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Accueil du site > Tribune Libre > Médicaments anticancéreux peu efficaces souvent toxiques et hors de prix : (...)

Médicaments anticancéreux peu efficaces souvent toxiques et hors de prix : réponses aux questions des lecteurs

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 Le débat tourne d’abord autour des prix aberrants toujours plus élevés (on arrive à un milliard de dollars annuel pour un seul malade aux USA (Keytruda*). Ces prix absurdes sont de plus en plus dénoncés y compris par les oncologues qui utilisent larga manu des drogues car ils deviennent littéralement insupportables pour les assurances publiques et privées.

 Le pire, en contraste est leur efficacité faible et pratiquement toujours nulle sur la durée de vie des patients. L’étude britannique estime que 57 % des médicaments mis sur le marché européen entre 2009 et 2013 n'apportent aucune amélioration aux patients. Le Panorama de la Santé 2015 de l'OCDE observe que les niveaux de prix élevés « ne sont pas toujours synonymes de bénéfices importants ». Sur 12 nouveaux anticancéreux approuvés par la FDA en 2012, un seul offre un gain de survie supérieur à 2 mois !

 

 Comment ces médicaments peu efficaces arrivent-ils sur le marché ?

Depuis plus de quinze ans, les agences de régulation américaine (FDA) comme européenne (EMA) autorisent la mise sur le marché de médicaments qui n’ont pas prouvé qu’ils pouvaient être utiles aux malades, et favorisent l’innovation (en réalité la commercialisation express) au détriment de la sécurité des malades[1]. Jadis elles exigeaient une balance avantages/risques bénéfique, démontrée par plusieurs études (2 études phase III au moins), sur de nombreux malades (plusieurs centaines ou milliers), suivis longtemps (plusieurs années). Elles se contentent maintenant d’un seule étude dite étude pivot, sur deux à trois cent malades (parfois moins) seulement suivis en moyenne un an (ce qui ne permet pas une analyse suffisante de leurs toxicité) ni de leur réelle efficacité sur la survie des malades.

 

 La modification majeure : les changements des critères exigés.

Le critère principal a changé : au lieu de la survie globale, critère objectif facile à obtenir et à vérifier (et qui constitue l’étalon or en cancérologie), elles se basent le plus souvent sur la durée de stabilisation tumorale ou le taux de réponse de la tumeur et comparent le nouveau médicament à rien (un placebo) au lieu de le comparer au meilleur traitement connu comme le prescrit pourtant la déclaration d’Helsinki. Ce changement de paradigme aboutit ainsi que le soulignent les associations de consommateurs européens[2] et de nombreux scientifiques [3] [4] [5] [6] [7] [8]à mettre sur le marché des médicament insuffisamment efficaces ou trop toxiques, à la balance avantages/risques défavorable[9] dont nous donnons quelques exemples dans notre livre à propos de cancers fréquents.

De plus les résultats des études pivots ne sont même pas fiables [10]. Dans près des deux tiers des cas leurs résultats prometteurs sont infirmés par les études ultérieures[11]. Les études pivots minorent la toxicité dans près de 50% des cas et surestiment l’efficacité près d’une fois sur cinq, annonçant des résultats toujours plus favorables au nouveau médicament que ceux obtenus lors des tentatives de confirmation, Elles ne représentent donc pas l’usage en population réelle et leurs trop beaux résultats initiaux suggèrent même que certains d’entre eux ont pu bénéficier d’un « embellissement » avant présentation aux agences de régulation.

A la FDA et à l’EMA, tout se passe comme si la croyance en « l’innovation est toujours bénéfique », avait remplacé l’analyse scientifique critique objective.

Cette « foi » en l’innovation a été consacrée en mai 2017 par la FDA qui a accordé une mise sur le marché sans essai spécifique. Elle a en effet délivré une AMM au keytruda* pour toutes les tumeurs solides résistantes à la chimiothérapie, sur la simple constatation d’un marqueur biologique (MSI-H ou dMMR)[12], car « ça devrait marcher ». Deux essais de ce même médicament sur des cancers hématologiques venaient pourtant d’être interrompus car le keytruda* diminuait les chances de survie des malades traités !

Il est urgent que nos gouvernants recentrent l’action des agences sur la fonction qui justifie leur existence, la protection sanitaire des populations[13]. Rappelons que tout accord de l’agence européenne de commercialisation s’impose à tous les pays de l’UE, qui n’ont leur mot à dire que sur l’accord de remboursement et son taux.

 

Ces AMM « TGV » ou pony express, pour rappeler la conquête de l’Ouest sont généralement assorties d’une demande d’études complémentaires de tolérance et d’efficacité sur une population plus large supposée plus proche de l’usage en vie réelle. Mais plusieurs articles récents montrent que ces études ne sont pas toujours réalisées ou inconstamment publiées et que les agences se révèlent le plus souvent incapables d’interrompre la commercialisation[14] [15]dans des délais raisonnables, lorsque l’entreprise ne remplit pas ses obligations et même parfois lorsque le médicament s’avère inutile ou toxique.

La perte de sécurité sanitaire liée à l’abaissement des critères de délivrance des AMM n’est donc pas compensée par un accroissement de la pharmacovigilance post AMM[16] [17], toujours confiée aux firmes (alors que la déclaration des accidents constatés est contraire à leurs intérêts financiers).

 Le rôle de la HAS et de l’ ANSM notre agence du médicament serait évidemment de faire un tri dans ces médicaments disponibles pour le traitement du cancer. Mais ce tri ne peut porter que sur le taux de remboursement qui devrait être d’autant plus faible que le médicament apporte peu ou pas d’amélioration du service médical rendu.

Notre livre vise en autres à aider les malades ou leurs proches et leurs médecins traitants, à faire ce tri. L’exigence d’une amélioration pertinente du service médical rendu avant d’accorder le remboursement par la sécurité sociale constituerait le minimum d’une gestion efficace des deniers publics. Quel père de famille censé achète un appareil ménager ou une voiture qui n’apporte aucun avantage par rapport à ceux qu’il possède déjà et qui fonctionne toujours ?

L’Union Européenne a dépossédé la France de son droit de refuser l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament qu’elle juge inutile ou dangereux. Notre agence du médicament a été transformée en simple chambre d’enregistrement des décisions de l’agence européenne. Les conflits d’intérêts des experts de l’EMA avec les entreprises du médicament[18] [19]et le lobbying considérable que ces entreprises exercent à Bruxelles leur permettent de faire accepter n’importe lequel de leur produit. Il ne reste comme protection des malades français que l’arme du remboursement, mais le gouvernement ne l’utilise presque jamais cédant trop facilement aux demandes des firmes, de certains médecins (qui se comportent comme leurs représentants de commerce) ou d’associations de malades abusés par les publicités ou les affirmations infondées de médecins qui dissimulent leurs liens d’intérêts avec les entreprises.

 

Le nouveau gouvernement qui prône la transparence, un usage plus efficace de l’argent public et insiste sur la nécessité de réaliser des économies sur les budgets sociaux ne devrait-il pas :

 

1°) exiger la publication de tous les liens d’intérêts des experts du médicament, des associations de malades et des membres du ministère en charge de la fixation des prix et du remboursement par une obligation assortie de peines dissuasives et proclamer que la sécurité sanitaire prime sur le secret des affaires.

 

 2°) n’accepter de ne rembourser que les médicaments dont l’amélioration de service médical rendu est indiscutable et dont le rapport cout/efficacité (évalué selon un processus totalement transparent, comme le font la Grande Bretagne, le Canada, ou l’Australie) est intéressant.

 

3°) renégocier des prix des médicaments afin de revenir à des prix équitables. La négociation avec les firmes est souvent efficace en Italie, où le prix moyen des médicaments est environ 40 % moins cher qu’en France.

 

 La question du prix des médicaments se posent évidemment .

 Depuis le début de ce siècle l’augmentation des prix des traitements médicaux n’a cessé de s’accélérer, touchant tout particulièrement les thérapies ciblées, dont plus de 90 % sont pourtant incapables d’augmenter, ni le taux de guérison des malades souffrant de tumeurs solides, ni de prolonger de manière significative leur survie. Et ce ne sont ni les frais de recherche, ni de commercialisation, qui expliquent cette flambée des prix. L’exemple du Glivec est démonstratif. Son prix aux États-Unis est passé de 30 000 dollars par an en 2001, à 90 000 dollars en 2016, alors qu’il avait été largement amorti dès 2003. En 2012, sur les douze molécules anticancéreuses autorisées aux États-Unis, onze coûtaient plus de 100 000 dollars par an, soit en moyenne dix fois plus qu’en 2002.

Ces médicaments souvent inutiles et parfois toxiques sont payés à un prix cent fois plus cher que l’or ! En cette période où le déficit des systèmes solidaires de santé menace leur existence même, qui peut encore le tolérer ? Le soutien à l’innovation, prétexté par le ministère de la santé pour justifier cette gabegie ne vise en réalité qu’à satisfaire le lobby pharmaceutique et ses nombreux affidés, qu’ils soient médicaux ou politiques. Si un tel soutien était économiquement justifié, il ne devrait dépendre que des ministères de la Recherche ou de l’industrie et ne pas peser sur le budget de la solidarité nationale de santé. Lorsque des moyens trop importants sont consacrés à des soins insuffisamment efficaces, cela se fait au détriment d’autres patients atteints d’autres maladies, moins rentables pour les firmes De nombreux associations[20] confrères l’ont maintes et maintes fois proclamé[21] [22]en vain jusqu’ici. L’indignation de nos politiques s’apparente le plus souvent à un rôle de composition avec des vœux pieux ou des promesses jamais suivies d’actes.

En cas de refus des entreprises d’accepter un prix équitable les gouvernements peuvent délivrer une « licence obligatoire ». La licence obligatoire, prévue par l’organisation mondiale du commerce permet de suspendre l’application d’un brevet, dès lors qu’il menace la santé d’une population. Le prix mensuel peut alors passer de plusieurs milliers d’euros mensuels à quelques centaines.

