George Soros n’est pas seul, il a derrière lui l’état profond américain et les tenants de l’impérialisme américano-sioniste.
Son pouvoir de nuisance est bien supérieur à ce que l’on imagine.
Le leader politique anglais Nigel Farage estime à 33 milliards les sommes dépensées par sa fondation Open Society.
"Le traitement que j’ai subi en Amérique
est incroyable. Je serais désormais un antisémite parce que j’ai
critiqué M. Soros. On m’a traité de tout au cours des vingt dernières
années, mais ça, on ne l’avait jamais dit, jusqu’à ce que j’attaque M.
Soros. Je m’inquiète au sujet de M. Soros, parce que son Open Society a
déjà injecté 15 milliards de dollars et s’apprête à y rajouter 18 autres.
Dans le monde de la politique, on a jamais vu un groupe de pression
disposant d’une telle masse d’argent. Ils ont plus d’argent que la
plupart des gouvernements.
Pour ce que j’en vois, M. Soros veut détruire les États nationaux, il veut détruire la cellule familiale, il veut détruire toutes les normes de la société occidentale.
Je pense que c’est une chose très dangereuse. Je sais que quiconque
serait sur son passage passera un mauvais quart d’heure. Il s’est engagé
dans une bataille à mort contre votre premier-ministre dans votre pays (Viktor Orban).
Je ne crois que la plupart des gens comprennent vraiment l’étendue de
l’organisation de cet homme, tout l’argent qu’il y a derrière elle.
C’est une énorme guerre de propagande qui est en train de se dérouler.
J’ai montré qu’il avait 226 de ses amis au sein du Parlement européen.
Je leur ai donc écrit à tous pour leur demander de déclarer quel était
le niveau de leur engagement au sein de cette Open Society. Je n’ai pas
eu une seule réponse. M. Soros constitue un réel problème, pas seulement
pour la Hongrie. George Soros est l’ennemi majeur de l’État Nation et
de la culture chrétienne."