@Armelle
*Quand le prélèvement fiscal et le recours à l’emprunt public remplace le paiement par le consommateur ou l’usager, le fonctionnement de l’économie est perturbé.*
Pour le cas du train ce n’est pas totalement vrai.
Si le consommateur devait assumer seul tout les frais du transport ferroviaire, sans faire appel à l’impôt, ce mode de transport aurait du mal à être compétitif.
Problème malgré le financement public le prix à l’unité reste encore trop élevé, on se retrouve avec une aberration, car nous payons un service avec nos impôts qu’on ne peut pas utiliser car le prix unitaire est trop élevé, de plus ce service fonctionne quand même mais sans assumer son rôle.
Quand on fixe le prix de quelque chose, il y a deux approches qui se contre dise.
1) On augmente le prix pour augmenter la marge, ça réduit les coût et les niveaux production
2) On baisse le prix pour augmenter le volume, ça augmente les frais et les niveaux de production
Dans le cas du train, le juste prix c’est quand un train est plein à 100%, si ce n’est pas le cas, il faut réduire le prix et diminuer l’offre, si c’est le cas il faut augmenter l’offre et le prix, une pure logique de gestion dont ryanair est devenu expert, quand on voit des trains vide on peu se dire qu’on dilapide nos impôts.