Cantat, ce sombre héros de l’amer
Qu’il était beau le rebellâtre au verbe haut lors de la soirée des Victoires de la musique en 2002 lorsqu’il tançait vertement Jean Marie Messier Moi-Même Maître du Monde alias ‘’J6M’’ surnommé ainsi par les Guignols de L’info du temps, hélas révolu, où ils étaient souvent drôles.
Sa rebellitude de pacotille avait pourtant certaines limites qui l’empêchaient alors de dénoncer le contrat qui liait son groupe ‘’Noir Désir ‘’et la multinationale qui produisait les albums car celui-ci lui procurait des avantages susceptibles d’apaiser les tourments et de panser les blessures de cet écorché vif rejetant le système capitaliste honni tout en ne rechignant pas à en accepter ses largesses.
On aurait pu penser qu’après le drame de Vilnius et avoir payé sa dette à la société qui s’était montrée en l’occurrence indulgente et plutôt accommodante à son égard, le rocker bordelais aurait fait profil bas.
C’était mal connaître ce donneur de leçons de morale qui ne s’est pas privé dans sa chanson ‘’l’Angleterre ‘’ de réprimander les Anglais qui n’avaient pas voté à son goût lors du référendum sur le Brexit et se seraient montrés ainsi défiants et inhospitaliers envers les migrants.
Lui qui partage pourtant avec Hollande une saine détestation de la finance se serait même permis en juillet 2014 lors du Main Square Festival à Arras de le traiter de « salaud qui nous gouverne » en soutien aux intermittents.
Il ne nous viendrait pas à l’esprit de contester l’expertise de Cantat en matière de saloperie mais au moins peut-on lui faire remarquer que le scootériste masqué quand il se rendait chez sa dulcinée lui apportait des viennoiseries sans doute nocives pour la ligne mais non létales tandis que Marie Trintignant succombait, victime d’une volée de coups de poings assénée par un être si sensible à la misère du monde et à la douleur d’autrui.
Peut-il encore chanter ? Nous répondons sans hésitation par l’affirmative en tous lieux et en toutes circonstances, sous la douche, sous la pluie, sur scène mais les protestataires ont aussi le droit de manifester leur désapprobation et les organisateurs de concerts de le déprogrammer. S’il avait exercé dans la plomberie avant son crime, la tâche serait plus aisée, les chasses d’eau et les robinets n’ont pas l’habitude de manifester leurs états d’âme.
Hélas, chanter ne lui suffit pas et la discrétion ne lui sied pas, il a fallu qu’il s’épanche, pleurniche et s’apitoie sur son sort avec indécence à longueur de colonnes dans les Inrocks ce canard labellisé ‘’gauche divine’’ réceptacle privilégié de tous les mutins de panurge.
Au hasard de nos errances sur le Net nous sommes tombés sur un vrai bijou qui prouve que le camp du Bien ne laisse jamais tomber ses brebis momentanément égarées pour peu qu’elles restent doctrinalement pures et inaltérables.
Ainsi pouvait-on lire dans le Monde en Août 2003 sous la plume de trois arbitres des élégances idéologiques Hélène Châtelain, Claude Faber et Armand Gatti une tribune sobrement intitulée ‘’ Bertrand Cantat reste des nôtres’’ dont nous avons extrait ce court passage qui en dit long sur le délitement moral et l’aveuglément de ces prétendus intellos « Mais ceux qui le connaissent, ceux qui l'ont applaudi, ceux qui l'ont accueilli dans leurs rédactions, leurs meetings, leurs rendez-vous publics, ceux qui l'ont appelé en soutien, ceux qui ont salué sa détermination, son engagement, son talent artistique, son humanisme, sa rigueur intellectuelle, sa liberté de pensée... ne peuvent l'oublier et taire la réelle personnalité de Bertrand »
Peut-être seraient-ils plus avisés de lui conseiller désormais de redevenir ce sombre héros de l’amer qui avait su auparavant traverser les océans du vide. Always lost in the sea.
367 réactions à cet article
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Qui casse paie et les morceaux sont à lui.
Mais ce sont des morceaux.
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Avec toutes ces féministes qui le huent et l’insultent, Bertrand Cantat est heureux, car ce pervers narcissique a enfin trouvé son public
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@Trelawney
pervers narcissique
Sans tomber dans la psychologie de bazar cela me semble être un diagnostic plutôt bien vu.
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@siatom
C’est pourtant le diagnostique de mon psychiatre -
@Trelawney
Alors, changez de psy car c’est lourd à porter en société.
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@siatom
il ne suffit pas de changer de banque pour supprimer es échéanciers ! -
@siatom
Rhoo ! C’est ce qu’à diagnostiqué mon psychiatre à propos de Cantat. ce n’est pas ce que j’ai. J’ai d’autres tares, mais pas celle là.Par contre je ne vous rejoints pas dans votre jugement. Les pervers narcissiques se portent trés bien en société. C’est même là où ils sont le plus heureux et le plus épanouis. Mais c’est toujours au détriment des autres -
@Trelawney
Me voilà rassuré.
Par contre je ne vous rejoints pas dans votre jugement. Ce n’était pas vraiment un jugement mais évidemment je vous rejoins sur votre conclusion, jusqu’à ce qu’ils soient démasqués.
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@Trelawney
+1
Et le coup de lancer des bisous à des détracteuses confirme assez bien ce que tu soupconne.
Enfin la...il empile je trouve.... et pas le meilleur.... -
@Trelawney
À ma connaissance, mais c’est à vérifier, les pervers narcissiques ne sont pas violents, sauf verbalement ! -
@alinea
les « pervers narcissiques » ne sont pas une race de chiens sélectionnée pour telle ou telle caractéristique, ni même de malades mentaux. C’est une catégorie à la mode chez les bobos qui n’a rien de pertinent en psychiatrie.Il s’agit simplement de manipulateurs plus ou moins habiles qui, comme tous les manipulateurs, utilisent les autres à leurs propres fins, ce qui est assez répandu tout en présentant les mêmes structures que n’importe quel être humains.Ils peuvent être psychotiques ou pas.S’il s’agit,de malades mentaux, ils peuvent être dangereux, ou pas, mais chiants, ça c’est sûr.. -
@ bonjour alinea,
« À ma connaissance, mais c’est à vérifier, les pervers narcissiques ne sont pas violents, sauf verbalement ! »Plutôt vrai, mais on oublie bien souvent la dérive psychopathologique à laquelle ces individus sont exposés dès lors qu’ils perdent - ou sont sur le point de perdre - leur proie. A tel point qu’ils en perdent les pédales et peuvent « décompenser » en paranoïa... qui eux peuvent passer à l’acte.C’est tout le problème d’une vision « catégorielle » de cette pathologie du lien qui n’est pas du tout - ou du moins pas essentiellement - celle du concepteur de cette théorie puisque pour ce dernier (Racamier, 1978), le plus important dans la perversion narcissique, c’est le mouvement qui l’anime et dont elle se nourrit. Je ne cesse de le répéter sans que jamais ce point ne soit relevé... ou correctement compris... ou je ne sais... Il est à croire que l’on a du mal à se représenter les choses sous forme de mouvement (processus, dynamique ou autre). C’est pourtant en ces termes que Racamier décrit la perversion narcissique. Quant à ceux qui exploitent ce « filon » comme un marronnier dans les magazines de presse mainstream et autres ouvrages, ce ne sont que des « romans de foire », pour reprendre l’expression dont on m’a un jour fait part. -
@ Bonjour Kent,
« les « pervers narcissiques » ne sont pas une race de chiens sélectionnée pour telle ou telle caractéristique, ni même de malades mentaux. C’est une catégorie à la mode chez les bobos qui n’a rien de pertinent en psychiatrie. »Absolument d’accord avec votre première phrase, surtout en ce qui concerne l’expression « malades mentaux » (bien qu’il faudrait toutefois définir ce terme, car il pose problème y compris même chez les professionnels de la santé mentale), mais en désaccord total avec votre seconde phrase.« Il s’agit simplement de manipulateurs plus ou moins habiles qui, comme tous les manipulateurs, utilisent les autres à leurs propres fins, ce qui est assez répandu tout en présentant les mêmes structures que n’importe quel être humains. »Alors plutôt oui, mais il existe des degrés de manipulation plus ou moins dangereuse, ou plus ou moins toxique. Le pervers narcissique utilise les autres à ses propres fins... oui, mais pas n’importe lesquelles et c’est ce qui le différencie (discrimine fortement) des manipulateurs « classiques » que l’on rencontre fréquemment dans notre société. Le gain que vise les manipulateurs pervers est avant tout narcissique et c’est ce qui fait toute la différence avec les manipulateurs « classiques » qui eux ne s’en prennent qu’à votre portefeuille (grosso modo pour faire court, car le problème n’est pas si simple).De fait, ils ne présentent absolument pas les mêmes « structures » que n’importe quel être humains (le mot structure est absent dans la théorie de le perversion narcissique où il est plutôt question d’organisation. Ce qui est logique lorsque l’on souhaite représenter (« figurer », « imager », etc.) un processus (cf. post à alinea ci-dessus).« Ils peuvent être psychotiques ou pas. »Ben non justement... autrement ils ne serait pas pervers. La perversion narcissique étant précisément une défense contre la psychose. Ce qu’ils peuvent faire par contre, comme ils sont à la frontière entre psychose et perversion, c’est alterner des phases psychotiques (lors de stress important) et des comportements pervers (qui sont pour eux la « normale »).« S’il s’agit,de malades mentaux, ils peuvent être dangereux, ou pas, mais chiants, ça c’est sûr.. »Chiant... clairement. Dangereux... tout dépendra de leur degré de perversion. La paranoïa étant le stade supérieur de la perversion narcissique et dans la phase « paranoïa », là, ils peuvent effectivement passer à l’acte.Cantat a bel et bien été diagnostiqué « pervers narcissique » par de nombreux psychiatres. Son histoire, les témoignages de ses ex-compagnons ou compagnes (lorsqu’elles ne se sont pas suicidées), etc. sont particulièrement éloquents à ce sujet. Mais encore une fois, en terme de maladie mentale, il faudrait définir précisément ce qui en relève ou pas. A défaut, les pervers narcissiques ne sont pas des « malades mentaux » (bien que certains théoriciens et toute(s) leur victime(s) les considèrent comme tels). -
Quand l’hopital se moque de la charité :
’’Quant à ceux qui exploitent ce « filon » comme un marronnier dans les magazines de presse mainstream et autres ouvrages, ce ne sont que des « romans de foire », pour reprendre l’expression dont on m’a un jour fait part.’’
