@Jonas
À choisir entre le
communisme athée et le nazisme permettant le culte catholique en
Allemagne, Pie XII, nonce apostolique dans l’Allemagne nazie avant
son élection en mars 1939, optait évidemment pour le nazisme, même
s’il lui préférait le fascisme de Mussolini et surtout celui de
Franco qui faisait du clergé catholique l’outil privilégié de sa
dictature sur le peuple espagnol.
Pape pendant la
guerre, jamais il n’a protesté contre l’extermination systématique
des Juifs, alléguant que cela mettrait en danger les catholiques
allemands. Or ceux-ci étaient en nombre suffisant dans l’armée
allemande et dans la Bavière de Nuremberg, pour qu’une persécution
de représailles soit impossible.
Les prêtres et
prélats déportés à Dachau le furent non comme catholiques mais
comme opposants au Reich et la plupart d’entre eux étaient de la
race inférieure slave, des Polonais.
Les écoles
confessionnelles furent fermées car le nazisme exigeait que les
enfants allemands reçoivent l’enseignement national-socialiste,
obligatoire dans les écoles publiques, complété par les formation
de la Hitler Jugend et pour l’élite dans les internats nommés
"Nationalpolitischen Erziehungsanstalten
(officiellement NPEA, désignées également sous
l’acronyme Napola pour NAtionalPOlitische
LehrAnstalt" (Wikipedia).
Évidemment
en 1944, quand il fut évident que Hitler serait vaincu après
Mussolini, l’attitude de l’Église envers les Juifs changea, tout
comme celle de Salazar au Portugal, et quelques Juifs durent la vie à
l’Église, après que de nombreux prêtres en aient sauvé
secrètement de leur initiative personnelle.
Après
la guerre, le Vatican fournit de nombreux passeports à des nazis
allemands ou étrangers fuyant en Amérique latine où un certain
nombre deviendront tortionnaires au service des dictatures soutenues
par la CIA, beaucoup étant cachés dans des couvents avant leur
exfiltration.
Le
Christ n’a jamais existé pour la bonne raison que les Romains ne
crucifiaient que ceux qui avaient mis en danger l’Empire romain ou
assassiné un dignitaire romain.
Les
autres, non-esclaves étaient pendus ou tués d’un coup d’épée dans
le cœur.
D’autre
part les gouverneurs romains des provinces conquises ne demandaient
pas leur avis aux populations soumises pour prononcer leur sentence !
Enfin
Flavius Joseph, historien juif de l’époque ne mentionne nulle part
la présence d’un homme ayant eu une telle influence en Palestine. En
revanche, beaucoup de prédicateurs de la secte des Esséniens
annonçaient la délivrance du peuple juif s’il adoptait une vie
austère.