@docdory
Tant mieux si dans votre patientèle personne n’ait eu à subir des conséquences iatrogéniques importantes, graves, très graves, voire fatales parfois ... et nous croisons les doigts que vous n’en ayez aucun un jour.
Elles sont marginales c’est vrai, mais tout autant que les rares cas graves induits par des maladies infantiles, ou par d’autres agents pathogènes.
Ce n’est pas pour autant qu’elles n’existent pas. J’en sais qqch personnellement, et comme chat échaudé craint l’eau froide, je ne suis pas prêt de me refaire vacciner un jour. Habeas corpus ... pas même l’État ne pourrait franchir cette limite, et m’y contraindre.
Si vous en avez l’occasion, contactez le REVAHB http://www.revahb.fr/  ; ou l’association E3M http://www.asso-e3m.fr/ l’une et l’autre s’occupent d’aider des (hélas) victimes de vaccins, rares fort heureusement mais elles existent ! vos connaissances médicales pourraient peut-être leur venir en aide ? procédés de chélations ou autres pour les aider à se rétablir ...
Il me paraît très fallacieux et plus utilitariste que scientifique de parler de bénéfices-risques quand les risques sont clairement sous-notifiés, et que les bénéfices sont à l’inverse très largement exagérés (« des millions de vies sauvées »). Au très pauvre stade de pharmacovigilance où nous en sommes, il serait plus honnête de dire que la vaccination c’est choisir entre 2 risques ...