Dixit celui qui a pondu ici 50 articles et des milliers de pages de commentaires sur son « filon » à lui. -
@ Bonjour JL,
Nul étonné de vous voir ici à répondre, une fois de plus, à côté de la plaque à la suite de l’un de mes commentaires (mais que voulez-vous, c’est plus fort que vous... il y bien longtemps que vous ne contrôlez plus vos pulsions).Mes articles ont au moins l’avantage de ne pas pervertir le concept de pervers narcissique tel qu’il fut découvert et approfondi par Racamier... à la grande différence de la récupération qu’en font les médias mainstream et les imposteurs qui peuvent se vanter d’avoir des compétences qu’ils n’ont jamais eues sur les œuvres qu’ils n’ont jamais lues. (Celle-là, elle m’a toujours fait rire... c’est pour ça que j’en redemande à chaque fois, ne serait-ce que pour augmenter ma collection d’exemple d’inepties perverses... que voulez-vous, je n’ai pas votre imagination débordante pour en produire autant à la journée... il me faut donc mes muses...) !Ps :Vous avez mis une minute pour poster un message à la suite de l’une de mes interventions... Bravo, RECORD BATTU ! Votre niveau d’indice pulsionnel est à son maximum ! -
@JL
puisqu’il est ici question de chanteurs et de pervers narcissiques, comment ne pas voir dans le film « Marguerite » une magnifique métaphore !?
De fait, ce film magnifiquement interprété par Catherine Frot, nous fait voir tout à la fois la perversion, le pouvoir et l’hypocrisie.
Marguerite chante faux, mais elle possède un titre de noblesse et beaucoup d’argent. C’est ainsi qu’elle organise des concerts de bienfaisance dont elle se fait le clou du spectacle.
Personne dans son entourage ni parmi les bénéficiaires de ses largesses qui constituent son seul auditoire ne lui a jamais dit qu’elle chante comme une casserole.
Et Marguerite se prend pour une diva.
Il en est de même des pervers narcissiques - oui oui, ils existent, c’est même celui qui ici nous a abreuvé de milliers de pages pour nous expliquer combien ils sont nombreux, méchants et comment on peut les reconnaitre, celui-là même qui nous explique benoitement ci-dessus que, ben non, il n’y en a pas, qui l’a dit - qui ne savent pas qu’ils sont ainsi. Et ce n’est pas leur entourage qui le leur dira : c’est bien trop risqué. Voilà pourquoi ceux qui osent tout de même le dire hé bien, pas de problème : c’est eux les méchants et pis c’est tout ! -
@Philippe VERGNES
« La perversion narcissique étant précisément une défense contre la psychose. Ce qu’ils peuvent faire par contre, comme ils sont à la frontière entre psychose et perversion, c’est alterner des phases psychotiques »faudrait savoir !vous d^tes tout et son contraire en deux phrases qui se suivent... -
@ Kent
Mais justement, ouvrez les yeux : Vergnes alterne.
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@ Vergnes
Des sources, mr le manipulateur, concernant les témoignages de ses ex-compagnons, compagnes, etc.
Lors de Vilnius, il y a eu une enquête concurrente en France. La police a remué ciel et terre pour retrouver les anciennes compagnes de Cantat, des témoignages indiquant une supposée violence intrinsèque du personnage, etc. Elle n’a rien trouvé.
Concernant K.Rady que, moi je connais autrement que comme faire valoir à moi-m^me mais en tant que personne, son travail, etc, idem. Il n’y a pas eu de poursuites car il n’y avait pas lieu de poursuivre.Pour le reste, c’est facile de lancer des rumeurs, des mensonges, de les marteler dans tous les medias amis alors que la personne visée n’est pas en mesure de répondre, soit parce que cela lui est interdit (contrôle judiciaire, interdiction de parler de l’affaire) soit parce que s’il la ramène, on le renvoie à son passif en le dépouillant de toute dignité, en le retranchant de l’humanité.
C’est ça, la belle personne que vous êtes, Vergnes, sous vos grimaces sirupeuses de progressiste humaniste. Je vus laisse déterminer si ça entre dans le cadre de la perversion manipulatrice que cette propension constante chez vous à la duplicité. Des belles paroles, c’est à ça que ça sert la parole chez le pervers, non ? A endormir la vigilance ?
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@ Kent,
Vous avez le défaut de comprenette de tous ceux qui sont formatés aux diagnostics catégoriels... tout en les rejetant par ailleurs. Tous ceux-là - et ils sont majoritaires -, conformisme oblige et il n’y a rien de péjoratif dans ce constat-là, sont incapables de comprendre une définition aussi simple que celle de l’homme-comme-un-tout-dans-son-environnement (Korzybski). A ce titre, si le pervers narcissique est à la frontière entre psychose et perversion, c’est déjà d’une qu’il n’est pas « normal », de deux qu’il n’y est pas... dans la psychose, mais qu’il peut y « plonger » ou avoir des phases psychotiques par moment sous l’influence de son environnement (stress essentiellement). Mais s’il n’a que des phases en fonction des circonstances, c’est encore une fois qu’il n’est pas dans la psychose. C’est donc une erreur de le qualifier comme tel et d’écrire qu’un pervers narcissique peut être psychotique ou pas.Il n’y a pas de pervers narcissique psychotique dans la théorie de Racamier. C’est un non-sens. (L’inverse pour les psychotiques est beaucoup plus délicat à comprendre, car une psychose en voie de « cicatrisation » passe nécessairement par des phases « perverses narcissiques »).A quel moment de votre analyse vous n’intégrez pas le fait que l’on parle avant tout de processus lorsque l’on fait allusion à la perversion narcissique (du moins dans la version de son concepteur et non pas celle « pervertie » de ceux qui l’utilisent ou la critiquent sans être en mesure de la comprendre, comme le font depuis déjà bien longtemps certains contradicteurs présents sur ce fil de discussion... tout en prétendant le contraire naturellement... normal, ce qu’ils ne comprennent pas n’est certainement pas de leur faute... il faut leur pardonner comme on pourrait pardonner à des enfants qui manque de maturité, c’est trop compliqué pour eux). Et en tant que processus, il peut y avoir flux et reflux un peu comme pour les marées, sauf que là, ce n’est pas la lune qui « commande » mais les situations de stress ou d’angoisse, etc.Dès lors, en terme de processus (de mouvement ou de dynamique ai-je dis des milliers de fois dans mes articles), il n’y a aucune contradiction. Cette contradiction n’apparaît que lorsque vous situez la perversion narcissique sur un plan catégoriel. Autrement dit, c’est vous qui créez la contradiction que vous croyez percevoir chez autrui (ou chez moi) en faisant d’une théorie basée sur la description de processus une théorie uniquement « catégorielle ». Ce faisant, vous la réduisez et la mutilez en y soustrayant ses éléments les plus importants. Vous tombez donc dans le même biais d’interprétation que commettent tous les journaleux mainstreams et la plupart des critiques qui se sont emparés de ce concept en le pervertissant. Un processus est toujours en mouvement, si vous le stopper vous n’en observez qu’une infime partie de son principe fonctionnel et c’est ce qui est fait lorsque l’on parle de pervers narcissique d’un point de vue « catégoriel » sans comprendre le processus que ce terme recouvre.La plupart de ceux qui le promeuvent font également la même erreur. Ce n’est donc pas une critique en soi (au sens péjoratif du terme), mais simplement un constat. -
@ Kent
Si vous aviez fait le béni oui oui, vous auriez eu droit à une réponse començant par une phrase du genre : ’Voilà un commentaire riche...’
