@Yaurrick
"Donc selon vous, avoir un service efficace serait
l’œuvre du secteur public tandis que le secteur privé est forcément
synonyme de paradis fiscal et profits indécents.«
C’est effectivement le cas : du fait que le but du privé n’est pas le service au public mais strictement l’enrichissement des parasites sociaux qui s’auto-désignent »actionnaires« alors qu’ils ne font rien, mécaniquement dirais-je, le service public, qui ne paie pas de dividendes est moins coûteux pour la collectivité. C’est vrai par exemple pour l’enseignement ou les soins hospitaliers.
Les assurances santé privées remboursent moins bien qu’autrefois la Sécurité sociale quand les gouvernants n’osaient pas s’attaquer à elle.
Pour masquer au bon peuple cette évidence, les gouvernants à la solde des parasites sociaux étranglent financièrement les services publics et subventionnent parfois grassement le privé par toutes sortes de manipulations.
Même au Royaume-Uni où l’on se défie du service public, les Britanniques ont vu s’envoler les prix des billets de train quand le chemin de fer a été privatisé et les voies laissées à l’abandon augmentant le risque d’accident.
Le scandale est tel que des économistes »libéraux" demandent une renationalisation !