Une étude américaine récente[23] montre que l’application de ce mécanisme permettrait d’abaisser le coût annuel des drogues anticancéreuses innovantes dans une fourchette de 128 à 4020 dollars (contre 75 161 à 139 138 dollars), sans mettre en péril le marché du médicament, mais seulement une partie des dividendes versés aux actionnaires.

L’Inde, la Thaïlande, l’Égypte, la Colombie ont déjà utilisé avec succès ce mécanisme de la licence obligatoire, malgré les tentatives opiniâtres des firmes d’en contester l’usage. En Inde, la licence obligatoire a permis de procurer à la population des médicaments génériques le Daraprim*, (payé 10 centimes contre 750 dollars aux États-Unis). Le Nexavar (175 dollars après une baisse de 97 %) et le Glivec (moins de 73 dollars contre 4000 ? Les blocages à l’émission de licences obligatoires sont politiques et non juridiques[24]

 

 

[1] Davis C, Lexchin J, Jefferson T, Gøtzsche P, McKee M. "Adaptive pathways" to drug authorisation : adapting to industry ? BMJ 2016 ;354:i4437

[2] bureau européen des unions de consommateurs fast-track approval for new medicines – patient safety at risk ? beuc position on adaptive pathways 01/07/2016

[3] Naci H, Wouters OJ, Gupta R, Ioannidis JPA. Timing and characteristics of cumulative evidence available on novel therapeutic agents receiving Food and Drug Administration accelerated approval. Milbank Q2017 ;357:261-90. 1

[4] Dyer O. Drugs with FDA accelerated approval often have weak evidence, study finds. BMJ 2017 ;357:j2905

[5] Johnson JR, Ning YM, Farrell A, Justice R, Keegan P, Pazdur R. Accelerated approval of oncology products : the food and drug administration experience. J Natl Cancer Inst 2011 ;103:636-644.

[6] Kim C, Prasad V. Cancer drugs approved on the basis of a surrogate end point and subsequent overall survival : an analysis of 5 years of US Food and Drug Administration approvals. JAMA Intern Med 2015 ;175:1992-1994.

[7] Davis C, Naci H, Gurpinar E, Poplavska E, Pinto A, Aggarwal A. Availability of evidence of benefits on overall survival and quality of life of cancer drugs approved by European Medicines Agency : retrospective cohort study of drug approvals 2009-13. BMJ 2017 ;359 :

[8] Rita Banzi ⁎, Chiara Gerardi, Vittorio Bertele', Silvio Garattinita Banzi ⁎, Chiara Gerardi, Vittorio Bertele', Silvio Garattini Ri Approvals of drugs with uncertain benefit–risk profiles in Europe European Journal of Internal Medicine 26 (2015) 572–584

[9] Prescrire Rédaction ““AMM fractionnées” : projet dangereux del’EMA” Rev Prescrire 2016 ; 36 (390) : 293-299

[10] Davidoff F, et al. Sponsorship, authorship, and accountability. Lancet 2001 ; 325 : 854 - 856. Publié simultanément dans 12 autres revues médicales

[11] G. Delépine N. Delépine, S Alkhallaf Les résultats des études pivot en cancérologie sont-ils fiables ? 6° Colloque de Bobigny : « Sur- et sous-médicalisation, surdiagnostics et surtraitements » 28 et 29 avril 2017

[12] Poole RM Pembrolizumab : first global approval.

[13] Essais cliniques : un nouveau Règlement européen à améliorer Rev Prescrire 2013 ; 33 (360) : 781-783.

[14] 1 Marciniak TA, Serebruany V. Are drug regulators really too slow ? BMJ 2017 ;357:j2867

[15] Études post-AMM : détournement à grande échelle La revue Prescrire • Septembre 2017 37 N° 407 • 697

[16] Spelsberg A “Contribution of industry funded post-marketing studies : survey of notifications submitted to regulatory agencies” BMJ 2017 ; 356 : j337 :

[18] « Le gendarme européen du médicament testé corrupto-positif », Le Canard enchaîné, 7 12 2011, p.3.

[19] ECA (European court of auditors) (2012), Management of conflict of interest in selected EU Agencies ; Special Report no 15 2012

[20] Dont médecins du monde dont la campagne d’information a été censurée par les agences de publicité

[21] B Druker, C Gambacorti-Passerini, J Goldman inventeurs du glivec « The price of drugs for chronic myeloid leukemia (CML) is a reflection of the unsustainable prices of cancer drugs : from the perspective of a large group of CML experts Experts in Chronic Myeloid Leukemia » Blood. 2013 May 30 ; 121 (22) :4439-44

[22] Dominique Maraninchi, Jean-Paul Vernant – appel des 110 (le 14 mars 2016).

[23] Hill A., Gotham D., Fortunak J., et al., Target prices for mass production of tyrosine

kinase inhibitors for global cancer treatment. BMJ Open 2016 ; 6

[24] C. Grillon, « Les blocages sont politiques et non juridiques » (Médecins du Monde, avril 2017).

 


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78 réactions à cet article    


  • Parrhesia Parrhesia 20 novembre 2017 09:36
    Excellent article.
    J’ajouterai, au risque de choquer, qu’à ce point les solutions ne relèvent plus des différents domaines de la santé publique, mais bien de la qualité du législateur et des parlements !
    Lorsque le mercantilisme généralisé sera jugulé par la Loi et non abandonné au seul gré mercantile des lobbies, il sera sans doute plus aisé de remédier à ces problèmes.
    Mais comme l’amélioration globale de la qualité du législateur passe préalablement et imparablement par la bonification mondiale des corps électoraux et par la moralisation de l’ensemble « media-pub », la solution n’est pas très envisageable, du moins à court terme...
    Bonne journée delepine.

    • Parrhesia Parrhesia 20 novembre 2017 09:47

      @Parrhesia
      Merci de lire : « ...qu’à ce point les solutions ne relèvent plus uniquement des différents... »


    • delepine delepine 20 novembre 2017 12:35
      @Parrhesia
       Merci le problème est évidemment global et tient à la perte de la liberté de soigner et d’être soigné  ! l’illustration en est maintenant la bagarre pour éviter cette aberration de l’obligation vaccinale qui touchera encore beaucoup plus de monde que les dérives du traitement du cancer via les plans cancer successifs autocratiques
       poursuivons l’information bonne journée aussi !


    • Emmanuel W 21 novembre 2017 14:33

      @delepine

      En fait, si je comprends bien, de par le laxisme de l’Agence du médicament délivrant les AMM, et de par les Plans Cancer, les médecins nous délivrent des traitements qui ne répondent pas aux critéres de l’Evidence Based Medecine (médecine basée sur les preuves). 

      Et vous, Nicole Delépine, avez été punie par l’AP-HP

      http://www.liberation.fr/societe/2014/07/24/la-fermeture-de-l-unite-d-oncologie-de-garches-confirmee-par-la-justice_1069430

      uniquement parce que vous vouliez faire votre travail en accord avec le serment d’Hippocrate, en refusant de prescrire des traitements qui s’avérent être objectivement moins efficaces que d’autres.

      Vous avez voulu exercer en conscience et pour cela on vous a ostracisée.

      Ceci est tout en votre honneur et est proprement dégeulasse de la part des autorités, autorités sous influences qui obligent donc les médecins a avoir des pratiques de charlatans.

      Ici une critique virulente de ces influences où l’on retrouve Gérard Delépine, merci à France Culture :

      https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/de-la-plante-au-medicament-44-soigner-ou-vendre

      où l’on apprend par exemple qu’il existe un facteur 80 de prix entre pays pour le même médicament.

      Car il ne faut pas se tromper de combat, le problème n’est pas BigPharma qui abuse et tentera toujours d’abuser, mais le Législateur qui permet à BigPharma d’abuser.

      Pour améliorer sensiblement la qualité des traitements ne pourrait-on pas

      1/ que ce soit le service public qui effectue les essais de phase III en facturant les labos ?

      2/ que le délai de 20 ans des brevets court à partir de la date de commercialisation pour éviter les mise hâtives sur le marché ?


    • Alren Alren 21 novembre 2017 18:59

      @Parrhesia

      "Lorsque le mercantilisme généralisé sera jugulé par la Loi et non abandonné au seul gré mercantile des lobbies, il sera sans doute plus aisé de remédier à ces problèmes."

      L’escroquerie qui permet à Big Pharma de vendre des médicaments inefficaces et dangereux cent fois ou plus leur prix de revient, n’est pas pour déplaire aux gouvernements qui par ce biais espèrent détruire les systèmes publiques et solidaires d’assurances maladies pour faire les choux gras des assurances privées.

      Inutile de compter sur un Macron pour inverser cette tendance qui lui convient !

      Ni sur les médecins qui veulent désespérément guérir leurs malades et les malades qui veulent désespérément guérir !


    • njama njama 20 novembre 2017 11:24

      bon ben alors, faut p’-être revenir à des remèdes les plus simples, les chances ne devraient pas être moindres, la chimiothérapie est loin d’avoir fait ses preuves, elle pousse bien des malades prématurément dans la tombe

      aux patients de ne pas accepter les protocoles avec des médicaments hors de prix

      Une cure de Breuss ?
      + en complément le bol d’air Jacquier car l’hypoxie peut-être fatale. 


      • foufouille foufouille 20 novembre 2017 12:04

        @njama

        liens verts amusants.