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@ kakachinois,
Inutile de t’exciter comme un asticot au bout de sa ligne. L’ouverture de la pêche à la truite est déjà passée, c’était samedi dernier.Peut-être as-tu d’autres infos que celles diffusées par cette vidéos de K. Radu dont personne n’a jamais pu confirmer la traduction (ce qui serait essentiel), mais en l’absence et compte tenu du passé « trouble » de Cantat, serais-tu en mesure de nous en dire plus, vu que tu connais l’affaire semble-t-il. Si j’ai mal jugé ton idole... je serai près à réviser mon jugement, mais j’y ai passé assez de temps pour m’en faire une idée.Pour ce qui est de poursuivre, c’est une autre histoire : les assassins d’âme sont plus dangereux que les plus dangereux des criminels... mais pour le comprendre il faudra probablement des décennies encore, car ce sont des pauvres « petites » victimes qui n’ont de cesse de se faire passer pour telles afin qu’on les plaigne. Ce qui ne les empêchent pas de maudire la terre entière et de vous plantez des couteaux dans le dos. Là encore, il n’y rien de péjoratif, simplement le constat d’une situation que peu de personnes sont en mesure de comprendre, car la perversion se nourrit avant tout de vengeance. Or, toute la question est de savoir comment éviter ce cercle vicieux infernal (celui de la vengeance). -
@Kent
qu’est-ce que disais plus haut ? Marguerite ne chante pas faux : ce sont vos oreilles qui entendent de travers !
Règles de Humpty Dumpty -
@Philippe VERGNES
Moi je comprends très bien ce processus ; la seule chose, c’est que l’âme est immortelle, - disons que ça aide à l’espoir de s’en sortir-, et qu’au bout de longues années on aperçoit le bout du tunnel. Avec, néanmoins la peur au ventre, mais la petite braise qui restait sous la cendre, quand elle commence à se rallumer, ma foi, on croit en elle ! -
@JL
au sujet de l’existence qui, selon Philippe Vergnes ci-dessus n’existerait pas :
Par PV à JL, le 2 mars, 01:21 :
’’Ignorez-vous donc que le projet du pervers narcissique est de conformer l’autre en un identique ? Et d’où croyez vous donc que provient cette pensée perverse chez le pervers narcissique ’’
En effet, PV a toujours dit que le pervers narcissique n’existe pas, et que seuls sont qui n’y ont rien compris disent le contraire ! Pfff !
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au sujet des pervers narcissiques qui, selon Philippe Vergnes ci-dessus n’existeraient pas, voici ce qu’il en disait entre autres, il y a peu de temps :
Par PV à JL, le 2 mars, 01:21 :
’’Ignorez-vous donc que le projet du pervers narcissique est de conformer l’autre en un identique ? Et d’où croyez vous donc que provient cette pensée perverse chez le pervers narcissique ’’
En effet, PV a toujours dit que le pervers narcissique n’existe pas, et que seuls sont qui n’y ont rien compris disent le contraire ! Pfff !
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@ Vergnes
Cantat ne se fait pas passer pour une victime. Il a obtempéré aux lois qu’il n’a pas écrites ni téléguidées comme tout justiciable et souhaite vivre comme tout citoyen, ayant payé et sa dette à la société et les dommages aux parties civiles. Point barre. Ca s’appelle la démocratie. Vous n’êtes pas d’accord ? Virez votre cuti, assumez votre fascisme foncier.
Vous avez le culot de parler de K.Rady en isolant une bribe d’un contexte et cela parce que cette bribe appuie le préjugé que vous avez. Vous parlez à tout bout de champ d’empathie pour culpabiliser vos interlocuteurs mais essayez de vous mettre à la place de ces gens, de l’histoire qu’ils ont traversé, Cantat, sa femme, ses enfants. Quand on est dedans, on fait comment, d’après vous ? Ca affecte comment la cellule couple, la psycho individuelle, etc tout ça ? K.Rady ayant pris la défense de son mari à Vilnius, elle a eu son lot d’injures, de diffamations, de menaces - jusqu’à des menaces de mort, etc. La baraque des Landes de Cantat, qui était aussi à elle, a brûlé, crime resté impuni. Les enfants aussi ont leur lot, ’fils d’assassin qui ont la chance, eux, de pouvoir voir leur mère’, etc. Et par les mêmes personnes dans votre genre qui maintenant qu’elle est calanchée et ne peut rien infirmer ou confirmer continuent à ce comporter comme les types achevés d’humanité qu’ils sont.
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@ Vergnes
Le biotope du pn, c’est le groupe. Et comme vous voyez, je suis, moi, contrairement à vous, toujours en train de chercher à me faire une ribambelle de potes.
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@ kakachinois,
Lorsque tu parleras comme une grande personne, je pourrais te répondre comme à une grande personne. Pour l’heure, il n’y a pas plus facho que celui ou ceux qui souhaitent imposer leur opinion à autrui sans aucune mesure prendre la peine et le temps de la comprendre. Un exercice dont ma foi tu es plutôt doué avec tes injures à répétition qui ont entraînées ton éviction sous mes articles. Je constate que « chasser le naturel, il revient au galop ».« Le biotope du p.n., c’est le groupe. »Je suis absolument d’accord avec ça... ce n’est pas pour rien que ce concept est issu d’une psychanalyse groupale et familiale a ne surtout pas confondre avec la psychanalyse freudienne pour laquelle tu m’as fait un caca chinois de tous les diables. Mais une question se pose tout de même, comment quelqu’un qui conchie la psychanalyse (toutes les psychanalyses sans distinction, ce qui n’est surtout pas mon cas) peut-il en même temps utiliser un concept psychanalytique dans son argumentation ?S’il y avait une contradiction à dénoncer, ce serait bien celle-là, car c’est exactement ainsi qu’agissent tous les manipulateurs pervers et leurs affidés.Une réponse peut-être ?« Quand on est dedans, on fait comment, d’après vous ? Ça affecte comment la cellule couple, la psycho individuelle, etc. tout ça ? »Je connais PARFAITEMENT ce genre de situation à un niveau dont, si j’en jugeais par tes interventions, tu n’auras jamais idée (et très honnêtement, je ne te le souhaite même pas...). Je n’isole en rien le contexte de l’interview de K. Radu... tout au contraire. J’ai passé plus de dix ans dans des associations de victimes de tels individus. Ce contexte, je fais bien plus que le connaître. Tape toi le boulot que je me suis payé pendant des années et reviens me faire la morale... on pourra à ce moment-là en parler d’égal à égal. En attendant... le mieux... ben... ce serait, pour le dire poliment, que t’arrêtes de me faire tes cacas chinois.
Les menaces, etc. qu’ont subis K. Radu et ses enfant de la part d’imbéciles qui n’y connaissent strictement rien dans ce genre de situations sont tout aussi lâches que celles qu’elle a enduré de la part de Cantat qui lui s’est déchargé sur elle (eux) d’une responsabilité qu’il n’a jamais voulu reconnaître. Ce ne sont pour moi que les deux faces d’une même médaille : la société, tout comme les pervers, a besoin de boucs émissaires. A ce titre, elle est tout aussi responsable que son bourreau et c’est également à ce titre qu’elle est « perverse » et immature : la logique sacrificielle est encore son principal moteur alors qu’une société réellement évoluée apprendrait à ses citoyens à prendre leurs responsabilités.Point barre ! -
@siatom
sans défendre qui que soit, j’espère juste que toutes ces féministes de tout poil feront un petit détour par l’hopital ou est soigné nordahl lelandais, pour venir cracher leur haine et déchainer leur violence !!!!
Mais j’en doute -
« ... Il n’y a pas plus facho que celui/celle(s) ou ceux qui souhaitent imposer leur opinion à autrui sans aucune mesure prendre la peine et le temps de la comprendre (l’opinion d’autrui). »
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@Philippe VERGNES "comment quelqu’un qui conchie la psychanalyse peut-il en même temps utiliser un concept psychanalytique dans son argumentation ?"
Vous faites une confusion entre un concept et l’utilisation de ce concept.
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@ Bonjour alinea,
Bien que vous apparaissiez sur ce fil de discussion où je vous ai interpellée, mon message à l’attention de Kent ci-dessus ne faisait nullement allusion à vous. Je vous ai assez lu pour savoir que vous connaissiez le « processus ».Par contre j’ai précisé cette histoire de processus à l’attention de Kent pour ne pas qu’il tombe dans le confusionnisme sur ce sujet que n’ont de cesse de semer tous ceux qui n’y comprennent strictement rien (en tant que processus puisqu’ils restent « fixer » au diagnostic catégoriel comme des lucioles le seraient à un lampadaire), tout en se faisant passer pour compétent. Ça serait vraiment risible si ce n’était si dramatique pour toutes celles et tous ceux (femmes, hommes et enfants... on les oublie toujours, ce sont pourtant eux qui vont transmettre le « virus » d’une génération à l’autre) qui vivent de telles situations.Pour les confusionnistes, il faut avoir en tête qu’ils ont un réel intérêt à semer le trouble et la confusion dans le dévoilement de leur manipulation... un intérêt tout narcissique : il ne faut surtout pas dénoncer leurs techniques et leurs stratégies d’emprise... ils pourraient manquer de victimes à vampiriser. -
@Cadoudal
Je vous conseille d’arrêter de regarder ce genre de trucs ; vous n’y servez à rien, et ça vous bouffe. -
@alinea
« À ma connaissance, mais c’est à vérifier, les pervers narcissiques ne sont pas violents, sauf verbalement ! »A mon avis, et selon mon expérience en la matière, (30 ans en psychiatrie du bon coté de la blouse) quand vous l’avez vérifié dans la pratique, c’est trop tard. -
@ Bonjour pemile,
Peut-être n’ai-je pas été assez clair ou bien assez précis alors : comment quelqu’un qui conchie la psychanalyse et ses concepts peut-il les utiliser dans son argumentation ?Par exemple, comment quelqu’un qui peut écrire, je cite : « La PN (perversion narcissique), une spécialité qui me rebute assez, je dois dire. » (Le mot spécialité a été souligné par l’auteur du post en question). Et dans le même temps apporter la contradiction sur ce sujet en se vantant d’en être un spécialiste ?Si vous avez la réponse à cette contradiction, je suis tout ouïe... moi, je en l’ai pas (en fait... si... je l’ai, mais uniquement d’un point de vue psychopathologique). -
@Philippe VERGNES « Si vous avez la réponse à cette contradiction, je suis tout ouïe »
Sans liens vers les posts originaux complets, votre question ne peut obtenir aucune réponse.
