là, essentiellement, une prérogative masculine : ce sont les hommes qui obtiennent des relations sexuelles auprès des femmes : la relation inverse est plutôt rare et exceptionnelle.
 
Quels sont les hommes tentés par la prostitution ? Où sont-ils ? Combien ?
 
Pourquoi ce décalage ? Pourquoi les femmes seraient-elles vouées à la prostitution ?
 
Quelle est cette injustice venue de la nuit des temps ? Viendrait-elle de l'antique soumission de la femme à l'homme ?
 
La femme destinée au plaisir de l'homme, la femme vivant sous le joug des hommes, la femme servante depuis toujours, la femme maudite, rabaissée, un jouet dans les mains de l'homme...
 
La femme, une chose dont on dispose, un être inférieur destiné à être avili...
 
La femme, objet de plaisirs qui doit répondre aux besoins des hommes...
 
On pourra dire que certaines prostituées gagnent beaucoup d'argent mais sont-elles, pour autant, heureuses de la soumission qui leur est imposée ?
 
La prostitution est une contrainte inadmissible : si elle apporte des revenus, la vie qu'elle fait supporter aux femmes va dans le sens d'une dégradation.
 
D'ailleurs, si le travail permettait à toutes les femmes de gagner un salaire confortable, la prostitution disparaîtrait : aucune femme ne voudrait s'y soumettre...
 
Quelle prostituée peut être heureuse d'assouvir les besoins sexuels d'inconnus qu'elle voit défiler tout au long d'une journée ?
 
Où est l'accomplissement, l'épanouissement d'une femme quand elle subit les assauts répétés d'hommes qu'elle ne connaît pas ?
 
Le travail peut être considéré comme un esclavage notamment quand il est mal rémunéré, mais la prostitution ne reste-t-elle pas la pire des servitudes ? Elle anéantit le corps et l'esprit de la femme.
La prostitution est bien une soumission à l'homme, une forme de servitude qui remonte à la nuit des temps : le moment n'est-il pas venu de voir qu'elle appartient à un monde ténébreux, obscur, fait pour l'homme, pour combler ses désirs ?
 
Le moment n'est-il pas venu de dire aux hommes que la femme n'est pas un objet, qu'elle ne mérite pas d'être achetée, vendue pour leur plaisir ?
 
La prostituée destinée à être exposée aux regards, aux caprices des hommes, à leur volonté n'est-elle pas rabaissée, avilie ? Où est la dignité humaine ? Que devient-elle ? N'est-elle pas foulée aux pieds ?
 
La prostituée se réduit le plus souvent, à un corps, à un sexe, "scortum", "une peau" comme le disaient les anciens romains, elle en perd son âme, sa qualité d'être humain...
 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/article-la-prostitution-ou-la-servitude-feminine-121383927.html

 

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La prostitution ou la servitude féminine...

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59 réactions à cet article    


  • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 7 octobre 2017 12:30

    « la plupart des prostituées sont des femmes et que les hommes leur demandent un plaisir qu’elles ne partagent pas, le plus souvent. »


    Les usagers de ce services privés, contraints ou auto-entreprenants, ne recherchent pas le plaisir, mais le soulagement, la décompression d’une tension produite par un accès intempestif de testostérone.

    Il arrive que le plaisir soit présent et même partagé. Dans ce cas, les professionnelles utilisent une expression issue directement du milieu des proxénètes. En argot parisien, la part prélevée sur la trasaction par les « protecteur » s’appelle le « pied ».

    Quand un prostituée reçoit sa part de jouissance, il arrive qu’elle confie à ses collègues qu’elle vient de « prendre son pied » avec un client.

    On est pas des animaux, tout de même. Les sentiments et le partage, l’empathie, ça existe partout !

    • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 7 octobre 2017 12:33

      @Jeussey de Sourcesûre

      « Pour que point l’on ne voie
      Le sourire entendu
      Qui fera de vous et moi
      De très nobles cocus
      Pour nous faire oublier
      Que les putains les vraies
      Sont celles qui font payer
      Pas avant mais après »

      Jacques Brel

    • rosemar rosemar 7 octobre 2017 16:58

      @Jeussey de Sourcesûre

      Une chanson en vaut une autre :



    • Clocel Clocel 7 octobre 2017 12:36

      Ça c’est ben tout ça ce que vous dites !

      J’en parlais à ma caissière préférée, elle pense comme vous !


      • Clocel Clocel 7 octobre 2017 12:38

        @Clocel

        Ça c’est ben vrai tout ça ce que vous dites !

        Sorry...


      • troletbuse troletbuse 7 octobre 2017 12:42

        Et pour les call-girls ? Faudrait peut-être demander à nos politicards. Paraît que ca foisonne à Strasbourg ou Bruxelles.