      • delepine delepine 20 novembre 2017 12:46
        @njama attention les dérives de la médecine académique font abandonner les traitements qui marchent par les patients conscients de la marchandisation de la médecine 
         
         nous nous battons pour que les patients revendiquent les traitements démontrés efficaces que la publicité pour les thérapies dites innovantes ne doivent pas faire oublier (comme certains tt miracles proposés par certains en alternative .. ) 

         en 1985 les pays riches guérissaient plus de 75% des enfants atteints de cancer (moins de 15 ans ) à 10 ans de recul des vrais guéris qui aujourd’hui nous demandent des conseils pour leurs enfants et aussi pour de 50 % des cancers de l’adulte 

         ces guérisons étaient obtenues grâce à la chirurgie correcte avec ablation de la tumeur associée à des chimiothérapies efficaces en complément à la résection tumorale. Aucune raison de priver les patients de ces tt là, ce qui n’empêche pas qu’ils se fassent aider par des tt complémentaires qui les soutiennent . 

         nous avions essayé d’éclairer leurs choix dans « cancer les bonnes questions à poser à votre médecin » en 2016 afin qu’ils ne perdent pas leur chance de survie en sautant la case « traitements démontrés efficaces ». bonne journée 

         pour plus d’infos allez sur notre site en tapant www.nicoledelepine.fr

      • njama njama 20 novembre 2017 14:03

        @delepine

        J’entends bien ce que vous me dites, je ne prescris pas qu’un jeûne sévère de 42 jours comme le cure de Breuss inspiré d’un grimoire du moyen-âge pourrait guérir n’importe quoi, cancers compris.

        Par contre à vous lire, je comprends que vous ne connaissez pas René Jacquier, éminent chimiste inventeur de la méthode d’oxygénation biocatalytique, qui s’est beaucoup intéressé aux cancers.

        De l’atome à la vie : Cancers - Maladies
        https://www.amazon.fr/lAtome-%C3%A0-Vie-Cancers-Maladies/dp/2844459374

        Ouvrage un peu ardu pour qui n’a pas de formation scientifique, mais Laurence Salomon, naturopathe, a très bien vulgarisé l’explication du procédé du Bol d’air et son usage. Réné Jacquier a d’ailleurs préfacé son livre.


      • delepine delepine 20 novembre 2017 14:32
        @njama
         bien sûr j’ai été amenée à m’intéresser à ces techniques complémentaires dont certaines ont un intérêt comme le bol d’air de Jacquier probablement . tous les congrès de médecine alternative en parlent largement et présentent le matériel . néanmoins je suis clinicienne et mon problème fidèle à Hippocrate est de proposer les traitements le plus souvent combinés pour GUERIR un max de patients par les tt éprouvés largement. Pour les autres techniques alternatives elle sont très largement développées sans que je n’interfère. J’essaie de ne parler que de ce que je connais bien ou ai étudié à fond. à chacun sa petite pierre ... 


      • njama njama 20 novembre 2017 14:48

        @delepine

        Je crois que la difficulté avec le cancer c’est que personne n’a d’ explications claires des mécanismes.
        Partant de là, la difficulté de trouver des remèdes adaptés à partir de raisonnements faux ou partiellement faux est d’autant plus incertaine. Je ne suis pas dans la médecine, mais je vois qu’au delà de la bonne figure que les médecins donnent (ils font ce qu’ils peuvent on est d’accord), il y a beaucoup d’incertitudes, on ressent bien qu’ils ne sont sûrs de rien ... tout le monde tâtonne en oncologie, et tout le monde fait ce qu’il peut.

        ça fait quarante ans que j’entends qu’on lutte contre le cancer, et je finis par me demander si on cherche au bon endroit ? la solution n’est pas toujours sous la lumière du réverbère (les académismes).

         


      • delepine delepine 20 novembre 2017 18:01
        @delepine
         erreur frappe un médicament à un million $:an et pas un milliard merci de corriger si possible ! (ne sait pas vous envoyer un message directement 
         désolée ! merci 

      • foufouille foufouille 21 novembre 2017 12:33

        @delepine

        le mieux serait que tu utilises un scenar cosmodi qui soigne tout comme toutes les thérapies vertes. le chlorure de magnésium soigne soigne la polio pour doctor X. et des tas d’autres maladies vertes.


      • njama njama 23 novembre 2017 10:44

        @delepine
        "bien sûr j’ai été amenée à m’intéresser à ces techniques complémentaires dont certaines ont un intérêt comme le bol d’air de Jacquier probablement .« 

        Je n’en doute pas.
        Si vous ne connaissiez pas Réné Jacquier, et que vous souhaiteriez rapidement en savoir un peu plus sur ce brillant personnage, Pierre Lance lui consacre un chapitre d’une bonne vingtaine de pages dans un de ses livres (à partir de la page 190 du PDF). Ce chapitre reprend d’ailleurs (page 211) la Préface du livre de Laurence Salomon rédigée par le Dr Norbert Avetyan ... :
        extraits
         »La clinique Labrouste est maintenant équipée de 10 appareils et cela fait un an que nous les utilisons de façon rigoureuse (...).
        Concrètement, depuis maintenant un an que nous pratiquons sérieusement la méthode, j’ai constaté que les malades sous chimiothérapie et radiothérapie supportaient mieux ces traitements. Leur vitalité étant améliorée, cela se répercute sur une meilleure qualité de vie. Ils se sentent moins affaiblis par les traitements et peuvent par conséquent poursuivre leur chimiothérapie et leur radiothérapie dans les délais prévus.
        Il est certain que l’OBC* n’est pas remboursée par la Sécurité Sociale, mais ne devons-nous pas évoluer vers plus de prise en charge, surtout en ce qui concerne notre propre santé ?
        Le Bol d’Air mérite d’être davantage connu, notamment dans les milieux scientifiques et auprès du grand public. Dans l’avenir, il sera certainement de plus en plus utilisé et reconnu pour son efficacité."

        *oxygénation biocatalytique


      • Zevengeur Zevengeur 20 novembre 2017 12:15

        Avant de traiter les conséquences du cancer, il faudrait s’intéresser aux causes  :
        Cancer, la catastrophe silencieuse


        • delepine delepine 20 novembre 2017 12:50
           rechercher les causes, oui mais en attendant les patients atteints en face de nous souhaitent guérir ou vivre plus longtemps, donc les deux sujets se complètent 

           quant aux causes il en est de bien connues oubliées par les plans cancer comme les pesticides, le glyphosate etc.. dont on parle beaucoup sans que rien ne change .. 

           glyphosate trouvé dans des vaccins aux USA semble-t-il pour nous ramener au combat du jour 

           les ogm sont aussi suspects .. Bref la liste est longue : ces combats s’additionnent bon courage à tous 

          • Zevengeur Zevengeur 20 novembre 2017 13:53

            @delepine

            Dans la mesure où la situation est très critique dès lors où l’on est atteint de la maladie, il faut au préalable tout faire pour ne pas être touché.
            Pour la prévention, chacun n’a donc pas d’autre choix que de s’informer sur les médias alternatifs au vu du silence assourdissant de la mainstream.

            -> voir cet article qui résume les principales mesures préventives anticancer dans une optique « best effort » :
            Cancer, la catastrophe : Se protéger

            Je vous rejoins entièrement sur la lâcheté de nos représentants « élus » qui ne lèvent pas le petit doigt afin de nous protéger, en témoigne la dernière exaction du « machin UE » qui a encore autorisé le glyphosate pour 3 ans supplémentaires.
            (Le temps pour Monsanto &co de mettre au point une nouvelle molécule toxique afin de repartir pour un tour de 50 ans d’empoisonnement généralisé des sols et des consommateurs).

            Ensuite, pour ceux qui sont touchés, pas d’alternative que de s’adresser à la médecine qui fera son maximum pour « retirer » le mal à défaut de le soigner.


          • njama njama 20 novembre 2017 16:07

            @ delepine

            On entend le Dr Gérard Delépine invité d’Élise Blaise sur TV Liberté pour analyser le programme de Agnès Buzyn, dénoncer clairement les cancers sur-diagnostiqués, certains du moins comme les cancers du sein. (de 11’22 à 12’49) sur le dépistage du cancer du sein
            https://www.youtube.com/watch?v=26x4o_-4Yi8

            Eh bien forcément de vouloir appliquer à des patients qui ne sont pas cancéreux des traitements pour cancéreux, on marche sur la tête, ça ne peut pas fonctionner, ça les transforme en malades.
            Le sur-diagnostic semble être devenu un gros problème commun à un certain nombre de pathologies. On découvre ainsi de l’hypercholestérolémie, là où il n’y en avait pas il y a 20 ou 30 ans, au simple fait d’avoir baisser des seuils qui la définirait. En plus que les statines sont vraisemblablement à ranger dans les médicaments peu efficaces aux effets secondaires un peu toxiques.On découvre des diabètes là où il n’y en avait pas pour les mêmes raisons.

            Et on met sous traitements des dizaines ou centaines de milliers de personnes qui ne sont pas malades mais qui le sont devenues ou vont le devenir en raison qu’on leur dit qu’elles le sont. C’est le triomphe de Knock et la médecine moderne !


            • sweach 20 novembre 2017 18:04

              Aille !


              Sujet beaucoup trop complexe, les médicaments anti-cancéreux sont vraiment à part.

              Sur les grandes lignes un anti-cancer tue ou bloque toutes les cellules qu’il rencontre, donc plus une cellule se multiplie ou possède de récepteur plus elle sera affecté par un anti-cancer.
              Même si nos cellules sont différenciés et se sont spécialisé, elles ont toutes le même ADN, donc de façon plus ou moins importante elles seront toutes affectés par un anti-cancéreux

              Donc on se retrouve à tuer vos bonnes cellules dans l’espoir que les mauvaises soient plus affecté par le traitement, car elles se multiplie plus vite et possède plus de récepteur.

              Le problème est que nos niveaux de connaissance actuel sont trop faible et qu’il existe énormément de cancer différent. On se retrouve donc dans un domaine très expérimental où chaque médecin tente un protocole pour son patien sans avoir beaucoup d’information ou de recul sur l’efficacité.