Le peu que je comprends de ces deux extraits, c’est qu’on peut être spécialiste d’un domaine mais trouver cette spécialité rebutante ?
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@ Bonjour velosolex,
J’en rirais presque si ce n’était si dramatique, mais c’est un peu ça oui. N’oublions pas que dans l’affaire Roman et bien d’autres encore, Jean-Claude Romand a été expertisé comme ayant des comportements pervers narcissiques par plusieurs experts psychiatriques (trois collèges de deux experts en tout) et a été pris comme un cas d’étude de mythomanie (sujet peu étudié qui relève de la perversion narcissique) dans une thèse de doctorat. -
@Philippe VERGNES,
menteur un jour menteur toujours ! Fouteur de non-sens un jour, fouteur de non-sens toujours ! amalgameur un jour, amalgameur toujours ;
Puisque l’auteur du commentaire (cité par vous en gras ci-dessus) qui fait l’objet de votre post précédent c’est moi, sachez que :
1 - contrairement à ce que vous dites, je n’ai jamais conchié la psychanalyse ;
2 - contrairement à vous et à ce que vous dites ici, je ne me suis jamais présenté comme un spécialiste d’aucun sujet.
Et ça vous défrise puisque le non spécialiste que je suis en sait bien plus que vous sur votre « sujet chasse gardée ». Vous en savez si peu qu’après 6 années et des milliers de pages plus tard pondues sur AV concernant la dangerosité de ceux que vous appeliez jusqu’à hier encore des pervers narcissiques, avec force détails de comment ils fonctionnent, comment les reconnaitre, comment s’en protéger, j’en passe et des meilleures ..., voici que maintenant vous soutenez qu’ils n’existent pas ! Et injuriez ceux qui diraient le contraire !!!
A ce niveau ce n’est plus du charlatanisme, c’est du charlotisme.
ps. je veux voir dans votre revirement au sujet de l’existence ou pas des pervers narcissiques - dois-je vous rappeller que vous aviez reproché avec Pipo que mon article Le Triangle de Karpaman en niait l’existence ? - une prise de conscience tardive : quand avez pris conscience que le portrait que vous en donniez si souvent et si régulièrement, correspondait traits pour traits à votre propre personne ? -
@ pemile,
J’ai cité les termes exacts dans lesquels s’exprime la personne en question sans en préciser le nom.Les liens sont manifestement inutiles. Pour être plus précis : cette personne se vante d’avoir des compétences dans une spécialité (un domaine) dont elle ne cesse de faire la « promotion » (à sa façon... totalement perverse au sens étymologique et tertullien du terme de « retourner, bouleverser, falsifier un texte » puisqu’elle n’a jamais étudié le domaine en question) tout en trouvant cette spécialité rebutante.Si vous avez une explication à un tel comportement (autre que celui dont je dispose qui est relatif à la psychopathologie), je suis tout ouïe... -
@velosolex
Je m’en doute ! je me doute aussi qu’un pervers narcissique qui pète un plomb, c’est fatal, mais j’ai idée qu’il est trop narcissique pour le faire !
En tout cas, je voudrais savoir si un pervers narcissique peut se suicider. M’est avis que non, cependant il y a peut-être des atteintes qui dépassent la capacité des « trucs » pour survivre quand même !
j’ai idée qu’il y a , ou peut y avoir, une conscience du vide en soi chez le pervers, qui court toujours derrière les faux-semblants qui le maintiennent, et même, le font apprécier ; mais un évènement dramatique, vraiment, pourrait-il le plonger dans son vide sans issue du secours habituel ?
Je parle là d’un évènement qui ne concerne en aucune façon la ou les proies. -
@ JL,
Cesser de vous prendre pour le nombril du monde et d’interpréter tout ce qui se dit comme vous étant adressé, ça vous changera un peu, car cela relève du délire d’interprétation. Je n’ai jamais dit ou insinué que vous conchiez la psychanalyse. Par contre kalachnikov, lui, ne s’en est jamais privé.Quant à vous vanter d’avoir des compétences que vous n’avez jamais eu, sur des œuvres que vous n’avez jamais lues, qu’en dire d’autre si ce n’est que ce genre d’attitudes est l’apanage des imposteurs, des charlatans et des escrocs intellectuels et relève de la plus parfaite mythomanie. Croire qu’un imposteur patenté pourrait produire des commentaires qui puissent me défriser, voilà bien ce qui relève d’un délire de toute-puissance.La seule chose dont vous êtes capables sur ce sujet précis de la psychopathologie, c’est de foutre une m.... si monumentale qu’une mère n’y retrouverait pas ses petits. Le confusionnisme le plus total. D’autres que moi vous l’ont déjà signifié à maintes et maintes reprises. Mais déni un jours, déni toujours. C’est en cela que vous êtes un cas d’école pour ce qui est de l’étude des dénis réussis. -
@alinea Bonjour.Le blême du couple Bernard Marie était la came .J’ai balancé plusieurs fois la chanson de Thiefaine qui résume le bordel ; les dingues et les paumés.
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@Philippe VERGNES
Je me prends pour le nombril du monde ? Soutenez vous ici que celui dont vous parlez en citant ce post reproduit à 14:27 en gras, ce n’est pas moi ? Pfff ! Plus c’est gros, et plus vous en rajoutez.
Vous dites ici que vous n’avez jamais insinué que je conchiais la psychanalyse ? Mais si, et là sous votre nez, à 14:27 !!!
Mais c’est vrai, vous ne vous relisez jamais : comme Marguerite et l’enregistreur de voix : ça vous anéantirait !
Quoique ... Croire que seul un spécialiste pourrait vous défriser, voilà bien ce qui relève d’un délire de toute-puissance. Et la toute puissance est indestructible, n’est-ce pas ? -
@Aita Pea Pea
je suis convaincue, à voir une quantité de gens du show bizz, qu’il y en a peu qui gardent le minimum d’humilité pour rester, comment dire, maîtres d’eux-mêmes. Le gloire les enivre mais n’est pas suffisante, et ils sont légion à avoir succombé à une overdose,ou bien à des dérives sexuelles, ou bien à la déglingue !
Il me semble me souvenir que Marie Trintignan présentait une fragilité qui expliquait pourquoi le(s) coup lui avait été fatal. Il n’y avait évidemment pas la volonté de tuer.
À partir de là on peut expliquer l’arrogance, comme ils disent, de Cantat à vouloir vivre.
Pour ma part je ne porte aucun jugement là-dessus, je trouve ça triste, c’est tout. -
Xenozoid 16 mars 2018 15:25@alinea
triste,c’est le mot qui convient, hélas
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@Philippe VERGNES
La question que je pose plus haut à velosolex, vous est adressée aussi ; si vous avez une réponse... -
@alinea
Les réponses catégoriques, c’est comme les simplifications, toujours abusifs. Chaque histoire est particulière. On extrapolera longtemps sur la différence entre psychopathes et pervers narcissiques. C’est autant de temps perdu:Mieux vaut prendre les jambes à son cou, les éviter. ..Encore faut il les reconnaître. Certains de nous semblent attirer par des substances dangereuses ou ce genre d’homme.....La manipulation et la séduction sont leurs marques de fabrique. Mais je suppose que je vous apprend rien. Des traits paranoïaques donc. Quand il n’a plus d’issu, où quand son image s’effondre, ce genre d’individus peut alors passer à l’acte, sur lui, ou sur lest autres. Voyez l’affaire Roman, qui est parlante.C’est sûr que le manque d’empathie est une protection au monde, mais aussi une souffrance. Pas le plaisir de l’émotion de l’échange vrai, du dépassement de soi, pour un culte de soi, du ressenti amoureux. Il ira donc chercher la compensation dans le plaisir de faire souffrir. Un pourcentage minime de la population partage ses traits, qui en font des criminels de guerre si l’occasion fait le larron. Je pense au capitaine Ortiz, qu’on appelait l’ange de la mort en argentine. Il s’infiltrait dans les groupes de femmes en colère des disparus, et excellait dans les tortures psychologiques et physiques. .Très lâche par contre pendant la guerre des malouines. On peut pas être bon partout. -
@alinea
Tout comprendre de l’enquête sur le suicide de l’ex-femme de ....Le problème est que le show bizz transforme pendant longtemps en qualités romantiques, ou admet comme le pendant du coté « artiste » ce que la société ne tolérerait pas.