        • troletbuse troletbuse 7 octobre 2017 12:43

          @troletbuse
          J’oubliais : avec l’argent de nos impôts


        • Decouz 7 octobre 2017 12:42

          Il y a aussi une prostitution masculine, pour les femmes et les homos, peut-être minoritaire, mais le phénomène n’est pas dans un seul sens.
          Si les hommes de certains pays n’étaient pas si pauvres ils n’auraient pas besoin de vendre leurs corps à des femmes (mais frustrées et malheureuses ) des pays plus riches.


          • troletbuse troletbuse 7 octobre 2017 12:44

            @Decouz
            Je me demande même si ce n’est pas le cas pour un français bien connu.


          • Decouz 7 octobre 2017 14:42

            @sarcastelle
            Pas du tout, ce sont aussi des hommes frustrés et malheureux qui vont voir ( entre autres), et une nouvelle clientèle : les hommes qui n’osent plus séduire (à ajouter à ceux qui n’osent pas demander certaines choses à leurs femmes ou qui n’auraient pas pu ou su ou voulu séduire de toute façon) parce que les femmes devenues dominatrices leur font peur et qu’un rapport tarifé est moins compliqué.


          • rosemar rosemar 7 octobre 2017 16:59

            @Decouz

            Minoritaire, en effet... 

          • Croa Croa 7 octobre 2017 20:09

            À sarcastelle « Quand un homme paie une pute, c’est pour montrer que c’est le sexe fort qui commande et humilie »
            PAS TOUJOURS ! Il faut voir parfois sur certains trottoirs ces dames interpeller avec insistance le passant, qui, s’il se laisse tenter sera lui la victime ! Il y a aussi dans certaines villes des établissement dans lesquels il ne faut surtout pas entrer... Qui est la victime à la fin ? Ces dames ? Laissez-moi douter !


          • Le421... Refuznik !! Le421 8 octobre 2017 09:07

            @troletbuse
            Ce qui expliquerais certaine différence d’âge ??
            Tout est possible...  smiley


          • jjwaDal jjwaDal 7 octobre 2017 13:10

            Il est possible de tout dire quand on ne cite aucune étude et donne aucun chiffre. Il est vrai que la prostitution est à plus de 80% féminine mais c’est beaucoup plus un symptôme de nos origines animales et de notre degré d’évolution sociale, collective et individuelle. Pas simple de supprimer un « marché » quand il y a offre et demande, le problème se pose aussi pour les drogues (voyez l’exemple US). Il y a une partie de la prostitution qui relève du trafic humain comme il y a trafic de drogue et donc la police et la justice ont leur mot à dire. Après parler de servitude des femmes en général... Les clients (sans lesquels aucun marché n’existerait) me semble bien plus asservis par leurs pulsions que ces femmes ne le sont par leur pratique, mais bon...
            Mon opinion est que ce « métier » évolura beaucoup le jour où des « services équivalents » (les mots me manquent...) seront offerts par des machines. L’évolution est d’ailleurs en cours avec des relations à distance via objects connectés et bientôt des robots qui remplaceront les femmes.
            Bien possible alors que ces femmes connaissent le caniveau mieux que le trottoir, vu les filets de sécurité qui s’amenuisent de plus en plus pour tout ceux qui ont raté une marche...



              • rosemar rosemar 7 octobre 2017 17:01

                @Mélusine ou la Robe de Saphir.

                Brassens, bien sûr... !




              • magatst 7 octobre 2017 13:22

                La prostitution n’a jamais été que féminine, mais oui, c’est vrai que la clientèle et surtout masculine.
                Surtout aujourd’hui, la prostitution masculine est très très développé même si on en parle moins.

                ET oui, quand il s’agit de se vendre pour survivre c’est un avilissement qu’on soit homme femme ou tout autre chose ....


                • rosemar rosemar 7 octobre 2017 17:01

                  @magatst

                  Oui, c’est un avilissement, dans tous les cas...

                • foufouille foufouille 7 octobre 2017 13:34

                  « Quels sont les hommes tentés par la prostitution ? Où sont-ils ? Combien ? »
                  manifestement, c’est rarement nécessaire pour un homme, surtout en france.
                  en dessous de 25 ans, une femme peut aussi faire un enfant pour obtenir le RSA.


                  • Croa Croa 7 octobre 2017 22:08

                    À foufouille,
                    Là où il y a des putes il y a aussi des travelos. Ils sont minoritaires certes mais il y en a pas mal quand même. La vie d’un travelo est certainement aussi glauque que celle d’une prostituée femme, plus peut être. (?)


                  • Pauline pas Bismutée 7 octobre 2017 14:58

                    Le plus important « détail » :

                    Les prostitué(e)s sont payé(e)s POUR NE PAS RESTER.

                    Brel, très justement cité (« ... les putains les vraies Sont celles qui font payer Pas avant mais après ») par Jeussey de Sourcesûre, avait compris.


