Salut @Ouam,
ravi de voir ta perspicacité. S’agissant du commentaire de @jclavau je me doute bien que l’unanimité n’existe pas moins encore la mauvaise foi donc.....
Revenons à nos moutons, les combinaisons pour asseoir ce développement sont cités dans l’article ainsi que l’indispensable solidarité des nations qu’il convient d’instaurer pour que cela soit réalisable :
Dans plusieurs pays, notamment l’Afrique du Sud, l’Éthiopie, le Kenya
et le Maroc, les énergies renouvelables représentent une part graduelle
de la production nationale d’électricité.
Des initiatives prometteuses, axées pour la plupart sur les énergies
renouvelables, telles que l’énergie solaire, éolienne et hydraulique,
ont également été mises en place en vue d’approvisionner d’autres pays
en électricité.
Cette annonce est au cœur du nouveau rapport de l’Africa Progress Panel,
intitulé Lumière, puissance, action : Électrifier l’Afrique.
Concernant l’article du site https://blogs.worldbank.org, je connais bien la problématique car cela à cours chez moi au Bénin dans la propriété de ma mère, les branchements sauvages demeurent une constante universelle, partout où il y a l’électricité même ici en France et, je doute fort qu’on y échappe puisque cela existe depuis et perdure. J’irai plus en avant, je pense que cela se propagerait de façon incontestable.
En fait l’énigme est simple, mes chroniques soulèvent les aptitudes à mettre en œuvres pour accéder aux besoins élémentaires pour les Africains en général, les politiques adéquats qui feront que le développement, la croissance, la création d’emplois, la consommation seront envisageables. On part de tellement loin que cela est possible. Se faisant nous devons changer radicalement d’état d’esprit et là je tiens pour comptables les gouverneurs à la peau noires qui sont à la botte des occidentaux. Parce que rien de tel ne pourra voir le jour sans cette prise de conscience de nos dirigeants dans un premier temps. Quand tu sais que les émigrés expédient des centaines de milliards de dollars par an en Afrique.
Trop souvent, les débats sur l’émigration mettent l’accent sur la fuite
des compétences et de la main-d’œuvre des pays pauvres vers les pays
riches. On estime à 3,6 millions le nombre d’Africains éparpillés dans
le monde, certains ayant suivi une formation très poussée. Le départ de
ces autochtones prive de compétences et de main d’œuvre des secteurs
essentiels de l’économie. Les services énergétiques, le développement et la gestion des infrastructures énergétiques, l’agriculture, secteur-clé dans de nombreux
pays africains, a pâti de l’exode des zones rurales. Que fait on pour endiguer cette frénésie ??? C’est de ça que traite la plupart de mes textes. Nous savons que la déficience de l’Afrique réside surtout dans la politique régenter par ses gouvernants pro occidentaux. TROP !!!