              De plus notre médecine a sectorisé le corps humain par organe, mais le cancer ne fonctionne pas par spécialisation des cellules qui l’entour, une erreur qui va prendre du temps à la médecine, car actuellement les protocoles sont fonction de la localisation du cancer.

              L’une des approches futur qu’il faudra avoir, ça sera un traitement spécialisé (à la carte), c’est à dire qu’il faudra rechercher en laboratoire qu’elles sont les médicaments anti-cancéreux efficace contre votre cancer avant de vous administrer le traitement.

              • delepine delepine 20 novembre 2017 18:31

                 erreur de penser que chaque médecin décide ...Les Plans Cancer depuis 2003, les circulaires de 2004 et 2005, les décrets de 2007 et la loi Bachelot de 2010 ont mis en place une organisation totalitaire du traitement du cancer qui, via les agences régionales de santé (ARS), la Haute Autorité de Santé et l’INCa, imposent aux cancérologues les traitements à donner à leurs patients, des thérapies ciblées le plus souvent possible. La réunion pluridisciplinaire « de concertation » permet de surveiller que chaque médecin file droit. La désobéissance à l’organisation les fera exclure pour « incapacité à travailler collectivement en milieu hospitalier 


                • njama njama 20 novembre 2017 18:59

                  @delepine
                  Les Plans Cancer depuis 2003, ... ont mis en place une organisation totalitaire du traitement du cancer qui, via les agences régionales de santé (ARS), la Haute Autorité de Santé et l’INCa, imposent aux cancérologues les traitements à donner à leurs patients, des thérapies ciblées le plus souvent possible.

                  C’est pas vraiment rassurant ce que vous dites... et ça conforte l’idée d’une médecine dogmatique, ce qui est manifestement le cas pour les vaccins.

                  La réunion pluridisciplinaire « de concertation » ...
                  c’est très bien d’échanger des points de vue entre confrères, mais que reste-il au final de l’indépendance de jugement (qui a ses faiblesses aussi, je ne veux pas l’ignorer), que reste-t-il au juste de la relation médecin-patient ? car il y a presque toujours une part d’histoire personnelle dans la survenue de ce genre de pathologie cancéreuse. Un très gros stress par exemple. Je cite l’exemple parce que un de mes amis à développer un cancer des voies biliaires peu de temps après avoir subi un home-jacking, et pistolet sur la tempe ! ...

                  Après faut pas en vouloir à certains de se tourner vers mes médecines alternatives


                • njama njama 20 novembre 2017 19:00

                  vers des médecines alternatives ... ou parallèles


                • Parlez moi d'amour Parlez moi d’amour 20 novembre 2017 22:24

                  @delepine

                  J’ai beaucoup d’admiration pour vos batailles que j’associe à toutes celles qui dénoncent les armes destinées à détruire la part d’humain de chacun en lui ôtant son libre arbitre. Vaccins, Linky, glyphosate, surmédication etc, toujours dans un but de profits boursiers, ce qui n’a rien à voir avec les progrès qu’on pourrait espérer d’une société dite civilisée.

                  Malheureusement vous avez parfaitement raison et la pieuvre qui ventouse tout le médical n’est pas prêt de lâcher prise. Seuls quelques patients réfractaires arrivent à s’échapper, pour le corps médical c’est beaucoup plus difficile. Même le médecin de famille qui était devenu mon médecin-référent (quelle horrible concept) a dû subir des pressions car sur le tard il prescrivait davantage et m’a confié être bien heureux de partir à la retraite vu la tournure que prenait l’exercice de sa profession.


                • francois 21 novembre 2017 08:11

                  @njama
                   A ranger avec les tenants de la chimio thérapie. Aussi mortel l’un que l’autre


                • njama njama 21 novembre 2017 11:25

                  @françois
                  entre bio thérapie et chimio thérapie, mon cœur balance !
                  j’ai encore le temps d’y réfléchir, je ne suis encore pas au pied du mur


                • francois 21 novembre 2017 08:09

                  Mourir sur cancer ou mourir des thérapies (anti) cancéreuses voila le choix actuel.




                  • francois 21 novembre 2017 08:15
                    Nouveau regard sur le cancer - Pour une révolution des traitements Jean-Pascal Capp :

                    Un état des lieux dramatiques de la lutte contre le cancer.


                    • njama njama 21 novembre 2017 09:38

                      Est-ce que le sur-diagnostic de cancer ne résulterait pas en partie de la sur-médicalisation de médecine préventive ?

                      J’ai peine à croire par exemple que 1 femme sur 8 sur la planète est touchée par le cancer du sein  ! A ce sujet une ancienne affiche qui banalise la mammographie de dépistage fait polémique dans les médias en ce moment. 1 femme sur 8 c’est tellement énorme d’un point de vue statistique que cela en est peu crédible ! d’autant plus que le programme national de dépistage est destiné aux femmes âgées de 50 à 74 ans. Mais assurément des campagnes de communication avec un tel slogan, ça doit faire flipper toutes les femmes, ou presque  !
                      On retrouve sur d’autres sites, la même info Fondation pour la Recherche Médicale https://www.frm.org/cancer-du-sein/chiffres.html
                      Le Cancer du Sein, Parlons-en ! promoteur de Octobre rose depuis 24 ans, est plus prudent car du risque à la réalité, il y a parfois loin « 1 femme sur 8 risque de développer un cancer du sein » mais néanmoins que le « dépistage précoce permet de sauver des milliers de vie ». enjoignant sur sa Page Dépistage un « suivi médical doit avoir lieu tous les 6 mois ou au minimum tous les ans à partir de 30 ans ».
                      Au final, on diagnostiquerait des cancers qui n’en sont pas.


                      • sweach 21 novembre 2017 14:05

                        @njama

                        Chiffres donnés par e-cancer.fr
                        Nombre de nouveaux cas estimés de cancer du sein en 2015 : 54 062

                        Une génération de femme c’est environ 400 000

                        En pure statistique, il y a 54 062 / 400 000 x 100 = 13.5

                        Donc je trouve 1 femme sur 13.5, ce qui n’est pas si loin de 1 femme sur 8 car mes critères statistiques sont trop restrictif et simpliste, mais ça permet de confirmer que cette affirmation est plutôt vrai.

                        Je suis de votre avis, ce chiffre est vraiment important et il est sous entend qu’un facteur environnemental pourrait affecter les femmes en favorisant ce cancer, il faudrait comparer avec d’autre pays.

                      • sweach 21 novembre 2017 14:11

                        @njama
                        *Au final, on diagnostiquerait des cancers qui n’en sont pas*

                        Peut probable, car pour établir un diagnostic de cancer très souvent par une étape histologie 
                        Donc le cancer est clairement observé par une analyse étape indispensable avant d’engager un traitement.

                      • njama njama 21 novembre 2017 16:46

                        @sweach
                        Nombre de nouveaux cas estimés de cancer du sein en 2015 : 54 062

                        oui, bon, des statistiques sur (des estimations) statistiques excusez-moi, mais ça ne me paraît pas très crédible d’un point de vue mathématique car si l’erreur est notoire à la base, on l’amplifie en la multipliant par X
                        entre estimations et cas réels faudrait voir ...
                        chacun gravite dans l’existence autour de nombreuses femmes et si je connais quelques assez rares cas de diagnostics de cancer du sein dans la micro-population féminine qu’il m’arrive de côtoyer, 1 sur 8 me paraît vraiment très exagéré ...
                        mais c’est sûrement très très vendeur pour faire du dépistage, ça je n’en doute pas  !




                      • njama njama 21 novembre 2017 16:58

                        @sweach
                        et puisque vous êtes dans les résultats d’histologie, au final quel pourcentage de cas cancéreux ?

                        de sources personnelles très sûres (plus que fiables) j’ai appris que dans un groupement de radiologues, systématiquement ou presque des échographies sont pratiquées comme examen complémentaire dans la foulée de la mammographie prescrite en contrôle de routine ou suite à suspicion.
                        Les médecins seront irréprochables, car chaque petit « nodule » (granula) peut être suspect (cancéreux ?), et personne ne pourrait leur reprocher de prendre beaucoup de précautions par d’autres imageries. Faudrait pas passer à côté de ... et chacun se protège, sort son parapluie, on ne sait jamais, deux précautions valent mieux qu’une.

                        Le régime de Sécu permet le cumul de ces actes, c’est très bon pour le chiffre d’affaires , et tant pis si au passage ça fait flipper les femmes, ou que cela les dirige vers des suites chirurgicales, ou chimiothérapies, radiothérapies et tout le reste ... parfaitement inutiles.

                        Les suspicions mériteraient d’être corroborés (idéalement par d’autres praticiens) après un « p’tit temps » car les cancers foudroyants sont très rares ...ce sont des pathologies qui permettent sauf cas très rares, un p’tit délai ... de réflexion pour confirmation.


                      • sweach 21 novembre 2017 18:02
                        *oui, bon, des statistiques sur (des estimations) statistiques excusez-moi, mais ça ne me paraît pas très crédible d’un point de vue mathématique*
                        Vous n’avez jamais travaillez dans l’administration :-P
                        Obtenir des chiffres fiable dans un institue c’est jouable, mais à l’échelle d’un pays ca devient un peu plus compliqué.
                        Donc oui, on est en droit de se poser des questions sur la véracité des chiffres, mais contrairement à vous j’ai déjà vue des cas de cancer du sein dans mon entourage et on ne peut nier leur existence relativement importante.

                        *que cela les dirige vers des suites chirurgicales, ou chimiothérapies, radiothérapies et tout le reste ... parfaitement inutiles.*
                        HOULA !
                        Là vous fabulez, car comme vous le dite, il y a quand même plusieurs étapes à franchir avant de passer aux traitements.
                        La mammographie, l’échographie, l’histologie, même des tests sanguins, il faudrait vraiment accumuler de nombreuse erreurs pour avoir un traitement « inutiles », aujourd’hui les médecins se couvre un maximum et démultiplie les examens donc peut probable.