J’ai entendu par hasard sur inter dernièrement le témoignage d’une femme qui écrivait un bouquin sur Cantat. Pas sur le chanteur, mais le personnage. Ce type semble t’il a rompu avec beaucoup de musiciens, quand il ne les a pas terrorisés : Instable, violent, menaçant, manipulateur...Il n’en était pas à son coup d’essai...Que dire de la mort de sa femme qui s’est pendue, alors qu’il dormait. Je n’en dirais rien, mais il faut avouer que cela fait tacheCertains chics types peuvent perdre la tête, quand ils ne l’ont pas trop solides, Alors évidemment, les psychopathes et les pervers eux trouveront pendant longtemps un terrain d’indulgence à leur prédation, sans rencontrer de limites.Il en est de même pour toutes les situations de pouvoir.Hier j’entendais à la radio quelqu’un parler de gène de l’empathie. Ca me désole. Tout expliquer par notre capital génétique revient à tout implicitement excuser. La compréhension ne doit pas être une parallèle à celle de la bétise, et de l’irresponsabilité. Seul le cadre de la loi stricte peut canaliser souvent ce genre d’individu qui cherchera toujours à s’échapper. -
Xenozoid 16 mars 2018 16:51@velosolex
bakker street c’est triste de vouloir décrocher des cadavres a tout prix, mêmse exquis ,le goût restera amêre
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@velosolex
En ce qui concerne de tout mettre sur le dos des gènes, je pense que c’est pousser la « science » des hommes un peu loin ; personnellement j’en mets beaucoup sur le dos de l’histoire personnelle, qui peut, bien souvent, dépasser la sienne propre et véhiculer des vieilles lunes.
regardez le mec, Daval Johnatann, qui a tué sa femme, un pervers narcissique lui aussi ? Pas le moins du monde ; un diminué.
La violence est l’arme des faibles, le sadisme, du faible dépassé ; quant à Roman, il a préféré tuer tout le monde plutôt qu’être découvert ; faiblesse, égotisme, et connerie !
En tous les cas : mensonges à tous les étages ! -
@alinea
Je doute qu’il n’y ai pas eu un réel plaisir à manipuler toute sa famille, ses amis, sur de si longues années. Quand le mensonge est si parfait, il faut qu’il y ait une structure de la personnalité en rapport. Il est si amoureux de lui et de cette image, que le retour au réel est insupportable. Une seule possibilité, casser le miroir, les autres.Pour ce Daval, je ne connais pas assez cette histoire mais il faut reconnaître que des individus border line ont parfois une grande incapacité à ne pas péter les plombs, comme on dit, sans être pour autant psychotiques. Pour ces derniers, c’est une autre affaire. Leur irresponsabilité souvent est patente.Le passage à l’acte en groupe résulte d’autres moteurs. Le livre « de sang froid » de Capote relève une histoire si malheureusement banale : Enfance cabossée, rencontres pathologiques, effets d’entrainement. -
@ JL,
A 14:27, pour être conforme aux échanges qui précédent entre Kent et moi et dont vous vous êtes mêlés un fois de plus sans chercher à comprendre de quoi il en retournait en affichant vertement votre ignorance du sujet, au lieu de « Par exemple », j’aurais du écrire « Autre exemple », car dans les messages précédent auquel celui de 14:27 abouti, il y ait bien question de plusieurs contradicteurs... qui présentent chacun ses propres contradictions dans leur argumentation.Ainsi, dans le fil de la discussion à suivre depuis le début, celui qui conchie la psychanalyse (LES psychanalyses sans distinction) tout en utilisant ses concepts dans son argumentation, c’est kakachinois et celui qui peut se vanter d’’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres qu’ils n’a jamais lues... ben, c’est vous. C’est plus clair ? (Il y a lieu d’en douter, tant vous vous évertuez à semer la merde à chaque fois que le sujet est évoqué et que comme tout bon imposteur, vous privilégiez toujours la forme sur le fond. Soit tout le contraire de ce qu’il conviendrait de faire pour entretenir un dialogue constructif avec un interlocuteur.) -
@Philippe VERGNES
une des différences qui fait sens ici, entre une pensée analytique et une pensée perverse, c’est que la pensée analytique s’exprime avec précision ; l’expression de la pensée perverse est floue, ambiguë, sujette à de multiples interprétations.
La différence entre un scientifique et un charlot, c’est que, en cas de doute, le scientifique se relit et s’il y a lieu, précise sa pensée. Le charlot monte tout de suite sur ses grands chevaux.
L’imposteur, en ^mus, écrit 10 fois plus long pour expliquer 10 lignes. C’est sans fin.
Je vous plains : vous avez du avoir des parents terriblement culpabilisants. -
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@ JL
C’est parce que vampirisé par son Moi (on devrait dire non Moi), il amalgame tous ses contradicteurs en une seule figure mythique antagoniste.
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@ alinea,
En complément des réponses de velosolex à votre commentaire de 14:54 qui soulève mine de rien toute la problématique du passage à l’acte auto ou hétéro-agressif, tout va dépendre du contexte et de nombreux autres facteurs en fait. C’est ce qui rend ce genre de situation très difficile, voire impossible à prévoir ou à évaluer correctement (du moins en l’état actuel de nos connaissances).Un « pervers narcissique » peut parfaitement en venir à se suicider, mais si tel est le cas, c’est que sa défense perverse aura échoué et que sa proie lui aura échappé ou serait en passe de le faire (d’où aussi le retournement du passage à l’acte auto-agressif au passage à l’acte hétéro-agressif). Si tel est le cas, il aura donc décompensé en psychose. C’est pour ce genre de détails, tout en subtilité et en nuances, que la théorie de la perversion narcissique de Racamier a toute son importance, car s’il décompense en psychose (bien souvent paranoïde - à ne pas confondre avec paranoïaque - ou pire encore), c’est qu’il a cessé d’être pervers narcissique et a évoluer dans le sens d’un « régrés » pour sombrer en psychose. Il n’y a que les repères que donne Racamier dans sa grille des dégradés de dénis qui puissent permettre de s’y retrouver, car c’est la nature des dénis rencontrés qui va donner les indications nécessaires pour suivre ce mouvement de « dérive psychopathologique » (cf. schéma).Mais avant d’en arriver au passage à l’acte auto-agressif, il y a fort à parier qu’un(e) pervers(e) narcissique aura maintes fois effectué des tentatives de suicides (ou, s’il n’est pas arrivé jusque-là, il en aura menacé sa proie). C’est ce que Paul-Claude Racamier appelle la suicidose dont je n’ai encore pas parlé dans mes articles, car elle est très fortement liée aux notions d’expulsion psychique et de deuil originaire qu’il me fallait expliquer en premier lieu avant d’aborder les explications de ce « phénomène » (qui se retrouve plus souvent, mais pas uniquement, dans la perversion narcissique féminine que Racamier nomme « phalloïde »).Il faut savoir que plus la rapidité de passage d’un dégradé de déni à l’autre est rapide, plus les chances de suicides d’un individu en proie à des souffrances psychiques risquent le passage à l’acte auto- ou hétéro-agressif. Celui-ci dépendra donc de nombreux paramètres que l’on ne maîtrise pas encore correctement cliniquement (contexte, entourage, soutien, etc.)Quoi qu’il en soit, la défense perverse narcissique consiste en la capacité de se décharger de ses propres conflits interne et de les expulser ailleurs... bien souvent chez une seule proie, pour les petits « pervers », parfois chez un peuple tout entier chez les grands pervers paranoïaques (qui est l’aboutissement le plus réussit de la perversion narcissique).Un évènement dramatique peut donc bien le plonger dans son vide sans qu’il puisse avoir recours à son issue de secours habituelle (qui est celle de « vampiriser » une proie), mais c’est tout de même un cas relativement rare, bien que la prise de conscience de cette problématique par de plus en plus de monde peut entraîner en retour une récurrence de passage à l’acte auto- ou hétéro-agressif.Il faut bien comprendre que nous touchons là au domaine de l’émotionnel (le don sacré) clivé et chassé de notre esprit pour laisser place au rationnel (le serviteur fidèle), mais que celui-ci a plus d’un tour dans son sac pour se rappeler au bon plaisir du cliveur. C’est à cette problématique que l’on pense également lorsque il est question d’alexithymie.Bref, c’est un sujet au cœur des préoccupations actuelles de nombreux chercheurs, mais chacun œuvrent de leur côté et il faudrait des polyconceptualistes monotechniciens, comme les nomme Henri Laborit, pour établir des liens entre toutes ses différentes notions : « Nous avons assisté en effet à la construction d’une tour de Babel dans laquelle grouillait une population de plus en plus nombreuse de spécialistes qui n’arrivaient plus à échanger une seule information, car leurs langages étaient tous différents. […] Ce sont les concepts et les langages du plus grand nombre possible de disciplines, et non les techniques, qu’il est nécessaire d’acquérir pour ce qu’il est convenu d’appeler l’interdisciplinarité ; nous avons de plus en plus besoin de polyconceptualistes monotechniciens. »C’est devenu un problème crucial des sciences à l’heure actuelle comme l’avait anticipé également Edgar Morin dans son livre Science avec conscience paru en 1982. Il reste donc du pain sur la planche pour mieux connaître cette problématique. -
@ JL,
LOL !Merci pour ce formidable hommage du vice à la vertu.Ainsi s’exprima celui qui peut écrire un charabia incompréhensible tel que : « l’imposteur, en ^mus, etc. » qui parle de relecture... Mouarf... Ha j’en peux plus... je vais finir par me pisser dessus à vous lire.Une imposture, et celui qui la commet, l’imposteur donc, se définie strictement et en particulier ainsi : « attitude, action de celui qui se fait passer pour celui qui n’est pas, pour une autre personne », comme par exemple, se vanter d’avoir des compétences que l’on a jamais eues sur des œuvres que l’on a jamais lues.On comprendra bien dès lors qu’il ne reste à l’imposteur que le seul recourt à la calomnie, la diffamation, la disqualification, le dénigrement, etc. pour cacher son imposture aux yeux d’autrui lorsqu’il tombera sur quelqu’un qui pourra lui mettre le nez dans son kakachinois. -
@ kakachinois,
Si c’est une démonstration de tes talents de prestidigitateurs que tu nous fais là, je la trouve réussi.Pas possible de vous amalgamer puisque l’un conchie la psychanalyse et ses concepts tout en les utilisant à dessein, et l’autre est un fervent défenseur de cette même psychanalyse tout en se vantant avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres qu’il n’a jamais lu.Sur le coup, l’amalgame, ce serait plutôt vous deux qui le produisaient. Bon, on est entre nous, vous avez bien sûr le droit de vous faire des papouilles, l’homosexualité n’est plus considérée comme un « vice » depuis bien longtemps et personnellement, je n’y vois aucun inconvénient. Mais si vous pensez vous marier, venant nous en faire part nous partagerons votre joie avec bonheur.Congratulations et longue vie aux amoureux. Qu’ils puissent vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants ! (Avec les techniques actuelles, plus rien n’est impossible en matière de procréation.) -
@Philippe VERGNES
’’charabia incompréhensible’’ ?
