@Zénon. Carburant à la guerre sexiste, Son Omniscience Infuse (surtout confuse)
a daigné insinuer que s’il est question de paranoïa, alors par
définition, c’est le mâle qui est le malade mental.
Les documents étant tous publics, reportons nous au chapitre Au
moins un de
nous deux est fou.
Lequel
? Ou les deux ?
On
relève dans mon courrier du 5 février 1993 :
« Très à court de place,
j’envisage enfin de
donner au bureau d’études M..s. 2160 g de
listings, dont
le contenu lui appartient « J’espère
au
moins que tu vas récupérer la couverture et le
lien !
Tu ne te rends pas compte ! Il y en a au moins pour 4
F ! »
Génial ! toute cette essence et ce temps, pour
aller
déverser 470 pages en vrac sur une table...
Ç’aurait
été un gag propre à faire le tour de Saint-Quentin
en 15 jours, et à aboutir dans la presse locale...
Vendredi dernier : « Quoi ?
Tu n’as
pas résilié l’abonnement à
la redirection
d’appel ! Tu ne te rends pas compte de tout cet
argent
gaspillé ! Sais-tu au moins combien ? »
Exactement 45 F par an. Et il serait tellement génial de
différer de 3 semaines tel déplacement en
clientèle,
le temps de restaurer l’abonnement à la
redirection.
Un collège envisage d’acquérir
cette
imprimante-ci (une large imprimante à aiguilles, tête à 18 aiguilles) à un prix inespéré,
presque le
double de sa valeur résiduelle. « Quoi !
tu
vas leur donner les rubans avec ? »
»
Fin
de citation du
courrier.
Galantuomo, Luigi Pirandello, quand il a transposé à la scène le
harcèlement par les soupçons d’Antonietta devenue paranoïaque, a
galamment symétrisé toutes les situations vers la représentation d’un
délire à deux complémentaire.
Je n’ai pas eu cette galanterie. J’ai monté des expérimentations pour
en avoir le cœur net : qui de nous deux, Geneviève ou moi, est fou à
lier ?
L’expérimentation est la seule source de vérité.