                        *les cancers foudroyants sont très rares*
                        Bien en se moment je lis quelques études sur le cancer du poumon et sur celui du pancréas et l’espérance de vie moyenne médian après détection de ces cancers est donné en mois.

                        Si nous voyons moins de cancer foudroyant c’est principalement parque aujourd’hui nous avons des traitements.

                        *et tant pis si au passage ça fait flipper les femmes*
                        Ça pourrait être pire, car le discourt pourrait même être moralisateur sur les travers de notre société.
                        Ne pas avoir d’enfant et ne pas allaiter sont des facteurs de risque pour le cancer du sein, mais vue que ces observations vont à contre courant des débats sociétal sur la libération de la femme, on préfère les passer un peu sous silence.

                        • njama njama 21 novembre 2017 22:20

                          @sweach

                          Je vous remercie de reconnaître que « on est en droit de se poser des questions sur la véracité des chiffres » , ce qui vu de ma lorgnette, sans être expert mais cependant non démuni de formation scientifique, me parait basique dans le raisonnement.
                          Pour le reste, je ne fabule pas, je suis marié, mon épouse s’est prêtée deux, trois ou quatre fois à ce genre de dépistage dit « préventif » ... et elle n’y retournera jamais.

                          C’est juste un vécu singulier ...


                        • sweach 22 novembre 2017 10:11

                          @njama
                          Pour le reste, je ne fabule pas, je suis marié, mon épouse s’est prêtée deux, trois ou quatre fois à ce genre de dépistage dit « préventif »

                          Bien vous fabulez dans le sens où vous suggérez que la médecine applique des traitements anti-cancéreux inutile à des malades imaginaire.

                          Que vous suggériez que la médecine, les industriels et le gouvernement pratiquent trop d’« analyse » et autres « dépistage » souvent inutile, que leur discours soient trop alarmiste et anxiogène, je peu le comprendre car en réalité c’est difficilement vérifiable et potentiellement possible.

                          Mais en réalité les médecins ont trop peur pour prendre des risques inconsidérés et bien souvent au contraire ils tardent trop avant d’agir.

                          *et elle n’y retournera jamais*
                          Le dépistage est juste une « recommandation » pas une obligation, mais si votre femme n’a pas eu d’enfant, qu’elle arrive à un certain age et qu’il y a eu des cas de cancer du sein dans sa famille, oui les médecins vont quand même la « harceler » un peu.

                          Je comprend votre réaction, votre femme a certainement du subir de nombreux dépistages et autre analyse inutile avec un discours très alarmiste du corps médical. 
                          Mais en parallèle vous avez des maris qui ont vue leur femme attraper un cancer du sein et reproche à la médecine d’avoir trop tardé et de ne pas avoir suffisamment prit la mesure du problème.

                        • GerFran 21 novembre 2017 23:10

                          Le Professeur Peter Gøtzsche dénonce l’industrie pharmaceutique : « Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé »

                          https://www.youtube.com/watch?v=SCLZmFgTRyE&feature=youtu.be&nbsp ;


                          Scandale chez Merck, une ancienne cadre, Brandy Vaughan, avoue tout sur le Vioxx et les vaccins.


                          https://www.youtube.com/watch?v=vAwJrQIDTgQ&feature=youtu.be


                          • njama njama 22 novembre 2017 11:39

                            @GerFran
                            Vidéo Peter Gøtzsche très intéressant !!! merci pour le lien

                            à 6’05 « Dans un journal français, on m’a appelé ’un masturbateur de statistiques’ parce que j’ai montré avec des statistiques que les mammographies ne marchaient pas, et ce genre de choses »

                            « Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé »
                            Interview du Professeur Peter Gøtzsche sur la Pharmafia
                            http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=13899


                          • njama njama 22 novembre 2017 12:02

                            L’idée de base est que les macrophages activés engloutissent les cellules cancéreuses. GcMAF (facteur d’activation des macrophages glycoprotéiques) et la Nagalase (alpha-N-acétylgalactosaminidase)

                            « Comment fonctionne le GcMAF : Le GcMAF est la protéine qui active les macrophages et déclenche toute la réponse immunitaire. Pour inhiber le système immunitaire et endormir les macrophages, tous les cancers et les virus fabriquent la Nagalase, l’enzyme qui bloque la production de GcMAF. En l’absence de GcMAF, les cancers, le VIH et d’autres virus peuvent se développer sans entrave. Le Dr Nobuto Yamamoto a démontré que l’administration de GcMAF contourne le blocage du Nagalase et réactive les macrophages, puis procède à la destruction des cellules cancéreuses et des virus VIH. »
                            ° ° ° ° °

                            GcMAF et Nagalase : deux protéines étonnantes

                            25 Octobre 2017 -

                            Dans les cas de cancers de toutes sortes, et de toutes infections virales.

                            Voici un article extrêmement bien documenté et écrit par le Dr Timothy Smith, diplômé de l’Université de médecine de Cincinatti (Ohio), installé à Berkeley en Californie. Il décrit et explique très précisément, et dans un langage abordable par tous), les travaux de recherche du Docteur Nobuto Yamamoto, d’abord Professeur au Gifu Medical School au Japon, puis à l’Institut de recherche sur le cancer (Fox Cancer Center) à Philadelphie, Professeur de microbiologie, dont les travaux se sont portés sur la guérison des cancers et maladies virales, y compris Sida, grâce à une technique non invasive, et qui obtient des résultats expérimentaux qu’aucune autre thérapie ne peut, à ce jour, revendiquer.

                            Ce qui est regrettable et lamentable, c’est que la découverte du fonctionnement de ces deux protéines dans l’organisme, remonte à ,,,, 1991, la première publication à 2002 puis plusieurs en 2008, etc., et que « l’établishement scientifique » les ignore de la plus honteuse façon, jusqu’à tenter de les faire retirer des revues à comité de lecture où elles ont paru, et ce, pour de très nébuleux et sombres motifs.

                            Il est évident que, affirmer pouvoir éviter toute récidive de cancer, même métastasé, et à plus forte raison pouvoir détecter – et stopper - la formation d’un cancer (ou d’une infection virale) bien avant qu’il ne soit détectable avec les moyens officiellement admis, (c’est à dire visualisable par radiographie, IRM, Scanner, etc... et/ ou palpable), porte une atteinte financière intolérable à la trilogie officielle de la chimio, radio-thérapie et chirurgie. Crime de lèse-majesté !

                            lire la suite, article assez long

                            http://infoalternative.over-blog.fr/2017/10/gcmaf-et-nagalase-deux-proteines-etonnantes.html



                            • sweach 22 novembre 2017 14:01

                              @foufouille
                              Merci pour l’Hoax, en regardant le GcMAF dans des publications, on peut y voir des choses intéressante, mais sur le NET vous pouvez trouver des site qui vende directement ce médicament.


                              Hors nous sommes à des années lumière d’une telle perceptive car dans un premier temps il faut d’abord étudier puis faire différente phase de test et enfin commercialiser mais jamais en libre service sur le NET.

                              Un médicament qui soigne tout est évidemment une arnaque, puis philosophiquement parlant je vois mal comment nos macrophages pourraient faire.

                              Si vraiment je devais stimuler mes globules blanc pour pouvoir guérir d’un cancer, ça serait les Lymphocyte T cytotoxique qui m’intéresseraient le plus.

                              L’immuno-Thérapie n’en est qu’à ses débuts, mais c’est une approche relativement prometteuse pour l’avenir.

                            • sweach 22 novembre 2017 14:20

                              @sweach
                              Ha oui ! aussi, le GcMAF actuellement vendu par ces charlatans ne pourrait pas fonctionner de toute façon par voie orale.

                              Car la protéine serait inactivé et dégradé si elles devaient passer par notre tube digestif et elles seraient tout simplement digéré. ^^

                              Actuellement plusieurs groupe pharmaceutique se casse la tête pour rendre l’absorption de protéine viable par voie orale, principalement pour l’insuline, mais ce n’est pas encore au point.

                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 14:28

                              @sweach

                              un antivax récupère tous les hoax et arnaques du net. avec doctor x qui est médecin, on a eu droit à tous les trucs farfelus comme le pranisme, laetril, chlorure de magnésium et autres machins vert perlimpinpin.


                            • leypanou 22 novembre 2017 14:48

                              @foufouille
                              un antivax récupère tous les hoax et arnaques du net. avec doctor x qui est médecin : un provax récupère toute la propagande du lobby pharmaceutique et se contente de détruire son corps petit à petit à coup de gélules, comprimés et ampoules avec les effets secondaires qui vont avec.


                            • njama njama 22 novembre 2017 15:02

                              @foufouille
                              hoax ? vite dit, parce que certaines publications du Pr Yamamoto ont été jugées pas convaincantes ou insuffisantes ce qui ne veut pas dire pour autant que la piste suivie serait erronée

                              Pas d’essais cliniques
                              Selon le fonds anti-cancer, une fondation privée à but non lucratif installée en Belgique, le GcMAF «  n’a pas encore été convenablement étudié dans le cadre d’essais cliniques et les résultats en laboratoire n’ont pas encore été confirmés de façon indépendante. Jusqu’à présent, toute allégation d’efficacité de ce produit n’est donc basée sur aucun fondement scientifique. »
                              Un article scientifique sur le traitement du cancer du sein avec le GcMAF, paru en 2007, a ensuite fait l’objet d’un retrait.

                              source : http://www.20minutes.fr/sante/2094947-20170627-gcmaf-traitement-miracle-contre-cancer-autisme


                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 15:04

                              @leypanou

                              je ne suis pas provax car j’admets que un effet secondaire sur 100 000 ou un million est possible. j’ai été malade une grande partie de ma vie grâce aux « antivax verts » et médecins mais je n’ai pas eu la gangrène comme certains, ne suis donc pas mort. j’ai mis des cotons imbibé de bétadine des années car j’avais des esquarres entre les orteils. à part mon allergie au sparadrap, aucun effet secondaire. j’en ai eu quand je prenais des plantes à hautes doses par contre. le lobby pharma fait au moins des études minimum sur ses produits, lui.


