@doctorix @docdory
Au delà des divergences de vue ou d’appréciations entre vous, il y a un point je pense sur lequel vous pourriez vous retrouver
L’un et l’autre vous admettrez facilement que les vaccins sont des poisons car c’est à la base leur principe même.
“Tout est poison, et rien n’est sans poison ; ce qui fait le poison c’est la dose.” « Alle Ding sind Gift, und nichts ohn Gift ; allein die Dosis macht, das ein Ding kein Gift ist. » Paracelse (1493-1541) ne croyait probablement pas si bien dire, c’est tout à fait le principe empirique de la vaccination qui commença par des variolisations (variolation en anglais), inoculations volontaires de la variole sur des sujets sains.
Trois siècles après la première expérience de vaccination de masse (sur 286 personnes) menée et documentée par Zabdiel Boylston en 1721 , suivie d’autres menées par Edward Jenner un siècle plus tard, puis par Pasteur à la fin du XIX°, le principe reste toujours aussi empirique aujourd’hui,
inoculations volontaires de virus vivants atténués ou inactivés sur des
sujets sains, et pas même les labos savent comment marchent les
vaccins, en plus que leur toxicité n’est pas évaluée.
Un poison reste un poison, même à petites doses, et ce n’est pas en
multipliant les obligations vaccinales sur des sujets sains que, faute
peut-être de la détériorer par leur toxicité dans le meilleur des cas,
l’on risque d’améliorer leur santé. Tout au plus peut-on espérer un
certain degré d’innocuité et d’efficacité par rapport à un risque qui
n’est jamais mesuré autrement que par des analyses prédictives dont
l’exactitude est incertaine et si peu (véri)fiable