Ouverture d’Archives britanniques : 62% des arabes palestiniens sont des immigrés venus travailler pour des juifs.
« Au cours de la période du mandat britannique, les Arabes de nombreux pays entraient librement en Palestine alors que l’ immigration juive était sévèrement limitée. La vérité reste que la population arabe indigène en Palestine était relativement faible avant que l’arrivée des premiers juifs, lesquels ont fait de cette terre, un endroit attrayant et prospère.
Dès 1926, le Secrétaire Colonial Amery a prudemment admis que malgré la croissance de l’élément juif « l’augmentation du nombre d’Arabes est en fait supérieure à celle des Juifs. » Les chiffres présentés devant la Commission Peel en 1937 a démontré que la population arabe avait plus que doublé en quatorze ans. Cette augmentation en moins d’une génération ne peut être attribué qu’à une immigration extérieure.
Le gouvernement lui-même a reconnu en 1922 l’immigration de tribus entières » du Hedjaz et du sud de la Transjordanie dans la zone Beersheba, « un fait qui en lui-même permet de constater une immigration arabe massive ». D’ autres chiffres sont disponibles à partir de sources dispersées mais crédibles. L’ une d’elle est la déclaration du gouverneur français de l’Hauran en Syrie, soulignant que sur son seul district, durant l’été 1933, trente-cinq mille personnes avaient quitté la Syrie pour la Palestine suite à de mauvaises récoltes. »