                    • Albert123 7 octobre 2017 15:00


                      « La prostitution est bien une soumission à l’homme »

                      pas à l’homme mais au capital

                      « Elle anéantit le corps et l’esprit de la femme. »

                      comme le travail à la chaîne ou le fait de louer ses bras ou son ventre

                      « La prostituée destinée à être exposée aux regards, aux caprices des hommes, à leur volonté n’est-elle pas rabaissée, avilie ? »

                      il vous échappe certainement , en tant que prof coupée de la dure réalité du monde qui vous entoure, que les contingences du marché économique oblige les acteurs à la communication et au marketing.

                      « Le moment n’est-il pas venu de dire aux hommes que la femme n’est pas un objet, qu’elle ne mérite pas d’être achetée, vendue pour leur plaisir ? »

                      on vend forcément en suscitant du plaisir chez le consommateur

                      « La prostituée se réduit le plus souvent, à un corps, à un sexe, »scortum« , »une peau«  

                      la chance de tomber sur une prostitué qui s’y connait en physique quantique ou qui voudrait débattre sur l’atonalisme en musique savante ça doit pas non plus être énorme.

                       »Où est la dignité humaine ?"

                      le capital se contrefout de la dignité humaine, il est là pour réifier l’être vivant et le réduire à l’état de marchandise fétichisée.

                      bref encore merci à l’auteur pour son énième tribune bisounours et nous rappeler que l’éducation nationale en bonne idiote utile du capital n’est pas foutue d’en faire une critique un tant soit peu lucide

                      • foufouille foufouille 7 octobre 2017 17:11

                        @Albert123
                        "la chance de tomber sur une prostitué qui s’y connait en physique quantique ou qui voudrait débattre sur l’atonalisme en musique savante ça doit pas non plus être énorme."
                        une bonne partie est étudiante donc c’est possible.


                      • rosemar rosemar 7 octobre 2017 17:12

                        @Albert123


                        C’est certain : le travail réifie aussi parfois les êtres humains, et la prostitution est le degré ultime de cette réification...

                      • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 7 octobre 2017 17:54

                        @rosemar


                        « la prostitution est le degré ultime de cette réification... »

                        que pensez-vous de la situation des esclaves (toujours d’actualité sur le globe) qui appartiennent à des propriétaires qui ont le droit de vie et de mort sur eux ?

                        Il serait déjà utile de distinguer prostitution et proxénétissme, mais, même dans le pire des cas représentés en général par des réseaux mafieux, s’il y a assassinat d’une prostituée, ce n’est pas en fonction du caprice du prpriétaire, mais pour des raisons d’endettement ou de trahison.

                        Les enfants qui travaillent dans certains ateliers en Ide et peut-être ailleurs ne sont pas des objets moins « ultimes » que certaines prostituées.

                      • rosemar rosemar 7 octobre 2017 18:01

                        @Jeussey de Sourcesûre


                        Et il existe même des fillettes qui sont prostituées... figurez-vous !

                      • Albert123 7 octobre 2017 18:05

                        « le travail réifie aussi parfois les êtres humains »


                        non pas le travail mais le Capital,

                        il ne vous viendrait pas à l’esprit que l’apprentissage d’un instrument de musique est aliénant, la maîtrise de cet instrument demande néanmoins 10 000 heures de travail.

                        « la prostitution est le degré ultime de cette réification... »

                        non plus, le plus vieux métier du monde ne peut prétendre au plus haut stade de réification, idem pour l’esclavagisme et ce pour une simple raison chronologique.

                        le pire est à venir et on en observe déjà les formes.









                      • foufouille foufouille 7 octobre 2017 18:12

                        @rosemar
                        « Et il existe même des fillettes qui sont prostituées... figurez-vous ! »
                        c’est assez rare tout de même comme pour les gamins.


                      • Croa Croa 7 octobre 2017 22:15

                        À foufouille,
                        Pas celles qui tapinent dans la rue ! Beaucoup se prétendent « étudiantes »... En fait elles sont étudiantes comme moi je suis pape ! smiley
                        (Par contre ça existe certainement sur Internet.)


                      • Pierre 8 octobre 2017 14:07

                        @Albert123
                        Ouais, c’est sans doute pour cela qu’avant la chute du mur, il y avait au moins autant de putes à l’est...


                      • Albert123 9 octobre 2017 15:11

                        @Pierre

                        le capitalisme qu’il soit d’état ou non ne change rien à la donne.

                         


                      • Pierre 11 octobre 2017 12:40

                        @Albert123
                        donc, impossible d’enculer un insoumis, mdr...


                      • philippe baron-abrioux 7 octobre 2017 16:57

                        @l’auteur,

                         Bonjour Rosemar ,

                         qu’est en fait la prostitution ou plutôt les prostitutions ?
                        quels sont les facteurs qui y conduisent ?

                        quels en sont les acteurs ?
                        quels en sont les effets observables et ceux bien plus cachés ?
                         n’existe t il à titre de prostitution qu’une seule forme de cette activité , autorisée ici et condamnée là bas ?

