@Wanted Pedo nous ne le disons pas de la même façon, mais sur le fond nous sommes d’accord. La mesure de pedocriminalité ne dit pas grand chose de ce qui est en augmentation.
Par exemple le nombre d’infanticide évolue peu, Doit on chercher le traitement de la violence sur enfant (torture, barbarie, mauvais traitements...) au même endroit que la problématique pédophile. (excluant pour le raisonnement les problématiques mixtes qui existent). Qu’est ce qui est en augmentation ? SI je pose cette question c’est que les causes et les remedes ne sont pas au même endroit. s’il est important de pouvoir observer la pedocriminalité dans son esemble, il me parait tout aussi important de faire des distinctions tant les comportements criminels sont différents. Au risque de créer un message tellement mélangé que seuls les personnes ayant un minimum de connaissances sur ce sujet s’y retrouveront.
Je maintiens que la pratique sexuelle condannable (sur mineur) n’est pas connue dans son entiereté et de loin. tant que des plaintes concerneront des faits datant d’il y a 20 voir 25 ans, cela signifie pour moi que ces actes auraient du être attribués à cette époque et non à aujourd’hui, un exemple flagrant mais qui ne doit pas être le seul, c’est le cas Hamilton. Il y a peut être là, une piste à creuser sur l’analyse des chiffres, si on arrive à avoir un corolaire entre la date des faits et le dépot de plainte ? A creuser...
Et pour préciser, je ne cherche pas à baisser les chiffres d’aujourd’hui pour je ne sais quelle raison. Mais plutôt de dire que la violences sur les enfants à toujours été présente. Et ce n’est pas parceque cela a été que cela doit continuer.
Pour info le cas des enfants prostitués n’est pas celui des personnes etrangères ou d’origine étrangères mais bien de personnes françaises.
@Wanted Pedo ok, alors parlons argutie. Je n’ai pas de chiffres à donner sur ma proposition de regard sur LES chiffres disponibles, puisqu’ils n’existent pas. vous me dites que je n’ai qu’une intuition non justifiée, mais pour aller au bout de votre manière d’échanger, vous ne nous donnez pas les chiffres d’actes réels mais les chifres de procédures, policière, judiciaires ..
Dans vos chiffres où sont les enfants prostitués par leurs
parents pour quelques clopes et de la nourritures dans certains
territoires en France ? la chose étant culturelle, qui va déposer
plainte ? Vous ne disposez pas, tout seul, de la vérité tout entière. vos chiffres ne donnent, pas plus que ma proposition, la positon de la réalité des actes pédo car en plus ils mélangent tous les actes criminels sur enfants. Vous n’êtes donc pas plus réaliste que je ne le suis.
Alors prenons un peu de recul. Je n’invente rien en disant que le volume des plaintes a augmenter avec la libération de la parole et donc du dépot de plainte. LEs policiers et gendarmes ont été formés à recevoir ces plaintes là où devant un mur, les plaignants se taisaient. C’est un fait constaté. Sinon quel aurait été, entre autre, l’intéret de reculer la prescription des actes, ou les modifiacations successives de la politique pénale en France depuis les années 90 ?
Il suffit d’écouter les victimes et les entendre dire qu’elles ou ils n’ont rien dit pendant des années. Les chiffres ont donc montés de fait. Ce qui me fait dire que la réalité est bien en dessus de ces chiffres et qui pose naturellement la quetion de la réelle évolution de cette criminalité. Entre une marge d’érreur de 10 ou de 90% je ne suis pas en mesure de dire, qui le pourrait ? la vérité comme toujours est très certainement entre les deux.
Une des raisons objectives de l’augmentation du nombre de cas enregistrés et donc alimentant les statistiques sur ce sujet vient de la communication des personnes concernées.
Il y a 50 ans on ne disait rien. Les victimes gardaient pour elles « le fait » et se débrouillaient avec. Depuis déjà un certain nombre d’année mais plus précisemment depuis la fin des années 80 - début des années 90 les victimes se sont mis à parler, et progressivemet à porter plainte. Pour la pédophilie comme pour les crimes et délit de nature sexuelle, on retrouve à peu près la même courbe.
Il faudrait arriver à faire une enquête socio et c’est très compliquée car remonter le temps n’est pas une chose aisée en matière scientifique. Peut être partir sur la recherche du nombre de disparus. De mon point de vue, la dérive de l’abus sexuelle qu il soit pédo ou plus largement lié aux violences sexuelles n’est pas en augmentation. Il est, je le pense, seulement mis à jour. Le fait se dévoile de la même façon que les violences sexuelles sur adultes augmentent en termes statistiques. Non pas que les femmes sont nouvellement battues, mais simplement parcequ’elles osent porter plainte aujourd’hui là où elles faisait avec autrefois.
Je veux dire par là que le critère en matière de pédophilie, le plus incident pour moi est le le nombre de disparus/nb d’habitant de la région. Le nombre d edisparu car un enfant en disparait pas tout seul, à quelque cas d’exception près. Donc à cette erreur près, On pourrrait avoir une vision du nombre de personnes conernées potentiellement. Ensuite il faudrait chercher d’autres critères plus fins. LE nombre de signalement peut être ? bien que ce soit une pratique récente. Par région car il faut une unité de comptage et on sait que plus il y a de gens plus les dérives sont présentes. c’est un simple raisonnement statistique. Vous avez plus de chance de trouver un génie dans un population de 1M d’habitant que dans une ville de 1000 habitants.
D’où la complexité d’interpreter les courbes que vous donnez. Je ne pesne pas que les Pays de la Loire soit un berceau de la pédophilie. Maispar le réseau qui a été démentelé à Angers, il y a je pense, sur représentation. On en revient à l’étude statistique. Les affaires étant peu nombreuses (je ne parle que chiffre) la moindre affaire créé de fait une sur représentation. Une affaire est une victime de trop, au moins, nous sommes bien d’accord.