Une des raisons objectives de l’augmentation du nombre de cas enregistrés et donc alimentant les statistiques sur ce sujet vient de la communication des personnes concernées.
Il y a 50 ans on ne disait rien. Les victimes gardaient pour elles « le fait » et se débrouillaient avec. Depuis déjà un certain nombre d’année mais plus précisemment depuis la fin des années 80 - début des années 90 les victimes se sont mis à parler, et progressivemet à porter plainte.
Pour la pédophilie comme pour les crimes et délit de nature sexuelle, on retrouve à peu près la même courbe.
Il faudrait arriver à faire une enquête socio et c’est très compliquée car remonter le temps n’est pas une chose aisée en matière scientifique. Peut être partir sur la recherche du nombre de disparus.
De mon point de vue, la dérive de l’abus sexuelle qu il soit pédo ou plus largement lié aux violences sexuelles n’est pas en augmentation. Il est, je le pense, seulement mis à jour. Le fait se dévoile de la même façon que les violences sexuelles sur adultes augmentent en termes statistiques. Non pas que les femmes sont nouvellement battues, mais simplement parcequ’elles osent porter plainte aujourd’hui là où elles faisait avec autrefois.
Je veux dire par là que le critère en matière de pédophilie, le plus incident pour moi est le le nombre de disparus/nb d’habitant de la région. Le nombre d edisparu car un enfant en disparait pas tout seul, à quelque cas d’exception près. Donc à cette erreur près, On pourrrait avoir une vision du nombre de personnes conernées potentiellement. Ensuite il faudrait chercher d’autres critères plus fins. LE nombre de signalement peut être ? bien que ce soit une pratique récente.
Par région car il faut une unité de comptage et on sait que plus il y a de gens plus les dérives sont présentes. c’est un simple raisonnement statistique. Vous avez plus de chance de trouver un génie dans un population de 1M d’habitant que dans une ville de 1000 habitants.
D’où la complexité d’interpreter les courbes que vous donnez. Je ne pesne pas que les Pays de la Loire soit un berceau de la pédophilie. Maispar le réseau qui a été démentelé à Angers, il y a je pense, sur représentation. On en revient à l’étude statistique. Les affaires étant peu nombreuses (je ne parle que chiffre) la moindre affaire créé de fait une sur représentation. Une affaire est une victime de trop, au moins, nous sommes bien d’accord.