                        on parle même de prostitution occasionnelle .

                         vous l’abordez sous l’angle de la « servitude féminine » et vous en décrivez diverses formes sans dire beaucoup plus sur les causes multiples qui amènent une personne , un être humain à s’y adonner que ce soit de façon occasionnelle ou au point d’en faire un métier , « le plus vieux métier du monde » selon la formule .

                         je pense qu’il est devenu bien flou l’écart entre la prostitution et certaines formes de relations entre adultes consentants telles que celles qui n’hésitent pas à en faire la publicité par tous les moyens à notre disposition .

                         vendre son corps n’implique plus le versement d’une somme pour rétribuer le « service » puisque on peut offrir son corps à qui le veut bien contre rien pour seulement satisfaire une envie , un besoin que l’on partagerait : « j’ai pécho ! » , cri de joie du voisin qui s’est découvert ,à proximité de chez lui si possible , une voisine qui acceptait quelques ébats sexuels sans lendemain , preuve pour certaines féministes qu’elles aussi peuvent avoir droit au fameux « plan cul » qui devient une norme dans certains milieux .

                        parleriez vous alors aussi de prostitution ?

                        ou est ce à vos yeux le versement d’une somme d’argent qui définirait ce qui est un cas de prostitution ?

                         peut on voir là une expérience sexuelle comme une autre , une envie de découverte ou de nouveauté pour ranimer une vie sentimentale en déshérence ?

                         qui se comporte de façon servile si on parle de servitude féminine ?

                         est ce une façon de revendiquer une liberté sexuelle trop longtemps réprimée par une société patriarcale dominante ou une provocation affichée où l’acceptant renonce au respect qui lui est dû ?

                         il existe d’autres civilisations beaucoup plus « permissives » en matière de vie sexuelle , les mêmes d’ailleurs qui ont une vision bien plus apaisée de la mort .

                        un soir en revenant de préparer des partielles de Droit , j’ai trouvé sur le trottoir une amie de première année de fac :ses parents l’avaient mise à la porte car elle fréquentait un garçon qui travaillait dans un garage , chose incongrue à leurs yeux . ils avaient même poussé le vice et la folie jusqu’à interdire à tout autre membre de la famille de l’héberger .

                         la poussée vers la servitude qui en était l’auteur ?

                         vous parlez des « assauts des hommes » , ils existent c’est évident , mais alors si nos corps d’hommes vieux se montrent sexuellement défaillants , nous avons la petite pilule bleue dont on ne cesse de nous vanter les mérites qui nous permet d’ aller « fourrer » une gamine de seize ans trouvée ici ou là et pour quelques euros se « laissera faire » ne serait ce que pour manger ou passer quelques heures au chaud dans une chambre d’hôtel à côté d’un vieux qui ronflera dès que « le poireau aura dégorgé » comme par miracle . pardonnez moi les mots crus .

                         la servitude féminine dont vous parlez ce sont les comportements de CERTAINES de vos soeurs qui l’ entretiennent parfois et certains sexologues devraient selon moi se montrer plus fins psychologues avant de délivrer la petite pilule à leurs patients masculins qu’ils acceptent de leurrer en essayant de déjouer ce que l’âge physiologique entraine .

                        chacun sa servitude en somme .les femmes qui au nom d’une liberté sexuelle en arrivent à perdre volontairement tout respect d’elles mêmes et les hommes qui ont recours à des leurres pour tenter pendant quelques minutes de déjouer ce que la physiologie leur a réservé avec l’âge .

                        bonne fin de journée !

                        P.B.A

                         

                         
                         

                         

                         

                         


                        •  C BARRATIER C BARRATIER 7 octobre 2017 18:20

                          C’est parfois la facilité, la femme naturellement a besoin de séduire, l’homme celui d’obtenir avec ou sans séduction.

                          Cela va au delà de la question de l’argent.

                          Les femmes avancent cependant

                          Femmes combattantes vers leur victoire pour l’égalité

                          http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=252

                          • funky5 7 octobre 2017 18:25


                            Moi j’aime bien les putes.
                            Il y a des putes qui baise bien.
                            Il y a des femmes qui baise mal.
                            Il y a des femmes qui se comporte comme des putes.
                            Même certains patrons...putain

                            Quand les femmes parles des prostituées,, c’est toujours celles qui sont dans la rue.
                            Il y a des escorts qui ’sen tire très bien.
                            En suisse 1 client 1heure 300chf.
                            pour un mois avec 1 client par jour 9000chf

                            Salaire moyen suisse :(http://www.illustre.ch/magazine/metier-par-metier-voici-les-salaires-suisses-moyens-en-2017)
                            Responsable médias : 7986
                            Prof de sport à l’armée : 7517
                            Inspecteur du travail : 7436
                            Employé de banque (dès 36 ans) : 7167
                            Juriste : 7022


                            • Orageux / Maxim Orageux / Maxim 7 octobre 2017 18:26

                              Ouais, sauf que des bordels suivaient les armées, que des prostituées ( fonctionnaires ) dans les armées régulières étaient là pour le repos et le confort du soldat en campagne , pour éviter que les hommes s’enc........entre-eux , ou que les cavaliers ou muletiers ou méharistes se soulagent avec leurs bêtes, d’ailleurs dans les troupes montées, les seaux d’eau étaient en toile pour éviter que le cavalier ne s’en serve comme escabeau !!!

