Les Juifs et les Musulmans palestiniens sont tous descendant d’un même peuple originaire du Sud de l’Arabie (Yemen) et seule la religion les sépare. Tant que les uns seront juifs et les autres Musulmans, il n’y a aucune paix possible. Les deux religions considèrent que la terre d’Israël est leur terre qui leur a été attribuée par Dieu. De plus, dans l’Islam, la destruction des Juifs est au programme du Coran et aucun verset du Coran ne peut être retiré, puisque les Musulmans pensent que c’est directement un ordre de Dieu : « Lorsque vous rencontrez ceux qui recouvrent, coupez leur la tête[...] serrez les garrots » (s47,4), « Dis à ceux qui recouvrent que, s’ils cessent, il leur sera pardonné ce qui s’est passé ; si [au contraire] ils y reviennent, eh bien, la conduite des anciens est déjà passée. Combattez-les à mort jusqu’à ce que [ils ne représentent] plus de tentation et que le culte entier soit [rendu] à Dieu. » (s8, 38-39). Ceux qui recouvrent sont bien les Juifs, accusés de recouvrir la vérité sur ʿĪsā (Jésus ?), neveu de Moïse. Le mot recouvrir a ensuite été élargi pour désigner tous les « mécréants », mais les Juifs en font toujours parti.
Cette idée de tentation vient de la crainte d’apostasie pour les Musulmans qui fréquentent d’autres religions. Il faut donc nettoyer la terre des mécréants pour que l’Islam subsiste ! Si le Coran était réellement la parole de Dieu, cette crainte n’airait pas lieu d’être. Le Coran, seul, ne peut convaincre, il faut la violence pour que l’Islam se diffuse.