« Être bête, c’est avoir un sens aigu de l’inessentiel » Socrate
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@ JL
La figure archétypale du pn dissimulerait-elle la figure du père ?
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@Philippe VERGNES
la perversion c’est aussi de se livrer impudemment dès la moindre excitation narcissique venue, à la projection obscène de ses fantasmes scatophiles et homosexuels à l’exemple de ce post de Philippe Vergnes ci-dessus. -
@kalachnikov
la psychologie des profondeurs n’a pas sa place sur un site citoyen, il y a trop de trolls et de cinglés. -
@Philippe VERGNES "Pour être plus précis [...] Si vous avez une explication à un tel comportement (autre que celui dont je dispose qui est relatif à la psychopathologie), je suis tout ouïe"
Vous n’apportez aucune nouvelle information précise et vous me reposez la même question, vous êtes tout ouïe mais donnez plutôt l’envie de vous frotter les oreilles !Vu que vous êtes hors sujet sur l’article et qu’il est visible que vous ne faites que régler des comptes avec kalachnikov en cherchant des témoins, je comprends mieux votre intérêt pour les travaux de P-C Racamier !
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@ JL,
Heu... l’homosexualité a quitté le champ des perversions depuis belle lurette... à mince, vous ne le saviez pas ?Pas étonnant, vous vivez encore avec des concepts des années 1900 pour expliquer le monde de 2018.JL où comment rayer d’un seul trait de crayon de couleur les toiles de maîtres de ces 120 dernières années. Bah, après tout, si ça vous fait plaisir, mais sans moi ! -
@Philippe VERGNES
Merci pour votre réponse.
Juste deux ou trois commentaires,en vrac ! :
Il y a des cas où la toute puissance infantile n’existe pas...
J’aimerais bien qu’on s’intéresse plus au couple pervers/proie. Mon expérience, et mon observation qui étaient concomitantes, m’a montré que le pervers agit avec tout le monde de la même façon,- qu’il n’a aucune hiérarchie comme on peut l’avoir par une attirance par exemple-, et que c’est la réponse qui diffère. La proie est celle qui a accroché ; beaucoup de choses à dire là-dessus.
Le pervers se fout de celui ou celle qui s’en va, il va ailleurs ; en revanche il se comporte comme un vampire à celle qui accroche. Il se nourrit de l’autre, dans l’image qu’il offre et qui est reçue positivement, mais l’autre peut bien changer chaque jour, l’important est ce reflet répercuté, et qui satisfait.
Il n’y a chez lui aucune profondeur... il imite mais il est perturbé voire déstabilisé par une réponse inadéquate... et l’on voit une grande fragilité, un profond désarroi en ce cas. -
@ pemile,
Mettons les choses au clair voulez-vous. D’’une, je ne suis jamais venu ici ou ailleurs régler des comptes avec qui que ce soit, car je ne fais que répondre aux « attaques » des deux charlots que sont JL et Kakachinois qui ne peuvent se retenir de m’interpeller à chaque fois que j’apparais ou que je commente un article sur ce site (Kakachinois, à l’occasion, plus fréquemment pour JL). De deux, par une pirouette digne des plus grands sophistes, vous inversez totalement la relation de cause à effet. Et c’est bien ce à quoi sont vouées toutes les victimes de pervers narcissiques de la part des témoins de ce genre de scène qui prennent position sans rien connaître des tenants et des aboutissants de l’affaire qu’il juge. Ce qui est en soi très instructif également !Il vous suffirait simplement de relire toutes mes réponses à ses deux intervenants sur ce fil de discussion et l’ensemble du site pour vous en rendre compte (à l’exception d’une seule fois où j’ai interpellé JL... pour le complimenter, ce qui a suffit à le faire « monter sur ses grands chevaux). Il est clair qu’avec de tels points de vue, les victimes de pervers ont encore bien du pain sur la planche pour parvenir à se sortir des griffes de leur oppresseurs. Racamier n’a jamais enseigner, que je sache et tout comme Jésus, qu’il fallait tendre l’autre joue lorsque l’on se trouve en prise de bec avec un contradicteur qui ne sait pas ce qu’il dit et qui se contredit sans comprendre de quoi il parle tout en projetant cette contradiction sur autrui. Si tel était le cas, vous seriez bien obligé de me dire où, dans son oeuvre, il a pu écrire une telle chose. Par contre, il a écrit beaucoup de choses sur les pervers et les mouvements pervers que l’on peut analyser dans ses lignes tout autant que dans l’exemple de B. Cantat. Il a notamment écrit qu’à tout mouvement pervers d’injection projective pouvait apparaître un injection rétrocessive en retour qui n’est ni plus ni moins que le renvoie de la »patate chaude« du pervers à son expéditeur.Les informations que je vous ai communiquées et les exemples donnés sont suffisamment explicites, sans avoir à nommer qui que ce soit, pour porter un jugement sur de telles attitudes (et non pas sur les personnes). Je me répète donc puisque vous éludez (consciemment ou pas) la question.Premier exemple : que dire de quelqu’un qui peut conchier la psychanalyse et ses concepts avec force et véhémence et s’en servir par ailleurs lorsque l’occasion lui en est donnée ?Second exemple : que dire de quelqu’un qui se vante d’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres qu’ils n’a jamais lues ?Parce que des explications »normales« et exceptés celles qui relèvent de la psychopathologie, je n’en ai personnellement pas.D’un point de vue psychopathologique, dans le premier exemple, cette contradiction ne prouve pas grand chose, car il faudrait qu’il y ait récurrence d’un tel comportement pour être amené à se poser des questions. En tout premier lieu, ce genre de contradiction apparaît lorsqu’une personne s’exprime sur un sujet quelle ne maîtrise pas. C’est même une singularité redoutée des scientifiques qui leur indique que leur théorie pêche par son raisonnement ou qu’il y manque quelques précisions.Dans le second cas, c’est plus complexe. La récurrence d’une telle attitude sur un grand nombre de sujets signe les impostures de leur auteur et dans les cas les plus graves, sa mythomanie. Or, mythomanie et imposture ont des liens indéfectibles avec la perversion narcissique.Jamais il ne me viendrait à l’idée de prétendre avoir des compétences dans un domaine que je n’ai pas longuement étudié et pour lequel je n’aurais lu que deux chapitres d’un oeuvre après avoir longtemps fait croire que j’avais lu l’intégralité de l’oeuvre en question, somme toute immense, non pas par ses écrits, mais par la richesse de ses conceptions. Et je considère mon attitude comme étant la »normale« chez des gens civilisés, n’en déplaise à ceux qui se la raconte. Tant est si bien qu’un individu peut tout juste, au court de toute une vie, prétendre avoir des compétences dans un ou deux domaines seulement. Trois à la rigueur. Le reste, ce n’est que du »survol" ou bien est dévolu au seul génie. Mais il est vrai qu’il arrive souvent aux imposteurs de se prendre pour des génies.Après que vous bottiez en touche, cela se conçoit fort bien, mais ne venez pas me raconter des conneries par ailleurs comme celles que vous venez de me balancer dans le post auquel je réponds. Ce serait déjà faire preuve d’une honnêteté intellectuelle dont sont incapables les imposteurs. -
@pemile
Homme blanc couper du bois, indien me l’a sussuré à l’oreille ....
Froid...grand froid ...ce we, hibernation in progress hugh -
@velosolex
D’après ce que je sais de l’histoire de Roman, non, il n’y avait aucun plaisir ; le type s’est enfoncé dans son mensonge, y a vécu en peaufinant les faux-semblants, mais au départ le choc et la vexation, la honte vis à vis des autres, de n’avoir pas été reçu en deuxième année de médecine ;échec impossible à assumer pour ce gars quasi surdoué et qui a acquis autrement de réelles compétences de médecin.
On voit bien comment, quand on a commencé à mentir, on ne peut pas reculer car chaque jour ajoute une couche et l’aveu est de quelque chose de plus en plus lourd !
Bon il a poussé tout ça très très loin ; si ça trouille était de se retrouver tout seul, exclu du social,il a réussi son coup.
