@gaijin
« ...probablement en effet mais ça n’empêche pas d’essayer ....... »
Certes, certes... Et il existe d’innombrables façons de perdre son temps...
Votre projet me fait penser à Macron et à son Islam de France. Il cogite, nomme une commission chargée de faire un rapport, mais à aucun moment il ne demande aux musulmans s’ils seraient, le cas échéant, preneurs.
Résultat, il se fait rembarrer par des gens qui disent ne lui avoir rien demandé, et que ce n’est pas à l’Etat français de se mêler des affaires religieuses des musulmans. C’est ainsi qu’Ahmet Ogras, président du Conseil français du culte musulman, vient d’envoyer paître le mirobolant de l’Elysée :
« La foi musulmane est une religion et en tant que telle, elle prend soin de ses propres affaires. La dernière chose que nous souhaitons, c’est laisser l’Etat agir en tant que gardien ».
Pour ce qui est de la fraternelle universelle que vous souhaitez instaurer en partageant les fruits de nos savoirs, de notre inventivité, de notre esprit d’entreprise, avec le reste de la planète, tout cela a quand même des airs de Léon Blum, devant l’Assemblée nationale, le 9 juillet 1925 :
« Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation. »
Et l’erreur, c’est de ne pas comprendre que ces peuples ne veulent pas de notre partage : ils veulent prendre notre place, parce qu’ils croient que c’est facile. A la fin de l’apartheid, les Noirs d’Afrique du Sud croyaient qu’avec leur « One man, one vote », ils allaient devenir comme les Blancs. C’était il y a vingt-sept et ils sont encore très, très loin de compte !
lors ils se vengent en persécutant leurs « frères » immigrés des pays voisins. La xénophobie tourne à plein régime, et le jour où ils se rendront compte que ça ne résout rien, il y aura un grand massacre de Blancs, les assassinats ne touchant, pour l’heure, que les fermiers : 72 an 2017, un tous les cinq jours...