                              D’ailleurs c’est le Colonel au sujet des Bordels Militaires de Campagne ou BMC qui fixait les horaires : Officier en priorité le matin, ensuite Sous-Officiers .... et la Troupe l’après -midi !
                               
                              Dans les villes de garnison également il y avait les Maisons pour Officiers, souvent un bel hôtel particulier avec des bourgeoises et leurs filles très accueillantes .....

                              Et pour les Sous-Offs et la troupe, les bordels classiques ....

                              La permission de détente était faite dans ce but .....les anciens dont je fais partie ont bien connu ça !!!


                              • sls0 sls0 7 octobre 2017 20:06

                                Vu d’un pays pauvre.

                                Il y à 4 ans une gamine de 11 ans taillait des pipes du coté d’un batey. Les flics s’en foutaient on a prévenue la presse que ça a intéressé. Les choses ont bougé.
                                Un an après, de passage avec des étudiants en médecine pour des soins gratuits, deux étudiantes ont discuté avec la mère, elle a dit qu’après cet épisode la vie est devenue plus difficile avec moins de revenus.
                                LA PAUVRETÉ. C’est incroyable les changements de points de vue que peut apporter la pauvreté.
                                Chez moi la prostitution n’est pas trop mal vu, localement ils ont assez tendance à laisser voler le dragon, il y a plus de chambres pour rencontre furtives que de classes d’école, c’est considéré comme un moyen agréable de gagner sa vie, c’est mieux condidéré que femme de ménage.
                                C’est chez où la prostitution améliore le statut social et parfois fini avec un mariage avec un étranger, le top.
                                Très porté sur le cul dans le coin.

                                La prostitution dont parle Rosemar c’est aussi dû à la pauvreté mais c’est du forcé, de l’esclavage sexuel en Europe. La pute à la Audiard c’est certainement devenu une image d’Epinal.
                                Elle a une vision très théorique de la chose sortie d’une revue féminine plutôt que d’une étude sociale.

                                Avant hier je discutais avec une institutrice, elle m’a annoncé son salaire, 5000 pesos ou 100€ mensuels.

                                • amiaplacidus amiaplacidus 8 octobre 2017 11:16

                                  @sls0
                                  Parmi mes voisins, il y a un ami d’enfance, veuf, retraité SNCF.

                                  Cet ami vit avec sa fille de 43 ans, appelons la Anna, célibataire, bonne formation professionnelle (pharmacienne), mais pourvue de ce que l’on appelle un « physique ingrat », je le lui ai jamais connu de relations masculines (ou féminines d’ailleurs) même si elle a un excellent caractère (mais pour découvrir ce caractère, il faut d’abord faire abstraction du physique ...). Anna n’a strictement aucun souci financier, bonne situation professionnelle, dépenses partagée avec son père et maison de famille, etc.

                                  Depuis des lustres Anna passe toutes ses vacances en Tunisie (les attentas ne lui font pas peur). Pourquoi ? Le réponse est suffisamment évidente pour ne pas la faire de façon explicite.

                                  Alors, faut-il lui jeter la pierre ?

                                  Faut-il jeter la pierre à ces jeunes Tunisiens qui, en échange d’un peu moins de pauvreté, donnent à Anna, le temps des vacances, un peu d’illusion ?

                                  C’est évidemment une triste situation, mais c’est la réalité humaine, pas une théorie quelconque pondue par un(e) quelconque bobo dans le confort de son salon.
                                  Ici, il s’agit d’une cliente et de prostitution masculine. Mais, les mêmes situations sexes inversés, se produisent sans doute souvent (si ce n’est la plupart du temps).
                                  .
                                  Je crois savoir qu’en Espagne, il existe des accompagnatrices (accompagnateurs ?) sexuelles pour handicapé(e)s, personnes parfaitement intégrées et absolument pas méprisées.

                                  Les handicapé(e)s ont des besoins qu’ils ne peuvent souvent pas satisfaire.
                                  Alors les leçons de morale et le préchi-précha des milieux bien-pensants, qu’ils soit d’un droite « religieuse » ou de gauche fustigeant les « ’atteintes à la dignité humaine » ...


                                • karim 7 octobre 2017 22:03

                                  l y a aussi des hommes qui se prostituent et se mettent ainsi dans un avilissement,pour gagner la faveur d’un supérieur hiérarchique ou de gens puissants et qui peuvent être de simples employés, des écrivains, des journalistes, des hommes politiques…..