                            • njama njama 22 novembre 2017 15:04

                              Le GcMAF est nommé sous le code  EF-022 **il fait l’objet d’études officielles

                              Safety Study of EF-022 ( Modified Vitamin D Binding Protein Macrophage Activator) in Subjects With Advanced Solid Tumors
                              ClinicalTrials.gov Identifier :
                              NCT02052492
                              First Posted : February 3, 2014
                              Last Update Posted : June 20, 2017
                              https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02052492

                              ** Modified Vitamin D Binding Protein Macrophage Activator EF-022

                              Definition : A modified version of vitamin D binding protein (VDBP ; Gc protein) macrophage activator, with potential antineoplastic and anti-angiogenic activities. Upon administration, modified VDBP-macrophage activator EF-022, acting in a similar manner as VDBP-macrophage activating factor (GcMAF), is able to activate tumoricidal macrophages, thereby enhancing the killing and eradication of cancer cells. In addition, EF-022 may inhibit tumor cell proliferation, migration and angiogenesis. VDBP is a glycoprotein and precursor for macrophage activating factor (MAF), which promotes macrophage activation ; however VDBP can be deglycosylated by serum alpha-N-acetylgalactosaminidase, which is secreted from cancerous cells, and cannot be converted to MAF. Thus, the macrophage activation cascade is often impaired in tumor cells and plays a key role in tumor immunosuppression. Modification of VDBP stabilizes MAF.
                               https://ncit.nci.nih.gov/ncitbrowser/ConceptReport.jsp?dictionary=NCI%20Thesaurus&code=C131824


                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 15:08

                              @njama

                              lis donc mon lien. un seul khmer vert prétend que c’est vrai, les autres médecins n’existent pas ou n’ont pas fait cette étude.


                            • njama njama 22 novembre 2017 15:29


                              Cancer cells destroyed by First Immune GcMAF

                              (2’15) https://www.youtube.com/watch?time_continue=135&v=D1WZrnCcH24

                              de l’essai en laboratoire à la pratique, à la validation, aux traitements ça prend du temps, mais l’idée de base d’activer les macrophages par une enzyme pour détruire les cellules cancéreuses est logique. La piste paraît prometteuse ...

                              Traduction de la vidéo :

                              0:03 – Premier test de l’activité immunitaire du GcMAF
                              0:06 – Si ce n’est pas actif ce n’est pas du GcMAF
                              0:10 – Dans notre laboratoire, nous cultivons des cellules humaines du cancer du sein MCF7
                              0:15 – Les cellules cancéreuses grossissent et remplissent tous les espaces entre elles ; elles présentent une image de type « pavage fou ».
                              0:23 – Nous ajoutons des macrophages aux cellules cancéreuses du sein et rien ne se produit.
                              0:26 – Puis nous ajoutons le GcMAF
                              0:30 – Image 1. Culture de cellules cancéreuses du sein en monocouche, 48 heures après le début
                              0:37 – Image 2. La même monocouche de cellules cancéreuses du sein 72 h après l’ajout des macrophages activés
                              0:45 – On peut voir les macrophages sous la forme de petites sphères brillantes
                              Elles ont remonté et sont entrées directement dans les cellules cancéreuses
                              0:51 – Maintenant, allons voir de plus près
                              0:54 – Ici, les macrophages se montrent sous la forme de sphères luisantes
                              1:02 – et se lancent pour attaquer les cellules cancéreuses marquées d’une flèche
                              1:09 – Les photos à intervalle régulier sur 60 h montre la couche cancéreuse se transformant d’une surface ondulée à une surface lisse, en partant d’en bas à gauche, pendant le processus de destruction du cancer. Puis les « doigts » du cancer sont aussi attrapés et détruits par les macrophages.
                              1:39 – Ici nous avons filmé une zone moins active et avons légèrement ralenti la caméra. On voit les macrophages se lier aux cellules cancéreuses qui semblent se replier sous cette attaque.


                            • njama njama 22 novembre 2017 15:52

                              @foufouille
                              J’ai lu le lien, j’ai même indiqué après d’où provenait la censure des publications de Yamamoto, de ici : http://www.anticancerfund.org/fr/therapies/gcmaf

                              Comme dit sweach L’immuno-Thérapie n’en est qu’à ses débuts, mais c’est une approche relativement prometteuse pour l’avenir.
                              et je suis bien d’accord avec lui. J’ajouterai en plus d’être soft par rapport à la chirurgie, la chimiothérapie, ...

                              Maintenant on peut se méfier de tout si on veut, ... force est tout de même de constater que les traitements actuels contre le cancer ne font pas de miracles loin de là ... 


                            • njama njama 22 novembre 2017 16:00

                              @foufouille

                              la source de la vidéo ci-dessus
                              https://gcmaf.se/
                              toutes les vidéos : https://gcmaf.se/videos/

                              ça peut être intéressant, pour se faire une idée


                            • sweach 22 novembre 2017 16:03

                              @njama
                              *hoax ? vite dit, parce que certaines publications du Pr Yamamoto ont été jugées pas convaincantes ou insuffisantes ce qui ne veut pas dire pour autant que la piste suivie serait erronée*

                              La science ne fonctionne pas comme ça, ce n’est parce que vous avez trouver quelque chose d’intéressant que vous pouvez le commercialiser et lui prêter toute les vertus qui vous chante.

                              Avouez quand même qu’il y a matière à rester prudent, surtout qu’il y a tentative de commercialisation du GcMAF sans le moindre essaie clinique.

                              *mais l’idée de base d’activer les macrophages par une enzyme pour détruire les cellules cancéreuses est logique*
                              Bon je vais vous faire une image, vu que vous aimez la vidéo, un macrophage fait environ 20µm, une cellule cancéreuse fait environ 20µm, donc même booster un macrophage va quand même avoir du mal à bouffer une cellule qui fait pratiquement sa taille.
                              Par contre il éliminera tout les débris si un Lymphocyte T cytotoxique a détruit la cellule.

                              Ensuite une cellule tumoral reste une cellule de votre corps, donc à moins d’avoir trouver un moyen magique, un macrophage même booster ne voudra pas s’attaquer à une cellule du soi.

                              Conceptuellement parlant j’ai un peu de mal à visualiser les macrophages s’attaquer à des cellules, mais pourquoi pas, c’est comme tout on manque de données.

                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 16:11

                              @njama

                              il n’existe aucune censure pour un labo car tout peut rapporter du fric et plus ou moins copié dans vingt ans. comme pour le lobby vert. un macrophage bouffe ce qu’il reconnaît comme un danger et si il ne peut pas, il forme une pseudo tumeur avec ses potes. j’en ai un paquet dans le bide. je doute énormément qu’il puisse être utile pour éliminer un cancer.


                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 16:51

                              @njama

                              je m’en fous de tes vidéos bidons trafiqués car star trek existes en vidéos donc star trek est vrai comme le générateur à patates de cabanel. n’importe qui peut avoir une idée mais il faut le prouver. je sais que approcher la vitesse lumière permet de la dépasser mais si c’est possible, je ne sais pas.


                            • njama njama 22 novembre 2017 17:25

                              @foufouille
                              khmer vert, toutes les thérapies vertes, hoax, tes vidéos bidons trafiqués ...

                              c’est pas avec des arguments aussi dépréciateurs que ça vous rendra crédible ! méfiez-vous de vous-même surtout, ça vous enfonce, tout seul, dès fois que vous ne vous en rendriez pas compte.
                              Ramenez donc un peu votre science de l’oncologie quelquefois que vous seriez à la hauteur parce que vos contributions sur le sujet, pour l’instant c’est plus bas que pauvre ...


                            • njama njama 22 novembre 2017 17:32

                              @sweach

                              Lymphocyte T cytotoxique est un type de leucocyte, et donc un macrophage si je ne me trompe pas.

                              Il n’y a peut-être pas que la forme Lymphocyte T cytotoxique qui peut détruire des cellules malades
                              ... enfin j’en sais trop rien


                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 17:43

                              @njama

                              j’ai vérifier toutes les sources de tes informations et elles sont malheureusement bidons. tout ce qui est une source verte est vrai pour toi.


                            • foufouille foufouille 22 novembre 2017 17:46

                              @njama

                              « Lymphocyte T cytotoxique est un type de leucocyte, et donc un macrophage si je ne me trompe pas. » si tu te trompes car le macrophage est en gros une poubelle.


                            • sweach 22 novembre 2017 18:41

                              @njama
                              *Lymphocyte T cytotoxique est un type de leucocyte, et donc un macrophage si je ne me trompe pas.*

                              heuuu comment dire ...

                              Leucocyte = globule blanc, c’est le nom qui les regroupes tous

                              Un lymphocyte et un macrophage sont deux globules blanc différent, sans parler de leur mode de fonctionnement, la plus grosse différence se trouve au niveau de la différenciation et maturation dans le thymus pour les lymphocytes mais pas pour les macrophages.

                              En gros les lymphocytes sont des chefs d’orchestre qui disent quoi faire aux autres globule blanc.
                              Les macrophage phagocytent et détruisent tout ce qu’ils peuvent attraper.

                              Généralement une cellule du corps même tumorale ne peut pas être attrapé par les macrophages, le plus souvent ils attrapent des micro-organisme recouvert d’anti-corps produit par les lymphocytes.

                              *Il n’y a peut-être pas que la forme Lymphocyte T cytotoxique qui peut détruire des cellules malades*
                              Oui c’est possible et certainement probable, mais les T cytoxique sont spécialisé dans la destructions des cellules anormales, c’est leur rôle.

                              *... enfin j’en sais trop rien*
                              c’est l’une des conditions première pour utiliser le conditionnel plutôt que l’affirmatif quand on s’exprime ^^, surtout quand les propos sont sujet à controverse.

