Bonjour Ciriaco,
malgré ma détermination, je reviens : j’ai lu avec attention votre post adressé hier à
Philippe vergnes et parlant de moi. Permettez moi d’intervenir chez vous
puisqu’il ne m’est plus possible de répondre directement aux accusations que ce
monsieur profère contre moi depuis maintenant des années dans un conflit qui
remonte à ses débuts sur ce site. Vous pourriez lire ses articles et mes
interventions, c’est une mine d’or pour les psys. Vous comprendriez
peut-être mieux ma position : je ne suis pas un novice dans le domaine
de prédilection de PV que j’ai étudié bien des lustres avant Agoravox :
je peux dire sans modestie, que je lui ai appris à lire Racamier et bien
d’autres choses encore. Et cela, il ne me le pardonne pas : c’est un
monsieur qui fait son miel des idées de ceux qu’il détruit. Quand il
fait du « hors piste » il est proprement illisible (1).
Vous écrivez là-bas : ’’Je pense qu’il est cruel de socialiser autour de la personne que vous mentionnez sans qu’il ait la possibilité de répondre.’’
Ma réponse : ce n’est pas cruel, c’est déloyal, et par le fait,
imbécile. Je ne crains pas les gens cruels. Mais c’est d’autant plus
déloyal que ses accusations sont infondées et ses mensonges
sont récurrents. Ainsi celui-là, je cite : ’’il existe bien des
intervenants qui sont constants dans leur « effort pour rendre l’autre
fou ». En fait, sur ce site, je n’en ai croisé qu’un seul qui ne connaît
aucune limite, preuve qu’ils ne sont pas si nombreux. Mais celui-là, je
l’ai viré grâce au bouton magique : « bloquer ce commentateur ».
Depuis, il éructe sous tous les articles où il en a l’occasion.’’ (2)
Moi,
je chercherais à rendre fou un tel personnage ?! C’est le monde à l’envers ! Et d’ailleurs, je n’en ai ni les
moyens, ni surtout aucun besoin, d’aucune sorte ! Venant
de la part de quelqu’un qui m’a reproché de me prévaloir de mes
turpitudes, l’accusation est sidérante ! En effet, ce monsieur serait bien en peine de produire la moindre
preuve, un seul commentaire de moi pour accréditer ce qui n’est que son
délire. Naturellement, pour pallier à cette lacune, il dira du haut de
son autorité qu’il en a obtenu la suppression. Un mensonge de plus : parole contre parole.
Une question si vous me permettez, vous disiez : ’’ il y a des gens qui ne sont pas dans des situations de souffrance et qui
exercent sans cesse un pouvoir sur les autres. Chez ces personnes, ce qui
contrarie leur pouvoir (une discussion, un argument simplement opposé)
cause une tension qui les fait entrer dans les « modes » et les cercles
vicieux destructeurs que vous décrivez. J’ai remarqué, je ne sais pas si
c’est un hasard, qu’il s’agit souvent de personnes particulièrement
intelligentes.’’. (3)
Pourriez vous être plus clair ? Qui est
ici en situation de pouvoir ? En l’occurrence, qui voit son pouvoir
contrarié ? En effet, le seul en situation de pouvoir, c’est Philippe
Vergnes ; le seul pouvoir contrarié, c’est le sien. Et en outre, il
est le seul à revendiquer le monopole du savoir, autrement dit, de l’intelligence. Pour
le coup, c’est vous qui êtes ici en porte à faux. Je me trompe ?
(1) alternance de poncifs, emprunts copiés-collés et formulations personnelles incohérentes : avez vous lu mon éructation sous le com de Djam ?
(2) C’est moi qui souligne.
(3) A ce sujet, vous avez parfaitement raison à ceci près : concernant leur intelligence, vous avez pris des vessies pour des lanternes : c’est ça, l’effet du pouvoir. Et ces personnes que vous décrivez et en lesquelles je ne me reconnais absolument pas, ni personne ici ou ailleurs, le savent mieux que vous.