                                  • JC_Lavau JC_Lavau 7 octobre 2017 22:20

                                    On le saura, que tu baises mal, le plus mal possible et le plus rarement possible.

                                    D’où ta rage contre celles qui cassent les prix que tu voulais voir monter le plus haut possible.

                                    • Eric F Eric F 7 octobre 2017 22:27

                                      « Le moment n’est-il pas venu de dire aux hommes que la femme n’est pas un objet ». Figurez vous que vous n’êtes pas la toute première à vous en aviser, les moralistes depuis l’antiquité, les curés, les philosophes, les humanistes... Mais la prostitution est une constante dans toutes les civilisations (sauf celles où la soumission imposée n’est pas rémunérée). Certains pays envisagent l’interdiction, ou « délictualisent » non plus l’offre mais l’acceptation de l’offre, mais le problème se déplace et le rencard se prend via une appli sur smartphone. Vous aurez beau faire la morale, à sa nature animale, l’humanité a ajouté la vénalité.


                                      • Le421... Refuznik !! Le421 8 octobre 2017 09:15

                                        Rosemar, je suis désolé, mais vous simplifiez vraiment les choses.

                                        Dans tout phénomène, il y a une part de bon et une part de mauvais.
                                        Si vous ne mettez en avant qu’un aspect des choses, je vous garantis que vous êtes dans l’erreur.
                                        Pour ma part - et bien que je fasse partie de ceux qui n’y ont jamais eu recours - il se trouve que je ne considère pas forcément la prostitution comme une mauvaise chose.
                                        C’est comme le travail, quand il est forcé et réalisé dans des conditions infâmes, cela devient insupportable et mène même parfois au suicide, il ne faut pas l’oublier.
                                        Des enfants de dix ans extraient des mines des paniers de charbon ou de métaux rares dans des pays défavorisés. Quand au « tourisme sexuel » dans des pays d’Asie, il ne mets pas en cause des « tiers monde » de nos contrées, ce sont plutôt des gens aisés...
                                        Il ne faut pas regarder le monde par le petit bout de la lorgnette.
                                        La prohibition n’a jamais résolu les problèmes.


                                        • Trelawney 8 octobre 2017 09:38

                                          Lorsque j’étais soldat et que je stationnais à Calvi en Corse, la municipalité ne voyait pas d’un trés bon oeil ces soldats en uniformes avec képi blanc déambuler dans ses rues.

                                          Ca faisait mauvais genre et ce n’était pas bon pour le tourisme. 
                                          Aussi, dans le plus grand secret il a été décider d’installer un bordel à l’intérieur de la caserne. Ces travailleuses du sexe se donnaient 24/24 pour satisfaire le moral des troupes et la tranquillité des corses.

                                          Ca se passait dans les années 80 et ils ont mis fin à ce système que tout récemment

                                          Ayant intégré très tôt la section SOGH, je n’avais pas le droit de cotoyer ces personnes, ni d’ailleurs de sortir du casernement. Mais les légionnaires des différentes compagnies dépensaient tous leur solde avec ces femmes dont la conditions se reprochait plus de l’esclavage

                                          • Orageux / Maxim Orageux / Maxim 8 octobre 2017 10:41

                                            @Trelawney

                                            J’ai bien connu le Camp Rafali , j’y étais avant que la Légion s’y établisse, je suis un ancien du 1er Bataillon Parachutiste de Choc......

                                            Alors pour nous, pas de BMC en Corse, mais le Club Olympique sur la plage de Calvi , pour les vacancières Anglaises et Hollandaises par farouches du tout à l’époque !!!!

                                            Tu as du connaître Chez Tao dans la citadelle ? il y avait un piano à l’époque, c’est là qu’on se saoulait un peu et que l’on allait se fritter avec les loulous du coin qui fréquentaient le Son des Guitares .....

                                            Par contre en Algérie, on allait dans les bordels de Blida à l’occasion des sauts d’entretien !!!!


                                          • Clocel Clocel 8 octobre 2017 09:53

                                            Là comme ailleurs, nous n’avons pas beaucoup avancé...

                                            Marthe Richard avançait sous doute les mêmes arguments que vous Rosemar, elle se croyait aussi la dépositaire de la bonne conscience, de la bonne morale et de la bien-pensance.

                                            En fermant les maisons closes, où les filles avaient une place (discutable certes, mais une place) dans une société mesquine qui refuse de voir ses marges et toutes ses contingences.

                                            Elle a renvoyé les filles dans les bas-fonds, sans aucun statut, sans aucun droit, moins que des animaux domestiques, elles sont devenues les proies faciles des trafiquants de chair humaine.

                                            L’esclavages modernes, plus ou moins encadré par une police dédiée qui a toujours profité de cette zone d’ombre pour faire sa jonction avec le milieu pour le plus grand profit de l’ordre bourgeois, qui doit être préservé coûte que coûte, fût-ce prix de quelques victimes sacrifiées .