D’ailleurs,j’aimerais bien savoir ce qu’il devient ! -
@ alinea,
Pas de quoi... je pense qu’avec les commentaires de velosolex en prime, il y a là de quoi faire. Plusieurs de ses remarques seraient à développer ici dans le cadre du cas évoqué par cet article. Notamment pour ce qu’il en ait de la psychopathie, mais je me suis déjà exprimé par ailleurs à ce sujet dans plusieurs articles : il y a bien plus une différence d’approche et de discipline entre ces différents concepts qu’une différence de concept en eux-mêmes (il en est de même pour l’étiquette de « sociopathe » ou de « personnalité antisociale »). On peut bien sûr s’échiner à leur trouver des différences, et pour cause, tout est une question de degrés (fréquence, intensité et durée des comportements observés) dans ce genre de problématique, mais fondamentalement, nous sommes sur une expulsion psychique de deuil ou de conflit interne (ce qui est la définition de la perversion narcissique). D’où tout l’intérêt d’analyser cette problématique selon son processus plutôt que selon son aspect « catégoriel ». Ce qui ne peut mener qu’a des querelles de clochers en passant à côté de l’essentiel qui, lui, peut un jour nous apporter des solutions (qui commencent à être « testées », mais il est encore trop tôt pour en avoir un retour). Par solution j’entends le fait de ne plus considérer les pervers ou les psychopathes comme inamendable. Mais cela tient encore à une question de degrés, sauf qu’avec l’accroissement de nos connaissances, on fait peu à peu reculer les frontières de cette limite d’inimendabilité. C’est ainsi que l’on progresse sur le chemin de notre évolution, mais ces progrès sont très lents à l’échelle humaine. Ils prennent une autre perspective lorsque l’on étudie l’histoire de l’humanité.Pour résumer le truc par une métaphore sur la question des différents termes « catégoriels » employés, c’est bien le même domaine d’investigation qui est exploré, mais avec des approches totalement différentes et selon moi en tout point complémentaire (cf. « Se comprendre ou s’entretuer : question de logique » et « Le match : psychopathes Vs pervers narcissiques »).Sur votre réflexion d’ensemble qui atteste que vous cernez bien le phénomène : « Il y a des cas où la toute puissance infantile n’existe pas... » selon moi, il semblerait bien qu’elle existe en toute circonstance, mais seulement qu’elle n’apparaît pas au grand jour dans chaque cas. N’oublions pas que de telles personnalités sont toutes en contrôle et qu’elles ne « craquent » qu’en cas de circonstances bien précises (qui ne sont pas celles que peuvent mettre en place leur proie).Sur la fragilité et le désarroi du pervers... oui. J’en parlerais tantôt pour « dédiaboliser » ce que sont réellement les pervers. Je travaille la-dessus depuis des années avec certains auteurs, mais j’ai toujours dis que le jour où je publierais quelque chose la dessus, je me fâcherais avec un grand nombre de victimes de ces individus qui ont BESOIN (en tout premier lieu) de croire en la figure du mal incarné chez le pervers narcissique pour s’en sortir. Mais ce n’est qu’une étape... parmi d’autres à franchir pour se libérer d’une situation d’emprise. Quoi qu’il en soit, il y a bien une immense fragilité et un profond désarroi chez les pervers qui fera qu’après la lune de miel, le pervers détestera sa « victime » pour la clairvoyance dont elle a su faire preuve à son égard. Cela aussi, c’est un aspect à tenir compte dans ce type de relation, car c’est sur la base de cette détestation paradoxale : « je ne peux vivre sans toi, mais vivre avec toi me tue, car si tu pars je meurs, mais si tu restes tu me tues », que le pervers se croit dans son bon droit de traiter sa proie comme il le fait.Nous voyons là apparaître le fruit (pathologique) d’une société telle que décrite par A. Einstein : « Le mental intuitif est un don sacré. Le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don. »C’est ce qu’en bout de chaîne nous nommons paranoïa (dérivé du grec para = contre, à côté de, et noïa = l’esprit, l’intelligence) ou bien perversion (dérivé du latin per-vertere = re-tourner, mettre sans dessus dessous, etc.) Ici encore, deux origines sémantiques pour un phénomène apparenté (en tant que processus, mais différent en tant que diagnostic clinique, subtilité encore). -
@ JL,
Bon avant de vous quitter et de vous souhaiter bonne nuit, juste une petite dernière pour la forme tant vos turpitudes me font rire.JL 16:27 : « Être bête, c’est avoir un sens aigu de l’inessentiel » SocrateMDR !D’une, encore une citation tronquée de votre cru : je doute fort que Socrate, qui parle par l’intermédiaire de Platon, ait pu un jour écrire une bêtise pareille quoique... Socrate n’a-t-il pas dit qu’il fallait se méfier d’Internet, car on disait trop de conneries ?De deux, seriez-vous encore en train de citer un auteur que vous n’avez jamais lu tout en vous vantant l’avoir fait sous couvert d’argument d’autorité dont vous êtes le BIG spécialiste de ce site ?P’tin, j’en ai connu des tâches, mais vous... je crois que vous battez tous les records. Vous êtes né pour amuser la galerie et si ce n’est pas le cas, vous avez raté votre vocation de clown.Allez au dodo les petits, il est l’heure d’aller se coucher, vous n’avez pas l’autorisation de minuit ! -
@Philippe VERGNES "Après que vous bottiez en touche, cela se conçoit fort bien, mais ne venez pas me raconter des conneries par ailleurs comme celles que vous venez de me balancer"
Je ne botte pas en touche, je vous répète une dernière fois que votre question n’en est pas une et ne vous sert qu’à proposer votre réponse.Si je raconte des conneries vous allez donc bien évidement les citer ?
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@ pemile,
« Si je raconte des conneries vous allez donc bien évidement les citer ? »Ben... très simple, mais bon... à la limite à quoi bon si ce n’est pour la forme (ou la curiosité de la suite), vous 20:41 : « Vu [...] qu’il est visible que vous ne faites que régler des comptes avec kalachnikov en cherchant des témoins. »C’est l’inverse qui est FACTUELLEMENT vrai, comme tout un chacun peut le lire en suivant, ne serait-ce que ce fil de discussion, mais également sous tous les fils de discussions où j’interviens sur ce site qui voient rapidement apparaître mes contradicteurs préférés ne pouvant plus se passer de moi. (Et après ça, c’est moi qui fantasme sur eux... nan, mais allô quoi !)Je l’ai pourtant déjà dis. C’est à croire que les faits n’intéressent vraiment personne sur ce site (ou du moins pas grand monde bien qu’il reste tout de même des intervenants de qualité qui ne sont certainement pas ceux plus enclin à régler leur compte et à chercher querelle à chaque occasion qu’ils trouvent, impuissant qu’ils doivent être dans la vraie vie : troll et pervers narcissique, c’est bonnet blanc et blanc bonnet, ça ne s’invente pas).« Votre question n’en est pas une... blablabla. »LOL ! -
@Philippe VERGNES "C’est l’inverse qui est FACTUELLEMENT vrai, comme tout un chacun peut le lire en suivant, ne serait-ce que ce fil de discussion, mais également sous tous les fils de discussions où j’interviens sur ce site«
Et vous allez encore m’accuser de dire des conneries quand je dis que »vous ne faites que régler des comptes avec kalachnikov en cherchant des témoins." ??!! -
@ Vergnes
Vous m’avez exclu de vos articles et de toute façon vous servez de la faculté d’exclure de façon manipulatoire.
Ah, ’des intervenants de qualité’. Autrement dit, qui vous lustrent le poil. Vous aimeriez un monde sans contradiction, sans contrariété, où vous êtes le centre. Vous êtes resté un petit enfant tout puissant au-dedans, mr Vergnes.
Riche commentaire, non ?
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@ Vergnes
Je le redis pour la seconde fois ce soir : c’est vous personnellement que je conchie et non la psychanalyse. Elle n’est pas votre chose de toute façon, vous n’avez pas de titre de propriété sur elle.
