En fait ce que vous dites, à part bien sûr interdire cette religion, c’est simplement...de bannir les courants extrêmes n’est-ce pas ? Oui sur ce point c’est tout à fait juste, je ne comprends même pas qu’on puisse, dans notre pays, laisser libre court au nom de la liberté de pratiquer la religion, à de telles interprétations et donc déviances.
Tout comme on ne devrait pas permettre à certain responsables de cultes de pratiquer. L’imam de Brest, dans son usine à prier, apprend aux gosses que la femme n’est qu’un objet (créé pour faire la bouffe, les gosses et le ménage) et que la musique « c’est diabolique ». Je ne vois là aucun élément « français » et encore moins en accord avec les valeurs fondamentales de notre pays.
De toute manière, si on parle de violence dans la religion, il faudrait déjà l’éradiquer dans l’ensemble des passages entiers des textes religieux sur les massacres « justifiés », lapidation ou tout genre de tortures, etc. Ca en ferait sûrement jaser plus d’un^^
On voit souvent des passages de l’islam mais par contre on voit beaucoup moins des citations comme celle du Lévitique : « Préparez le massacre des fils, à cause des iniquités de leurs pères ! Qu’ils ne se relèvent pas pour conquérir la terre, et remplir le monde d’ennemis ! ». J’ai aussi vu, dans le métro, une dame lisant un petit livre où il était marqué une phrase commençant par « Je te lapiderais... ».
C’est quand même dingue qu’à notre époque on ne soit pas foutus, dans un contexte de fragilisation de la société (avec un retour « identitaire » inévitable comme sorte de refuge), on ne soit pas foutus de faire ce qu’il faut pour éradiquer les bases de cette violence et mépris. C’est pourtant simple finalement.
Pour ce qui est du domaine politique, il est normal qu’ils ne fassent rien car le rôle-même des politiques est de parler de tout sans rien faire - ou bien voter une loi débile qui cause encore plus de problème qu’à l’origine. N’oublions pas également ce mélange (important finalement car il explique bon nombre de choses) d’incompétence et de laxisme qui les caractérise, en plus du fait que l’accession aux hautes fonctions est depuis plusieurs décennies essentiellement axée sur la course au pouvoir et non pas basée sur un véritable programme pour l’avenir du pays.