                                            Ces trafiquants, sans doute la même engeance qui vend aujourd’hui plus ou moins ouvertement le vivant en pièces détachées pour abreuver les fantasmes d’une science « moderne » qui répond aux délires de sociétés « d’hors-sols  débiles » de moins en moins viables mais qui prétendent refuser les conditions mêmes de la vie.

                                            Dire que des tarés sont prêts à se battre pour sauver ce merdier « pas négociable »...

                                            Je ne sais pas de quoi les Hommes sont l’ébauche, mais ce n’est à coup sûr une espèce prévue pour durer.

                                            Allez, plus léger.... https://www.youtube.com/watch?v=ZivK8PmxPWQ


                                            • Spartacus Lequidam Spartacus 8 octobre 2017 10:38

                                              La pauvreté, la soumission, Propagande d’état et manipulation dont le but est de justifier une atteinte aux libertés fondamentales. Dont la conséquence sera de réprimer l’achat de services sexuels 


                                              Dans la haute prostitution, il ne manque pas de femmes qui aiment leur métier et ne feraient pour rien au monde quelque chose d’autre et en consentement....

                                              Ca rapporte gros, c’est facile et ça laisse du temps libre et la liberté de choix.. 


                                              Dans les pays ou elle est légale, des femmes choisissent cette profession à celle de prof de Français.

                                              Dans cette étude danoise, commandée par le ministère de la Justice (p.168), seules 4% des prostitué(e)s ont reconnu avoir débuté sous la contrainte (p.168 : « Følte mig tvunget ind af andre »). Par contre 44% ont cité « une bonne occasion de se faire de l’argent », 30% connaissaient quelqu’un qui se prostituait et ont voulu essayer, 8% se sont senti(e)s forcé(e)s par le manque d’argent....

                                              De nombreuses autres sources confirment ces résultats : voir iciiciiciiciiciiciici et ici

                                              • François Vesin François Vesin 9 octobre 2017 09:45

                                                @Spartacus
                                                «  Dans les pays ou elle est légale, des femmes choisissent cette profession 

                                                à celle de prof de Français. »

                                                J’invite solennellement les agoravoxiens
                                                et plus particulièrement ceux qui se réclament du féminisme
                                                à méditer cette maxime révolutionnaire
                                                inspirée à l’auteur après une enquête sur « le choix des femmes » :

                                                - Mieux vaut choisir d’ouvrir les jambes
                                                que vouloir apprendre à délier les langues


                                              • Agafia Agafia 8 octobre 2017 11:36

                                                Le problème et l’avilissement de la femme n’est pas la prostitution en elle-même mais le proxénétisme et la traite des femmes.


                                                • Mazdak Teherani Mazdak Teherani 8 octobre 2017 12:46

                                                  La vie de servitude que cela fait supporter aux femmes va dans le sens d’une dégradation de son être...


                                                  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 octobre 2017 14:30

                                                    Bah ! dans les milieux aisés les femmes mariées font l« amour » avec le chéquier de leur mari.


                                                    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 octobre 2017 14:35

                                                      Lé hétaïres étaient aussi les premières femmes libres. Le sujet est complexe.


                                                      • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 octobre 2017 16:57

                                                        @Gatling


                                                        D’un côté Rosemar prend la défense de la femme esclave soumise mais fait l’éloge de Sade. Ma position est inverse : j’exècre la PMA et la GPA qui pour moi symbolisent le comble de la prostitution, mais j’encourage vivement la libération de la femme.

                                                      • njama njama 8 octobre 2017 16:54

                                                        Un regard complétement sans jugement, plein d’humanité sur ce dit-on, plus vieux métier du monde ... une chanson dédicacée qui parle d’elles

                                                        A la Puri, a la Carmen, Carolina, Bibiana, Nereida, Magda, Marga,
                                                        Heidi, Marcela, Jenny, Tatiana, Rudy, Mónica, María, María

                                                        http://www.dailymotion.com/video/x31sl2_manu-chao-me-llaman-calle_music

                                                        Voir aussi le Making of de « Me Llaman calle » un superbe montage qui leur donne la parole, et Manu Chao toujours aussi touchant, si plein de sensibilité, et si adorable ... (en espagnol sous-titres anglais 24’56)

                                                        Paroles, traduction en français > http://www.paroles-musique.com/traduction-Manu_Chao-Me_Llaman_Calle-lyrics,t13706

                                                        Me llaman calle, pisando baldosa
                                                        La revoltosa y tan perdida
                                                        Me llaman calle, calle de noche, calle de día
                                                        Me llaman calle, hoy tan cansada, hoy tan vacía
                                                        Como maquinita por la gran ciudad

                                                        Me llaman calle, me subo a tu coche
                                                        Me llaman calle de malegría, calle dolida
                                                        Calle cansada de tanto amar


