"Reste à espérer, la sagesse aidant malgré certains fantômes du passé,
dont celui du funeste Franco et de sa guerre civile à l’encontre des
Républicains, que ce genre de scénario, le pire d’entre tous, ne fera
pas l’abominable lit, en Espagne, des extrémistes de tous bords et
autres infâmes nostalgiques de la peste brune.«
Peste brune à laquelle il faut ajouter la peste républicaine, cad la dictature bourgeoise totalement inféodée au capital et à la réification des individus.
l’auteur en bon dandy embourgeoisé est tellement obnubilé par le franquisme qu’il masque sciemment son adhésion à un républicanisme tout aussi totalitaire.
»À son retour à Londres début juillet, Orwell est atterré par la manière
dont les intellectuels de gauche (en particulier ceux qui appartiennent
au Parti communiste
ou en sont proches) rendent compte de ce qui se passe en Espagne, et
notamment par les calomnies répandues sur le compte du POUM,
systématiquement accusé d’être soit une organisation fasciste,
soit une organisation manipulée par les fascistes : c’est dans
l’optique de rétablir la vérité quant aux événements dont il a été
témoin qu’il entreprend alors de rédiger son Hommage à la Catalogne qu’il fait paraître, avec quelques difficultés, en avril 1938.
À partir de ce moment, écrira-t-il en 1946, « tout ce [qu’il] a écrit
de sérieux […] a été écrit, directement ou indirectement, et jusque dans
la moindre ligne, contre le totalitarisme et pour le socialisme démocratique ». Dans cette perspective, il se décide à adhérer à l’ILP
au mois de juin 1938, estimant que « le seul régime qui, à long terme,
peut accorder la liberté de parole est un régime socialiste ».«
bref en 80 ans (1937 - 2017) les gauchistes (forcément) petit bourgeois utilisent toujours les même techniques de diffamation pour faire taire toute critique de leur sacro saint capital et de leur minable ambition de matérialistes esclave de la marchandise.
des hamsters qui tournent en rond dans leur cage et qui parlent de »progrès" à longueur de journées ... voilà la véritable lie de l’humanité, celle qui la maintient dans la crasse la plus abject.