@diogène
Au nom de la
concurrence libre et non faussée dont on nous rabat les oreilles,
argument qu’utilisera l’UE pour augmenter le prix de l’électricité
en France pour l’aligner sur celui de l’Allemagne (hausse de 20% à
prévoir avec « l’outil » Linky et des intermédiaires privés
imposés, il devrait être interdit en toutes circonstances de vendre
à perte.
Car cela favorise
celui qui a le plus de moyens financiers au détriment ici des petits
commerçants qui ne peuvent pas jouer le même jeu.
Ce qui est
remarquable dans ces deux opérations de vente à perte, est qu’elles
concernent des produits destinés aux enfants.
Ce sont des mères
qui se sont ruées sur les rayons, non pour elles-mêmes mais pour
leurs petits, heureuses que malgré leur difficulté à boucler les
fins de mois, elles puissent cette fois voir dans ces prix comme une
hausse de leur pouvoir d’achat. Et que cela profitent à ce qu’elles
ont de plus cher : leurs enfants.
Ces ruées reflètent
l’augmentation constante du nombre des pauvres voulue par les valets
des riches actuellement Macron et ses soutiens, visibles ou discrets.
Bien entendu, la
direction d’Intermarché espérait bien qu’une fois la promotion dans
le caddie, la ménagère effectuerait toutes ses autres courses dans
le magasin.
Il y a quelque chose
d’écœurant d’utiliser ainsi la psychologie pour profiter de la
détresse humaine.
Honte à ceux qui
ont parié ainsi sur l’amour des mères pour leurs enfants afin de
faire un peu plus de fric !