@Taverne
Bonjour Paul,
Je n’ai pas répliqué sur tes billets sur le « juste » parce qu’il n’y a rien de juste dans notre monde.
Il y a peut-être de l’imbrication et de l’amplification, mais il y a aussi l’intrication qui fait un homme qui est quantique (je n’ai pas dit cantique). Un phénomène qui dans lequel deux particules, ou groupes ont des états dépendant l’un de l’autre quelle que soit la distance qui les séparent.
Je ne te rappelle pas l’effet papillon mais il y a de ça.
La justice, la vérité, cela n’existe que dans la tête des hommes qui ont été déformé par l’ anthropomorphisme.
La réaction « naturelle » de cet homme à la vue d’un animal qui se fait bouffer par un prédateur, est de prendre pitié pour la victime.
La loi de la nature n’a rien de cela. Elle n’est pas sensible. Elle est dure.
C’est vivre dans la jungle ou être protégé dans un zoo.
« La principe de la mort est juste », dis-tu.
Je dis qu’elle est simplement naturelle et obéit une règle de l’évolution qui continue sa route de la vie qui cherche toujours plus de perfection dans une recherche sans fin.
Je dirais même que le but de la mort est d’aller beaucoup plus loin.
Que se passerait-il si la mort n’existait pas ?
C’est un peu ce qui se passe avec le cancer et l
’apoptose.qui ne se produit plus parce que certaines cellules ne veulent plus mourir et envahissent tout le corps.
La nature, elle, a essayé de générer un être pensant avec ses neurones et ses synapses qui agissent en réseaux..
Si cela ne marche pas bien, elle essayera autre chose.
Elle ne régénère pas. Elle réinvente en permanence en s’adaptant au mieux aux circonstance.
On ne programme pas la vie.
C’est aussi la grosse erreur de parler d’« Intelligence artificielle » aujourd’hui.
Elle est jusqu’à présent tout à fait naturelle avec des algorithmes tout à fait humains.
Mais... dans un futur plus ou moins lointain... alors, là... une nouvelle conscience apparaîtra qui ne vient plus de l’homme. Les déductions suivent toujours les intuitions.
Les actions, les déductions...