@samy Levrai
« quand il s’agit de pourrir la vie d’autrui, de le violer, de le voler en se servant de textes « spirituels » pour le justifier, celui du seul dieu ou celle du peuple élu et de la terre promise, tu me permettras de ne pas adhérer » -> Je permet
Pour moi, le mal est lié à l’absence d’amour. Le Dieu des Chrétiens nous donnes son amour inconditionnel et nous demande de procéder de la même manière. Malheureusement pour nous, cet amour inconditionnel est loin d’être une valeur partagée par tous, y compris les adeptes de n’importe quelle religion.
Parmi les religions, il y a une catégorie qui inverse même cette notion d’amour. Ce sont les messianismes, les religions qui prévoient un paradis terrestre où les élus auront le pouvoir. Pour permettre l’avénement de cette période, il devient nécessaire de supprimer tous ceux qui s’opposent à la religion par une étrange inversion du bien et du mal. Parmi les messianismes, je met une partie de l’Islam mais aussi les différentes formes de marxisme/maoïsme, le nazisme et quelques autres idéologies mortifères. Le Christianisme n’est pas un messianisme, car aucun salut n’est prévu sur terre et il n’y a donc rien à purifier. Le Bouddhisme où les différents gnosticismes ne sont pas des messianismes et ne sont pas violentes par définition, Le problème Birman semble plus un problème de nationalisme qui devient ici encore un messianisme (si la Birmanie n’est pas le paradis escompté, c’est la faute des Rohingyas...).