@Valas
Vous parlez de systèmes de type soviétique, despotiques de par nature donc liberticides.
Il me paraît donc déjà curieux de parler de « révolution » alors qu’elle n’a profité qu’à une infime minorité de la population et que l’autre partie a été totalement soumise, passant finalement d’une dictature à une autre. Encore plus pour le mot « peuple », car justifiant ces régimes et leurs exactions.
N’est-il pas étrange qu’ici, étant donné que la majorité des internautes vit en France/pays européens, on fasse l’apologie des dictatures et de leur « coolitude » ? Traitant de véritables sociopathes-manipulateurs en « héros des peuples » comme le fait honteusement l’auteur spécialiste des sacs de nœuds ?
Toutes ces personnes feraient moins les malignes si elles avaient vécu des décennies entières sous la botte d’un pouvoir aveugle et grotesque. La pauvreté, la famine, les purges, guerres, arrestations arbitraires, propagande quotidienne, la société ultra militarisée, etc.
Je suis certain que pas un d’entre eux n’aurait tenu un mois et encore moins une semaine. C’est bien d’être idéaliste, mais d’être aussi aveugle est véritablement incompréhensible. Tout comme ces jeunes russes « nostalgiques » de l’URSS alors qu’ils n’en ont jamais vu les horreurs au quotidien, ils sont bien au chaud et en sécurité dans leur société semi-capitaliste avec tout un tas de droits. A tel point qu’ils ne comprennent même pas la chance qu’ils ont de vivre leur époque...
L’URSS n’a jamais été synonyme de liberté, ni même les ex-républiques soviétiques de l’est et encore moins Cuba et compagnie.
* « pouvez-vous étaler la signification de « libre » pour un peuple aujourd’hui ? »
Liberté d’expression, de déplacement, de réunion, de voter pour un parlement représentatif, etc. C’est une question plutôt vaste.
Les dérives du système économique mondial existent, mais ça ne sert à rien de s’engouffrer pour autant dans une « révolution » alors qu’on pourrait très bien changer les choses en faisant les bons choix. La révolution française a certes transformé la société mais également causé beaucoup de destructions inutiles à tout niveau et très vite dérapé (la Terreur).
Si l’électeur moyen était moins con, aucun candidat à la présidentielle n’aurait pu se présenter et on aurai voté pour le moins mauvais au lieu de voter pour le « moins mauvais des très mauvais ». Et on aurait pas actuellement un « gouvernement des entreprises ».
Les utopistes marxistes du site vivent dans un monde de bisounours, où tout est bien délimité, soit noir soit blanc. Les gentils d’un côté et les méchants de l’autre. Sauf que la vie est bien différente...