Bonjour,
Alren
Je partage
certains points de votre commentaire, pas d’autres.
Personnellement,
je n’ai jamais eu de problème avec l’orthographe malgré un cursus scolaire
chaotique (9 écoles jusqu’au terminus de seconde) et en n’ayant jamais étudié
le latin et le grec. Mais comme vous le soulignez, les principales racines en
sont facilement assimilables, et j’ai beaucoup utilisé mon cadeau de Noël 1958 : un Larousse dont j’ai pris plaisir à assimiler les fameuses pages roses. 
Dans de
telles conditions, apprendre le latin et le grec ne m’ait jamais apparu comme une
option réellement séduisante. A
contrario, et bien que cela ne me soit pas franchement utile - sur
ce point, je rejoins Rosemar -, j’ai suivi des cours de breton, moyen de me
rapprocher de ce peuple d’Armorique où la langue n’est plus guère parlée, mais
où la toponymie est restée très fidèle aux racines celtiques.
Pour ce qui
est de l’Esperanto, très franchement, je trouve que c’est du temps perdu. Tant
qu’à apprendre une langue à vocation d’échanges actuels, autant se tourner vers des langues vivantes comme
l’anglais ou l’espagnol, très largement en usage sur la planète, plutôt que
vers cette construction artificielle qui restera très probablement mort-née.