@attis :
Rien à voir.
Pour Sarkosy, tout à fait d’accord, rien a ajouter ni à retirer, mais ce n’est pas le sujet du jour.
Pour Trump, l’affaire me paraît être bien différente et va déboucher sur tout autre chose.
Effectivement Trump semble être le candidat d’une partie de cet « état profond » qui a créé sans doute cette vague contestataire à laquelle a adhéré une grande parti des citoyens américains qui ne pouvaient plus accepter les mensonges et la ruine du Pays à laquelle ils assistaient depuis plus de vingt ans, cet enlisement dans les guerres imbéciles + la détestation de plus en plus évidente de leur Pays par le reste du monde.
Les deux discours cités dans cet article, puis celui de son investiture ont donné un axe, une direction et de la vigueur a sa démarche
Ce mouvement pourrait bien avoir été imaginé et propulsé par Kissinger et son équipe, qui ont bien compris que la politique néo-cons était au bout du rouleau et qu’elle s’était rendue complètement odieuse à la plupart des américains : il était bien facile de la critiquer et de la rendre responsable de l’enlisement du Pays (ce qui était, on ne peut plus, évident).
La démarche est la suivante, maintenant : faire cesser les guerres imbéciles lancées par les néo-cons, mettre au congel l’esprit sioniste, relancer les échanges économiques, sortir de la confrontation internationale qui ne mène à rien de bon, etc, etc...
Ces gros investisseurs ont tout intérêts maintenant à faire réussir Trump : ils s’en sortirons eux, de leur côté, blanchis et avec les honneurs en plus.