                                                        Voy calle abajo, voy calle arriba
                                                        No me rebajo ni por la vida
                                                        Me llaman calle y ése es mi orgullo
                                                        Yo sé que un día llegará, yo sé que un día vendrá mi suerte
                                                        Un día me vendrá a buscar, a la salida un hombre bueno
                                                        Pa toa la vida y sin pagar, mi corazón no es de alquilar


                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar

                                                        Me llaman calle, calle más calle

                                                        Me llaman calle, siempre atrevida

                                                        Me llaman calle, de esquina a esquina
                                                        Me llaman calle bala perdida, así me disparó la vida
                                                        Me llaman calle del desengaño, calle fracaso, calle perdida
                                                        Me llaman calle la sin futuro
                                                        Me llaman calle la sin salida


                                                        Me llaman calle, calle más calle
                                                        La que mujeres de la vida
                                                        Suben pa bajo, bajan para arriba
                                                        Como maquinita por la gran ciudad


                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar
                                                        Me llaman calle, calle más calle


                                                        Me llaman siempre, y a cualquier hora
                                                        Me llaman guapa siempre a deshora

                                                        Me llaman puta, también princesa
                                                        Me llaman calle, es mi nobleza
                                                        Me llaman calle, calle sufrida, calle perdida de tanto amar


                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar


                                                        A la Puri, a la Carmen, Carolina, Bibiana, Nereida, Magda, Marga,
                                                        Heidi, Marcela, Jenny, Tatiana, Rudy, Mónica, María, María


                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar
                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar
                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar
                                                        Me llaman calle, me llaman calle
                                                        Calle sufrida, calle tristeza de tanto amar



                                                        • Orageux / Maxim Orageux / Maxim 8 octobre 2017 19:08

                                                          Et le mariage de raison, c’est pas de la prostitution ?


                                                          • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 8 octobre 2017 19:54

                                                            @Orageux / Maxim

                                                            oui mais l’amour a ses raisons, que la raison ignore ^^


                                                          • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 9 octobre 2017 14:05

                                                            Il faut dire ce qui en est ! La France a tout fait depuis bien des décennies pour réduire la femme à un simple objet sans valeur et à la disposition de l’homme. 


                                                            La prostitution, (comme d’ailleurs les autres tares telles que l’homosexualité) a toujours existé depuis que le monde est monde. 

                                                            Il ne fallait donc pas les promouvoir ou légiférer sur ces sujets et surtout pas en faire des « valeurs humaines supérieures » qui contribuerait à l’émancipation et à la liberté comme le disent les plus grands hypocrites de la terre ! 

                                                            je vous rappelle « rosemar », que la prostitution n’est aujourd’hui rien comparée à l’industrie pornographique qui exploite des millions de femmes tout en rabaissant la condition de celles qui ne pourront jamais s’affranchir.

                                                            La France a empoisonné l’humanité avec sa récitation des « droits de l’homme », on comprend mieux aujourd’hui que « droit de l’homme » est juste synonyme de « Droit d’un homme à disposer de la femme comme il veut et quand il veut ». Quand tout le monde avait remarqué l’incommensurable erreur de ce texte en totale contradiction avec la science et avec la morale humaine, on a essayé de rajouter des bricolages comme « droits de la femme », « droits de l’enfant » très rapidement dévalués et pollués par le « mariage homosexuel » et surtout « l’insolite adoption »... 

                                                            En 2003, j’avais proposé de réformer la ridicule administration de l’ONU et de lui donner un texte conforme aux valeurs et conforme à la législation : J’avais demandé la promulgation de la « DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DEVOIRS HUMAINS »... Qui remplacerait la « déclaration non universelle des droits de l’homme ».

                                                            En acceptant la dévaluation, l’érosion et la disparition progressive des valeurs humaines fondamentales, l’humanité prouve que globalement elle ne vaut rien et va vers la déchéance. 

                                                            • Le Gaïagénaire 9 octobre 2017 15:54

                                                              @Mohammed MADJOUR 9 octobre 14:05


                                                              Excellent.

                                                              Comment expliquer que les « rosemar » de ce monde ne dénoncent jamais que les vraies victimes de la dégradations, de la déchéance, de l’esclavage sont les enfants forcés de naître sans leur consentement. Les « fruits » de la prostitution féminine.


                                                            • Pierre 10 octobre 2017 01:04

                                                              C’est marrant, il ne vient à l’idée de personne que la prostitution puisse être un choix assumé, pas toujours bien entendu, mais il est vrai que les putes n’ont qu’à fermer leur gueule, on décide pour elles de leur bonheur, quitte d’ailleurs à les mettre sur la paille mais peu importe pour les bonnes sœurs et les curés de droite et de gauche aussi et surtout peut-être d’ailleurs...


                                                              • Pierre 11 octobre 2017 12:42

                                                                Avis aux approximatifs du vocabulaire : une prostituée ne vend ni ne loue son corps, c’est seulement une prestation de service.

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