@Claudec
@CN46400
« Dans le capitalisme, les emplois se créent, ou se suppriment, en fonction d’une seule donnée : les profits attendus... »
Effectivement... :
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2018/01/03/la-societe-de-larnaque-un-theme-de-reflexion-pour-2018/
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2018/01/18/robotique-larnaque-en-marche-nouvelle-edition/
Avec
la robotisation totale, c’est la notion même d’échange
économique qui disparaît :
Travail
contre Travail, c’est à dire, produit du travail contre produit du
travail !!!
Même
si, tant que le système actuel dure, le capitaliste vit encore en
parasite sur cet échange, via la plus-value… !
https://tribunemlreypa.wordpress.com/valeur-loi-de-la-valeur-plus-value-un-essai-de-breve-definition/
Si le robot
est le seul producteur, il n’y a donc plus d’échange…
Celui qui
contrôle le robot contrôle toute la production, tous les services…
C’est à
dire tout le pouvoir, en fait…
Un nouveau type de
« capitalisme » fondé entièrement sur une dictature
technologique, où la seule lutte est celle entre détenteurs des
différents moyens de contrôles informatiques.
Une sorte de
nouvelle féodalité bureaucratique et technologique.
Ce n’est plus du
« capitalisme » au sens classique du terme parce qu’il
n’y a plus d’élargissement possible du capital via le cycle
productif, limité à l’amortissement du capital fixe : le
matériel robotique !
C’est pourquoi il
faut à ce système un contrôle totalement monopoliste pour imposer
des prix avec une marge au départ inexistante.
C’est ce que l’on
peut appeler la Société de l’Arnaque, basée entièrement sur de
la « monnaie de singe », fut-elle « électronique »…
C’est le système
qui a commencé à se mettre en place depuis la crise de 2008,
notamment avec le système de « Quantitative Easing ».
Le règne de
la « fausse monnaie » entièrement « légale »
et à très grande échelle !
Et la mise au
« chômage », en réalité définitif, pour des millions
de prolétaires, réduits à survivre avec des subsides misérables
du type « revenu universel », mais payés, finalement, et
évidemment, en monnaie de singe, avec des « billets de
monopoly », un « monopoly » géant dont le gagnant
est d’avance la banque, qui tient à la fois la « planche à
billets » et le « guichet » de cette « charité
publique ».
Luniterre