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Commentaire de Aristide

sur Justice pénale : quand les avocats trahissent leur serment


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Aristide Aristide 20 février 2018 20:13

@Fergus

Les mots ont un sens, des faits délictueux, criminels ne sont avérés que lorsque le jugement a eu lieu. Avant, il s’agit d’une mise en examen. A ce stade il existe des indices graves ou concordants rendant vraisemblable qu’elle ait pu participer, comme auteur ou complice, à la commission d’une infraction (Wikipedia). C’est à l’issu du procès que la « vérité judiciaire » sera dite. Que les faits seront donc « avérés ».


 A vous entendre, les procès seraient joués d’avance en terme de « culpabilité »., Sachez que 6% en première instance et 12% en appel se terminant par un acquittement. Dans ce domaine, c’est un taux énorme ....


Je ne vois aucune raison pour remettre en cause quoique ce soit dans la liberté de parole de l’avocat. Il existe des lois contre la diffamation, la protection de la vie privée, ... aucune limitation à y ajouter je ne sais d’ailleurs quel critère de « bonne conduite ». Avec en supplément, la difficulté de celui qui dira ce qui est la « bonne conduite ».



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