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Commentaire de Christian Labrune

sur Pourquoi ne pas introduire l'histoire des religions dans les écoles publiques ?


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Christian Labrune Christian Labrune 18 février 2018 17:08

à l’auteur,
Il me semble que la première personne intéressée par la question des religions, c’est Dieu lui-même. Avant de rien entreprendre, Il conviendrait d’avoir son avis. Par conséquent, l’interroger, lui demander de formuler des propositions raisonnables.

Ce que je suggèrerai donc, c’est de créer une commission à l’Assemblée nationale, qui serait chargée de normaliser les relations de la République avec Dieu.
La première chose à faire est de le convoquer. Rédiger une convocation en bonne et due forme, qui sera transmise par les instances les plus représentatives de chaque religion.
Il me semble qu’on pourrait même, pour mettre Dieu en confiance, et parce qu’on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, lui proposer la présidence de cette commission puisqu’il y serait, selon toute logique, le doyen.

Faute d’une réponse précise, et dans un délai qui reste à définir, on pourra considérer à bon droit que la question de Dieu ne sera plus jamais à l’ordre du jour. On ne peut quand même pas se permettre d’attendre Godot jusqu’à la fin des temps ! S’il nous fait le coup de ne pas répondre, comme dans pièce de Beckett, ou bien c’est qu’il nous méprise, ou bien c’est qu« ’il n’y a pas d’abonné à l’adresse.... », comme disent les services du téléphone. Auquel cas -il ne faut quand même pas se foutre du monde !- c’est qu’il n’existerait pas, et la question serait réglée définitivement.

Il faudrait lancer une pétition dans les meilleurs délais, qui oblige nos députés à se saisir de cette importante question. Il me semble que si on s’y mettait immédiatement, le problème pourrait être résolu avant l’été.

Pendant que j’y suis : y aurait-il quelqu’un sur ce forum qui pût me communiquer le numéro de téléphone de Dieu ; de préférence, celui de son portable : je n’ai pas envie de tomber sur la petite musique d’un standard où l’on m’avertirait d’un temps d’attente fantaisiste. Je suis tout à fait disposé à lui dire deux mots dès que je serai en mesure de l’appeler - et de vous tenir au courant, cela va de soi ! Merci.


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