                            • njama njama 23 novembre 2017 09:12

                              @foufouille

                              @njama

                              j’ai vérifier toutes les sources de tes informations et elles sont malheureusement bidons. tout ce qui est une source verte est vrai pour toi.

                              vous récidivez ! ne vous privez pas, étalez donc un peu vos connaissances sur le sujet, parce que pour l’instant avec vous c’est ground zero

                            • njama njama 23 novembre 2017 09:52

                              @sweach
                              En gros les lymphocytes sont des chefs d’orchestre qui disent quoi faire aux autres globule blanc.

                              c’est pas un peu trop simpliste ? L’activité cellulaire peut clairement être stimulée par des agents extérieurs. Et puisqu’on parle de globules blancs, exemple (qui plaira à coup sûr @ foufouille, un petit litron de cette solution stimulante devrait exalter les chefs d’orchestre de ses neurones qui me paraissent bien affaiblis) :

                              Traitement cytophylactique des maladies infectieuses par le chlorure de magnésium, la poliomyélite », Docteur Neveu, Librairie Le François, 1959.

                              AVANT PROPOS

                              En 1915, Pierre Delbet étudiait l’action sur les cellules de diverses solutions employées pour le lavage et le pansement des plaies et cherchait s’il n’existait pas quelque substance capable d’exalter leur vitalité.
                              Le rôle capital des globules blancs dans la lutte contre l’infection ayant été établi par Metchhnikoff, il prit ces cellules pour test dans ses recherches, et il eut la chance de constater assez vite qu’une solution de chlorure de magnésium à un certain taux augmente, dans une notable proportion, leur puissance phagocytaire, l’augmentation portant sur le nombre des polynucléaires qui phagocytent et sur la puissance phagocytaire de chacun d’eux.
                              « Cette méthode qui a pour but d’exalter la vitalité des cellules, nous dit Pierre Delbet, je l’ai appelée cytophylactique. Le mot cytophylaxie veut dire protection des cellules ».
                              ° ° °
                              Par une série d’expériences, Pierre Delbet élargit, ensuite, le rôle de la cytophylaxie et, de méthodes de pansements, elle devint une méthode générale qui augmente la puissance de l’organisme, non seulement contre l’infection des plaies, mais encore contre l’avitaminose, contre l’anaphylaxie, contre le dépérissement sénile et contre la cancérisation.
                              ° ° °
                              Il m’advint, fortuitement, d’apporter une importante contribution à la méthode cytophylactique du professeur Pierre Delbet.
                              En 1932, je fis prendre du chlorure de magnésium à une petite malade, Ghislaine L..., atteinte d’angine suspecte, dans le but d’atténuer les troubles anaphylactiques du sérum que je pensais lui injecter, en attendant l’analyse de son prélèvement amygdalien.
                              Je fus surpris, le lendemain matin, de constater la guérison totale de Ghislaine avant que le résultat de cette analyse - qui était positive pour le bacille de Loeffler - me fut communiquée par le laboratoire. Cette première guérison de la diphtérie par le chlorure de magnésium a été le point de départ de mes recherches sur le traitement cytophylactique des maladies infectieuse en général.
                              ° ° °
                              Le lecteur trouvera dans les observations suivantes, la relation des résultats inespérés qui ont été obtenus, par cette nouvelle méthode thérapeutique dans le traitement de la poliomyélite.


                            • sweach 23 novembre 2017 10:38

                              @njama
                              *c’est pas un peu trop simpliste ?* 

                              On peut effectivement rentrer dans les détails de nos niveaux de connaissance dans ce domaine, mais je vous rappel que vous confondiez Lymphocyte et macrophage

                              La réaction immunitaire impliquent une cascade de réaction biochimique qui sont encore à ce jour mal connue.

                              *L’activité cellulaire peut clairement être stimulée par des agents extérieurs.* 
                              Oui c’est vrai, mais la science ne se contente pas d’observation, il faut chercher à comprendre pourquoi et voir si cela est reproductible et sans conséquence.

                              Vous prenez l’exemple du chlorure de magnésium trouvé sur le NET, effectivement les observations d’utilisation pour une plaie vont dans le bon sens (principalement due aux ions chlorure antiseptique),

                              Mais on pourrait également prendre l’exemple de l’aluminium (hydroxyde, phosphate, sulfate, voir même chlorure) placé en adjuvant dans les vaccins.
                              Certe ces substances (des ions) stimulent notre system immunitaire, mais dans certain cas, ça le rend fou et stimule des maladie auto-immune.

                              Pour le cas de la GcMAF, c’est une bonne approche, car la biochimie est un ensemble de réaction qui forme des équilibres avec des molécules qui stimule et d’autre qui réprime des activités.
                              C’est d’ailleur toute les démarches d’approche des immunothérapies

                              Mais ça ne va pas se faire du jour au lendemain et il ne faut pas se jeter sur la premier observation venu, il faut d’abord identifier, comprendre, voir si on peut influencer, reproduire, etc ...

                            • njama njama 23 novembre 2017 11:07

                              @sweach
                              Mais ça ne va pas se faire du jour au lendemain et il ne faut pas se jeter sur la premier observation venu ...
                              Je suis bien d’accord, mais encore faut-il en prendre connaissance, savoir que ces hypothèses existent. Je crois que la solution sortira d’une vision « quantique » des différentes approches, sans vouloir les opposer ... l’obstacle peut s’avérer humain, car il y a des rivalités économiques souvent éloignées de la philanthropie qui peuvent faire obstruction si ça nuirait à leurs intérêts.

                              Pour le cas de la GcMAF ... je suis d’accord aussi, il y a de la cohérence, c’est un très bon point de départ et le Pr Yamamoto ne doit pas être un imbécile je pense. Faut pas non plus que des fondations privées se donnent des rôles d’inquisiteurs, et se fassent les ayatollahs d’académismes.


                            • njama njama 23 novembre 2017 11:11

                              @sweach

                              l’exemple du chlorure de magnésium trouvé sur le NET
                              J’ai le fascicule du Dr Neveu, version papier d’origine 1959 qui reprend toutes ses observations et conclusions. Je ne prétends pas que ça soigne le cancer évidemment, mais pour l’utiliser moi-même par petites cures intermittentes, je sais très bien que le chlorure de magnésium est un très bon stimulant et que c’est un remède efficace loin d’être obsolète ... à avoir à portée de la main.

                              les bouquinistes se font rares, et comme il est numérisé, si ça vous intéresse d’en prendre connaissance ...
                              Lien de téléchargement :
                              http://www.aryanalibris.com/index.php?post/Neveu-A-Traitement-cytophylactique-par-le-chlorure-de-Magnesium-La-Polyomyelite


                            • foufouille foufouille 23 novembre 2017 12:45

                              @njama

                              delbet n’a jamais soigné la polio avec ton magnésium, pour neveu, il a certainement déliré car jamais rien prouver du tout.


                            • foufouille foufouille 23 novembre 2017 13:11

                              @njama

                              http://www.biusante.parisdescartes.fr/ressources/php/fragments/medica_ajax_ proxy.php?cote=90130x1947&p=250&do=page

                              il n’est pas cité ton neveu. vu les doses de ce sel, ce ne seras pas un petit dérangement intestinal mais un gros. avec des effets sur les reins.


                            • foufouille foufouille 23 novembre 2017 13:21

                              @njama

                              http://data.bnf.fr/12628114/auguste_neveu/

                              ses livres existent vraiment mais ce n’est pour ça que c’est vrai.


                            • njama njama 23 novembre 2017 13:35

                              @foufouille

                              tout est faux, tout est toujours bidon, khmers verts, avec vous, TOUT... sauf bien sûr votre science infuse que vous peinez vraiment à distiller ... on se demande bien pourquoi ! seriez-vous constipé de la cervelle ?

                              et pourquoi vous perdez votre temps sur un sujet qui visiblement ne vous intéresse pas, et pourquoi vous le passez à dénigrer, rabaisser, clabauder ... Vous n’avez rien de mieux à faire dans la vie ?
                              soignez-vous ça devient grave si pas pathologique ...


                            • sweach 23 novembre 2017 14:02

                              @njama
                              *J’ai le fascicule du Dr Neveu, version papier d’origine 1959 qui reprend toutes ses observations et conclusions.*

                              Comme dit précédemment une observation, ce n’est pas une compréhension, dans cette histoire du Dr Neveu on est en présence d’un docteur « miracle » dont l’efficacité du traitement n’a jamais été prouvée.

                              Sinon je confirme le propo de @foufouille, un excès de sel (d’ion chargé) est très mauvais pour le transit et surtout pour les reins.

                              Utiliser le chlorure de magnésium sur une plaie peut être positif, car ça jouera un rôle d’antiseptique, même si aujourd’hui on a mieux et surtout moins douloureux.
                              Au niveau de l’ingestion je serai plus prudent, car les ions chlorure sont très néfaste en trop grande quantité.

                              Par contre l’action du magnésium a été démontré comme étant essentiel au bon fonctionnement de notre system immunitaire, ainsi une personne qui présente une carence en magnésium aura un system immunitaire plus faible.
                              Si votre mode alimentaire ne vous apporte pas suffisamment de magnésium faire un complément peut apporter un boost, c’est peut être une explication pour les observations du DR Neveu il y a près d’un siècle.

                              Après si votre mode alimentaire est correcte, il n’y a visiblement pas d’utilité particulière d’un excès en magnésium au contraire même.

                            • njama njama 23 novembre 2017 16:41

                              @sweach
                              dont l’efficacité du traitement n’a jamais été prouvée.
                              Dr Delbet et Neveu n’auraient raconté que des conneries ... ?

