@JL
Encore une inversion des valeurs sous couvert de
social ! Alors remontons aux principes (schématiquement) :
Piocher
dans la poche des autres pour bénéficier d’avantages personnels est
la conception de divers groupes sociopolitiques :
- Les
voleurs, parasites sociaux dans une société socialisée.
-
Les ultralibéraux, renards dans un poulailler libre dont ils ont
défini les règles.
- Les capitalistes, par le
truchement de parlementaires acquis favorisant leurs avantages.
-
Diverses tendances gauchistes et misérabilistes désireuses de
bénéficier sans contreparties du fruit du travail du prolétariat
ou de la classe moyenne (au choix).
Devoir payer les
frais qu’ils causent est acquis chez les libéraux, les capitalistes,
les autres actifs, y compris pour leur progéniture.
Pas chez
les voleurs ni chez ces gauchistes. Les voleurs essaient de se
fournir dans les poches des individus. Les gauchistes dans les fonds
de la Société.
Les
premiers usent de la ruse et de la violence pour parvenir à leurs
fins, les seconds de la tromperie et de la manipulation politique des
crédules qui les écoutent.
Selon
ces derniers, devoir payer le juste prix des usages sociaux et/ou
collectifs serait inadmissible. Le leur demander toujours de la
’’faute’’ de autres ! Au choix : ’’les capitalistes, les
réactionnaires, les antisociaux (ils en font pourtant partie !), les
libéraux, le F.N., les égoïstes (n’en sont-ils pas ?), et cætera …
Et ils ont pour cela la langue d’autant mieux pendue qu’ils ne sont
pas contributeurs et productifs en tant qu’actifs et travailleurs !
Décider
que la collectivité rende l’impôt obligatoire au paiement de leurs
déplacements personnels d’inactifs, ben voyons ! Est-ce que
demain je vais leur imposer à mon tour de devoir payer mes vacances,
aussi ? Non, car je ne suis pas de cet acabit !