@sweach
"Si nous donnons tout à la liberté comme c’est le cas à
l’heure actuel, certain seront donc libre de vous marcher dessus et vous
empêcherons de vous élever socialement, la valeur humaine est minime
face à celle de l’argent«
C’est à cet instant que je ne suis d’accord avec vous, votre propos insinue que vous ne faites pas confiance en l’être humain et à ses capacités de bonification. Les gens qui marchent sur les autres sont loin d’être majoritaires, et que de laisser la politique régler le problème ne peut être que perdu d’avance puisque il y a toujours conflit d’intérêt entre nos dirigeants et ces gens qui n’ont aucune vertu, soit les premiers sont arrosés, soit les deuxièmes pratiquent le chantage !!!
Le problème est que les gens aimeraient que ça change tout de suite, mais non, ça ne marche pas comme ça, il faudrait peut être plusieurs générations pour que l’humain s’améliore !!!
...Un homme d’état pense aux générations futures, un politique pense à sa réélection...et nous ne votons que pour des hommes politiques !
Et pour ça, il faut supprimer le statut de salarié, c’est une forme d’esclavage moderne dans lequel les gens se laissent porter. Chacun possède une valeur ajoutée marchande, et la vendre pour son compte est bénéfique ! Après vous me direz sans doute que les uns (sous traitant)s seront obligés de sous vendre pour obtenir leur marché auprès de l’autre mais auquel cas je vous répondrai que le problème n’est plus celui du type qui marche sur la tête de l’autre mais bien un problème de sous activité globale, que l’on a déjà, mais qui par définition se voit moins. Ce qui voudrait dire que le problème n’est pas où on regarde
Moi je suis ravie de voir cette explosion des structures de portages salariales, elle triplent chaque année leur adhérents »entrepreneur/salarié" et les résultats sont excellents. Et cela me semble être une bonne solution pour inverser la vapeur en terme de soumission du salarié, qui risque de s’accentuer avec les prévisions des 20 ans à venir... Des boîtes en veux tu en voilà à vendre, personne ne veut se risquer, alors soit comme je vous disais plu haut, les banques rachèteront, soit les grosse boîtes s’en occuperont et deviendront des monstres avec des salariés à matricule, lesquels seront logés (parquer plutôt), assistés à souhait plus encore plus de soumission, comme dans les années 20 du siècle dernier...