@ JL,
Délire d’interprétation et injection projective dans toute leur puissance.
« Le concept de « déliaison » n’est pas relatif à la seule psychologie des profondeurs : Je l’ai appris en cherchant à comprendre la définition que Racamier donne de la pensée perverse ; chose que vous n’avez pas faite : faut-il vous rappeler que vous avez toujours soutenu que ce mot désignait le fait de vouloir rompre des liens interpersonnels ? Ce faisant, vous étiez encore dans la déliaison, puisque dans le déni du principe de réalité : je parle du vrai sens de ce mot. »
La définition que Racamier donne de la pensée perverse, ben... c’est celle que Racamier donne dans son livre qui reprend tous les concepts qu’il a établi autour de sa théorie, ET NULLE AUTRE. J’ai recopié cette définition avec exactitude sous de précédents échanges. Définition que vous avez combattu, car elle allait à l’encontre de votre interprétation. Interprétation d’autant plus délirante qu’elle pervertit le sens que vous donnez à la pensée perverse et en inverse totalement les valeurs. Ainsi, votre définition parle pour vous : en inversant les valeurs de cette définition vous pouvez faire passer les pervers pour des victimes et les victimes pour des pervers : soit très précisément ce que vous me reprochez projectivement.
La définition de la pensée perverse est
ICI !
Votre avez « glosé » cette définition à diverses reprises en la qualifiant d’absurde... vos divers commentaires (pervers = inverse) sur cette définition sont
ICI !
Ce qui est totalement absurde, c’est de pouvoir soutenir que Racamier ait pu donner une définition de la pensée perverse relative à la perversion narcissique dans sa propre théorie, tout en reprenant le concept, en le pervertissant pour enfin lui attribuer un sens dont vous seul avait la maîtrise à l’encontre même de Racamier, l’auteur de la théorie de la perversion narcissique et du concept de pensée perverse que l’on ne retrouve que chez lui.
Seul un « fou » peut se croire capable d’une telle prouesse. On en comprend l’utilité qui est celle de réassigner les victimes en pervers et les pervers en victimes.
Pauvre « fou » ! Et tout ça sans jamais avoir ouvert un livre de Racamier. (Le « petit » Racamier, comme vous le nommez n’est pas un de ses livres, mais seulement la réédition de deux chapitres de l’un de ses livres.)
J’ai vraiment peine pour vous.