*oui, bon, des statistiques sur (des estimations) statistiques excusez-moi, mais ça ne me paraît pas très crédible d’un point de vue mathématique*
Vous n’avez jamais travaillez dans l’administration :-P
Obtenir des chiffres fiable dans un institue c’est jouable, mais à l’échelle d’un pays ca devient un peu plus compliqué.
Donc oui, on est en droit de se poser des questions sur la véracité des chiffres, mais contrairement à vous j’ai déjà vue des cas de cancer du sein dans mon entourage et on ne peut nier leur existence relativement importante.
*que cela les dirige vers des suites chirurgicales, ou chimiothérapies, radiothérapies et tout le reste ... parfaitement inutiles.*HOULA !
Là vous fabulez, car comme vous le dite, il y a quand même plusieurs étapes à franchir avant de passer aux traitements.
La mammographie, l’échographie, l’histologie, même des tests sanguins, il faudrait vraiment accumuler de nombreuse erreurs pour avoir un traitement « inutiles », aujourd’hui les médecins se couvre un maximum et démultiplie les examens donc peut probable.
*les cancers foudroyants sont très rares*
Bien en se moment je lis quelques études sur le cancer du poumon et sur celui du pancréas et l’espérance de vie moyenne médian après détection de ces cancers est donné en mois.
Si nous voyons moins de cancer foudroyant c’est principalement parque aujourd’hui nous avons des traitements.
*et tant pis si au passage ça fait flipper les femmes*
Ça pourrait être pire, car le discourt pourrait même être moralisateur sur les travers de notre société.
Ne pas avoir d’enfant et ne pas allaiter sont des facteurs de risque pour le cancer du sein, mais vue que ces observations vont à contre courant des débats sociétal sur la libération de la femme, on préfère les passer un peu sous silence.