Toute violence faite aux femmes est une violence faite à l’humanité. Mais...
Mais on ne peut pas policer toute relation sociale d’ordre sexuel ou amoureux. Il existe des comportements qui relèvent :
- de la parade amoureuse ou du ballet amoureux (ceci en commun avec de nombreuses espèces animales) : faut-il les interdire ?
- du jeu. Quand les partenaires ont accepté en commun les règles et fini la partie, il n’est pas d’usage que l’un vienne dire rétrospectivement « finalement, je n’étais pas d’accord ». La réponse adéquate est soit de ne pas prendre part au jeu soit, si la partie est engagée, dire « pouce, j’arrête, les règles ne me conviennent plus du tout ». Des femmes qui ont accepté les règles (ont couché) et viennent se plaindre ensuite, veulent le beurre et l’argent du beurre. Faut-il interdire toute forme de jeu amoureux ?
- de la la violence inhérente à tout couple : la femme a elle aussi certains pouvoirs et elle aussi chercher à en abuser. Actuellement, plusieurs d’entre elles utilisent la libération de la parole pour abuser de leur pouvoir sur les hommes ou obtenir quelque chose de l’Etat ou de la société (un brevet de soumission chez les collégiens). La délation parfois même leur est une arme.
- de la violence spécifique à la relation de domination sociale. Ce n’est pas le genre qui est en question, c’est le lien de subordination ou de domination d’une personne sur une autre. Le traitement du problème doit se faire notamment dans le cadre des relations de travail.
- de l’incivilité. Là, on peut agir aussi.