                              Il faut replacer dans le contexte, de avant 1959.
                              Le DR Neveu écrit juste après sont ’Avant Propos’ : « Il n’existe pas, à proprement parler, de traitement efficace, actuellement connu, de la poliomyélite. Toutes les méthodes thérapeutiques qui ont été essayées n’ont donné, jusqu’ici, aucun résultat satisfaisant. Il faut bien se rendre à l’évidence. La poliomyélite reste, à juste titre, une maladie redoutable, entre toutes, contre laquelle nos moyens de défense se bornent à des mesures d’hygiène préventives. Moyens précaires. »
                              ° ° °
                              L’innocuité du vaccin contre la polio mise à mal un mois après son lancement
                              Par Camille Lestienne Publié le 10/04/2015 à 18:44

                              ARCHIVES - Aux États-Unis, la campagne de vaccination contre la polio entamée le 12 avril 1955 est stoppée net quand des enfants vaccinés déclarent la maladie.
                              http://www.lefigaro.fr/histoire/archives/...

                              Dans son livre sur la polio, le Dr Neveu écrit : « C’était l’époque du lancement du vaccin anti-polio français. La presse procédait donc au grand battage qui accompagne toujours un évènement de ce genre, voire de chaque cas de polio. Le public tremblait devant le « terrible fléau » et se ruait sur le vaccin protecteur. Que serait-il advenu, s’il avait appris que, la polio prise à son début, se guérit plus facilement qu’un rhume de cerveau sans laisser de séquelles ? L’avenir du vaccin était irrémédiablement compromis…et les laboratoires qui le fabriquent voyaient leur échapper un chiffre d’affaire s’élevant à des dizaines de milliards d’anciens francs. »
                              (Dr Neveu in « Prévenir et guérir la poliomyélite », 7° édition, 1983 p 15)

                              Nicolas Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Pierre Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. C’est dans une lettre adressée au Dr Neveu en date du 16 novembre 1944 qu’il révèle : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »


                            • njama njama 23 novembre 2017 17:04

                              @sweach

                              Je n’ai pas parlé d’un docteur « miracle », quant à l’efficacité du traitement par le chlorure de magnésium je vous laisse juge des documents, comme du contexte dans lequel ont été révélées les observations de ces médecins.

                              Le chlorure de magnésium, ce n’est pas de l’apéro, (en plus que le goût est peu agréable, mais on s’y habitue) faut l’employer avec parcimonie, et à propos

                              La posologie figure en page 36 et 7 du fascicule du Dr Neveu. La seule restriction (à ma connaissance) est pour les personnes gravement atteintes d’insuffisance rénale.

                              « Les cahiers de biothérapie (n° 39, septembre 1973) ont publié les résultats des docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par le Dr Chevreuil, de Nantes, et concernant des personnes atteintes de tétanos et considérées comme perdues : ils ont obtenu des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de chlorure de magnésium dans 20 cm3 de sérum physiologique par voie intraveineuse. »
                              http://www.sylviesimonrevelations.com/article-la-disparition-des-maladies-infectieuses-n-est-pas-due-aux-vaccins-119159716.html


                            • njama njama 23 novembre 2017 17:30

                              @sweach

                              A propos du contexte historique, il manifeste des rivalités économiques, des concurrences académiques qui feront qu’un remède sera privilégié par rapport à un autre aux effets supposés similaires, ou proches.
                              Pierre Lance, écrivain, journaliste et philosophe ... écrit dans le livre que je citais plus haut : « Car la « vérité » antibiotique du champignon penicilium, découverte par Alexander Fleming en 1927 (ou 28 ou 29 selon les dictionnaires) allait se heurter à toutes les obstructions pendant quinze ans. Il sera fait obstacle à cette vérité parce qu’on utilisait alors les sulfamides, moins efficaces mais financièrement très rentables.Et la vérité de Fleming ne triomphera que grâce à la guerre, parce qu’il fallait à tout prix récupérer les milliers de blessés menacés par la gangrène. Autrement dit, sans la Deuxième Guerre mondiale, pas de pénicilline et pas de « triomphe de la vérité », de celle-ci comme de bien d’autres. »

                              L’analogie avec d’un côté la découverte fortuite du chlorure de magnésium comme remède par les Dr Delbet et Neveu, et de l’autre la vaccination polio qui était nouvelle et simultanée, est un peu du même ordre que celle entre la pénicilline et les sulfamides (antibiotiques sulfamidés) découverts l’un et l’autre à la même époque. Le choix de l’un se fait souvent au détriment de l’autre ! ... du moins souvent dans un premier temps
                               https://fr.wikipedia.org/wiki/Antibiotique_sulfamid%C3%A9#D.C3.A9couverte


                            • sweach 23 novembre 2017 17:30

                              @njama
                              WAW !

                              Il faudrait se pencher sur tout ces cas particulier qui remonte à presque un sciècle en arrière pour voir les causes et les contre vérité.

                              *Que serait-il advenu, s’il avait appris que, la polio prise à son début, se guérit plus facilement qu’un rhume de cerveau sans laisser de séquelles ?*
                              Cet argument n’a aucun fondement, on peut même affirmer qu’il est mensongé.

                              *Dr Delbet et Neveu n’auraient raconté que des conneries ... ?*
                              Non le Dr Delbet a fait des expérimentations, des observations et il en a tiré des conclusions, ça fait une grosse différence avec un traitement dont l’efficacité a été prouvée et éprouvée.

                              A savoir que :
                              La poliomyélite, la diphtérie, la peste, ... BREF absolument toutes les infections peuvent être vaincu par notre system immunitaire, c’est principalement votre état de santé qui déterminera l’intensité de la maladie et si vous allez en survivre.

                              Au vu de l’époque et des faits exposés, je pense que ces Médecins ont tiré des conclusions hative.
                              A cet époque les gens soufrés bien plus de mal nutrition que aujourd’hui et faire des suppléments en chlorure de magnésium devait booster un peu le systems immunitaire des malades, d’où leur observations, qui je le rappel de toute façons finissait quand même par guérir dans la plupart des cas.

                              Le vaccin contre la polio a beaucoup d’histoire, celle-là je ne la connaissais pas, moi j’ai plus vu la version avec des singes et la contamination avec le VIH.

                              Votre idée et de faire un parallèle avec des industriels pharmaceutiques qui auraient fait des lobbys pour passer sous silence le résultat de médecin controversés, c’est quand même un peu tirer par les cheveux ^^

                            • foufouille foufouille 23 novembre 2017 18:23

                              @njama

                              delbet n’a jamais rien écrit à ce sujet. un essai thérapeutique est fait sur 200 personnes.


                            • njama njama 23 novembre 2017 22:00

                              delbet n’a jamais rien écrit à ce sujet.

                              négationnisme ? vous voulez que je vous envoie l’original de sa publication de 1959 ?

                              un essai thérapeutique est fait sur 200 personnes.

                              et pourquoi pas 100, ou 300  ? ou 1000 ? 3000 ?
                              j’aurais plutôt eu foi sur les « résultats » plutôt que sur le nombre de participants (cobayes) d’une expérimentation, pas atteints de maladies (ce qui biaise les conclusions), sauf à leur avoir inoculés (à leur insu probablement) ...

                              De ce point de vue, 10 ou 20 observations du Dr Neveu sur des cas bien réels auxquels il fut confronté dans sa pratique me semblent plus convaincantes que vos critères ... fumeux, ou vaporeux faute de références analytiques.

                              Pourriez pas nous (me) donner vos références scientifiques de critères de validation ? je vous trouve un peu léger sur cette question ... et ne suis pas vraiment prêt à vous croire sur parole


                            • sweach 24 novembre 2017 10:08

                              @njama
                              *d’un côté la découverte fortuite du chlorure de magnésium comme remède par les Dr Delbet et Neveu, et de l’autre la vaccination polio qui était nouvelle et simultanée*

                              J’avoue ne pas connaitre cette histoire, mais d’un point de vue stratégie médical, les deux ne sont pas sur le même axe thérapeutique, ils ne peuvent donc pas se faire concurrence.

                              - Le vaccin est un moyen de prémunir d’une maladie, si vous la possédez déjà il n’aura aucune efficacité.
                              - Un traitement est curatif, il doit être appliqué que si vous avez contracté la maladie, si vous ne la possédez pas il n’aura aucune efficacité.

                              Faire un lien concurrentiel entre un vaccin et un traitement n’a pas beaucoup de sens car il ne s’applique pas au même personne.
                              Si l’usage du chlorure de magnésium ne c’est pas généralisé, c’est tout simplement parce que ce traitement n’a pas fait ses preuves au sein du corps médical.

                              On a beaucoup d’exemple comme l’homéopathie, mais une absence de preuve ne signifie pas forcement une inefficacité, c’est juste qu’elle n’est pas comprise où non reproductible.

                              Par contre une guerre commercial entre la pénicilline et les sulfamides est plus réaliste, l’histoire est écrite par les vainceurs, les deux sont des antibiotiques, c’est juste l’usage et l’expérience qui à privilégié la pénicilline.

                            • leypanou 22 novembre 2017 14:55

                              L’Union Européenne a dépossédé la France de son droit de refuser l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament qu’elle juge inutile ou dangereux  : c’est pour çà qu’il faut se défaire à tout prix de ce corset qui nous empêche de vivre comme bon nous semble en récupérant toutes les souverainetés sur des sujets comme la médecine justement (et le CETA va encore empirer la vassalisation avec les tribunaux d’arbitrage).


                              • foufouille foufouille 22 novembre 2017 15:05

                                @leypanou

                                dans ce cas il faudrait interdire l’homéopathie inutile ?


                              • adrien 23 août 2021 17:42

                                en tout cas, c’était déjà bien connu que l’exposition des professionnels de santé aux cytostatiques employés comme traitements lors des chimiothérapies, absorbés par voie cutanée et respiratoire, les exposent à des risques mutagènes, toxiques et tératogènes : https://www.officiel-prevention.com/dossier/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-biologique/la-prevention-des-risques-des-soins-infirmiers-risques-professionnels-infirmieres 

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