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@Philippe VERGNES
Bonjour. Vos analyses sont toujours pertinentes et détaillées. Un vrai plaisir de lecture. Roman est sans aucun doute un sujet à la rencontre de bien des chemins, et d’intérêts. Ce genre d’histoire nous interpelle. Elle condense en elle même tant de sens, dans un scénario au long court, qui est une véritable architecture savante, qu’elle en deviendrait improbable si c’était une fiction. C’est au fond la même affaire que Natasha Kampush, cette gamine autrichienne enfermée dans une cave pendant huit ans. Sauf que cette famille, là, ne sait pas.... Un chef d’oeuvre de mythomanie, et de prestidigitation serait on tenté de dire, si l’on oubliait cette fin épouvantable, mais malheureusement prévisible. On note au passage que Roman s’aime trop pour réussir son suicide, puisqu’il est le centre du monde.La manipulation et le plaisir du pervers narcissique sont grandement facilités actuellement pas les nouveaux moyens informatiques, qui garantissent une certain pouvoir sur un anonymat, ou les doubles peuvent se développer en réseau, potentialisant sans doute le sentiment de toute puissance.J’ai entendu dernièrement à ce sujet un reportage étonnant, à l’écoute d’une de ces émissions de france culture : « Les pieds sur terre », ( à 13 h 30 et visible en post cast) excellente émission, laissant des témoignages d’anonymes s’’exprimer en voix off. (Usurpation d’identité : http://bit.ly/2pnlB8u) -
@ pemile,
Ben... factuellement, si tant est que vous compreniez ce terme, mais je commence à en douter (sur ce site c’est de bon augure), la chronologie de la discussion atteste sans aucune ambiguïté possible de ma version des faits. Aucune interprétation la-dedans, il n’y a cas suivre le guide. Tout est écrit. Dès lors, pouvoir prétendre le contraire ne peut être que soit des conneries, soit alors... des intentions malveillantes, mais j’ai pour coutume, dans un premier temps et au contraire de beaucoup d’intervenants ici, de « ne jamais attribuer à de la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer » (principe du rasoir d’Hanlon).Dans votre phrase, ce qui ne semble pas imprimer chez vous, c’est le fait de « régler des comptes avec... » (Kakachinois, JL ou autre...) : je n’ai jamais régler mes comptes avec qui ce soit puisque ce sont toujours Kakachinois ou JL qui viennent me chercher querelles partout où j’interviens sur ce site. Or, en toute bonne logique, si c’était moi qui venait régler des comptes avec qui que ce soit, ce serait l’inverse qui serait vrai, mais ce détail et cette logique semble vous échapper totalement. Le fait de vous prendre à témoin ne concerne pas mes différents avec Kakachinois ou JL, mais simplement l’absurdité de votre accusation de « régler des comptes avec... » seulement pour voir cela, il faut d’abord cesser de chercher la paille dans l’œil du voisin lorsque l’on a une poutre en plein milieu du sien.Nan mais allô quoi ! -
@Philippe VERGNES Non mais allo la syntaxe serait un minima .
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@ Aita pea pea
Ca trahit l’affect véritable.
Thiéfaine a écrit une chanson sur Cantat, dont j’ai donné le lien hier : ’télégramme 2003’
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@ kakachinois,
« Vous aimeriez un monde sans contradictions... » Surtout pas... un monde sans con me suffirait amplement, mais c’est déjà trop demandé.Tes « contradictions » n’ont été que tentatives de petit impuissant frustré qui n’a pas réussi à m’imposer son opinion par l’argumentation sophistique qu’il a pu développer sous mes articles, Tes insultes qui ont suivi t’ont valu ton exclusion... que tu joues maintenant les pleureuses comme tout bon pervers qui vient de se faire « castrer » (j’en connais d’autre sur ce site) sait si brillamment le faire, te rend totalement pitoyable, tant il est vrai que les individus qui adoptent de telles attitudes et qui viennent ensuite se prévaloir de leur propres turpitudes ont un véritable problème d’égo (mais n’en ont aucune conscience, c’est d’ailleurs ce qui les rend pitoyables). -
@alinea
Surdoué ?...Brillant sans doute, dans le domaine des opérations intellectuelles, et ayant une ego surdimensionné. Mais pour la possibilité d’empathie il y a comme un vide. Génant pour un futur soignant.. Je n’aurais pas aimé avoir un médecin de ce type. Son stéthoscope devait être très froid.Toute ses potentialisés ont été dirigé vers un seul but :Continuer à tromper les autres. Là où n’importe qui s’effondrerait, lui tient, sans doute grâce à cette image narcissique valorisée par ses performances.Au fil des mensonges, l’ armure devient impossible à porter !Par pour des raisons névrotiques, mais pour une raison pratique toute bête : Les pyramides de Ponzi finissent par s’effondrer !Il faut convenir que la vie de Bouddha avait une autre allure. -
@ Aita Pea Pea,
La syntaxe ? Pour Nan mais allô quoi ? LOL !Recherche gogol : Nan mais allô quoi = 193 000 résultats. Bah... ma foi, bon courage pour le boulot, mais si le cœur vous en dit... moi j’y vois aucun inconvénient. Chacun son trip ! -
@ Vergnes
Toute la réalité vous dit non. Vous accordez une importance capitale au con, lequel n’a rien de castré.
Ne vous en faites pas, c’est entre vous et moi. Votre coeur de cible, ce benêt de gros public n’y voit que dalle et ça ne me dérange pas car c’est vous et vous seul qui m’interessez en tant que cas.
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@ velosolex,
Merci pour le lien... je vais y jeter un œil de plus près tant il est clair pour moi, et ce depuis longtemps, que « La manipulation et le plaisir du pervers narcissique sont grandement facilités actuellement pas les nouveaux moyens informatiques, qui garantissent une certain pouvoir sur un anonymat, ou les doubles peuvent se développer en réseau, potentialisant sans doute le sentiment de toute puissance. »C’est même l’une des raisons de ma présence ici, sur un site non modéré où les trolls (et les pervers) peuvent s’adonner en toute liberté et sans crainte d’être « castré », à leur plus « basses » pulsions. C’est un matériel d’une immense richesse tant la jungle Internet est disparate. L’usurpation d’identité est un problème que je souhaite aborder dans un de mes prochains articles. Peut-être trouverais-je avec votre lien de quoi l’étayer, car c’est un aspect méconnu et quelque peu éludé de la perversion narcissique que j’ai déjà commencé à traiter en parlant du meurtre d’âme dans mon dernier article et du décervelage dans mon avant dernier article (en lien justement avec la problématique de l’identité).Par ailleurs, et comme l’ont souligné plusieurs auteurs, la mythomanie est encore trop mal comprise et peu étudiée. Ce manque ou cette absence peut être comblé par les apports de la théorie de la perversion narcissique qui, selon Racamier, recouvre et chapeaute l’imposture et la mythomanie. Sur l’imposture, Roland Gori a développé des conceptions remarquable autour d’un livre que j’ai déjà eu l’occasion de présenter : La fabrique des imposteurs. un ouvrage sur lequel je reviendrais tantôt tant les imposteurs sont comme des poissons dans l’eau dans notre société actuelle et sur les réseaux sociaux. -
@ Vergnes
Sachez que je suis impatient de prendre connaissance de cet autoportrait.
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@alinea. Aux dernières nouvelles, pas récentes, il jouait les prisonniers modèles.
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@ kakachinois,
En tant que cas, il te serait plus profitable de te trouver un miroir et de t’y observer attentivement... cependant c’est ballot... tu ne peux pas t’y voir. Comme tu le dis si bien avec beaucoup de mépris (ou de haine ?), « ce benêt de gros public n’y voit que dalle », mais rassure-toi, il apprend... lentement, mais sûrement... il apprend. Et viendra bien le jour où toutes les petites manigances auxquelles s’adonnent les gamins frustrés ne feront plus illusion, c’est inéluctable... autrement cela signerait la fin de l’humanité, mais si tel doit être son destin... ma foi. Qu’il en soit ainsi, cependant, ce ne sont pas des petits haineux encore boutonneux qui réussiront à me faire prendre des vessies pour des lanternes.Ps 1 :Heu... je n’accorde pas plus d’importance aux cons que je ne t’en accorde à toi, mais si ton narcissisme se plait à le croire... moi, ça me fait une belle jambe, alors... il peut bien faire ce qu’il veut.Ps 2 :J’t’ai jamais dit que t’étais con ni même que les cons étaient « castrés » (symboliquement parlant). Par contre, j’ai bien dis que les pervers ne supportaient pas l’expérience de la castration (tu sais bien, le fameux « ciseaux »). -
@Philippe VERGNES
« Surtout pas... un monde sans con me suffirait amplement, mais c’est déjà trop demandé. »Bien sur que c’est trop demandeR, c’est juste impossible vu que c’est un delta.
Sauf si vous osez vous projeter en dehors de la courbe(*) ?
Mais alors etes vous du coté de la fonction négative ?
Ou sur le point 0 de celle ci ?
Non forcément, vous ne friseriez pas que le ridicule en émettant un tel postulat.(*) Le « con » est bien posé sur un point x de la courbe, pour définir son ratio de connerie.
Ou etes vous peut être à l’éxterieur de ce que vous nommez vaguement « monde » ?
Le « suffirait amplement » est déja la projection d’un fantasme que vous savez irréalisable.
Vous etes ici dans la projection irrationnele du croyant, nourri du fol espoir de l’innateignable.
Sauf à etre seul et enfin vous suicider pour eradiquer le dernier, la effectivement....
Mais ce n’est plus un monde... c’est le vide....
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@Philippe VERGNES
« La bêtise, c’est aussi avoir un sens aigu de l’inessentiel » < = > « Quand le sage montre la Lune, l’imbécile regarde le doigt »
Votre réaction à cette citation qui vous visait directement en est une parfaite illustration. En effet, je venais d’énoncer une différence entre la pensée analytique et la votre ; la pensée analytique s’exprime avec précision et rigueur ; votre écriture est approximative et ambiguë. Un esprit sain aurait rebondi sur cette réflexion qui l’accusait directement ; au lieu de cela, vous avez repéré une faute de frappe et en avez fait une montagne, démontrant une fois de plus le vide abyssal de votre réflexion.
J’ajoute ici que la pensée analytique est ambitieuse et tournée vers le haut ; la votre est médiocre, tournée vers le bas : c’est une pensée pour démentaliser, dévaloriser et disqualifier l’autre, démolissant les ressorts de la pensée, qui décourage et tend à démolir la compréhension dans son principe même.
Vous avez dit que le pn veut conformer l’autre à son image ? Comment ne pas faire un lien évident entre votre pensée tournée vers le bas et ce désir de rabaisser l’autre ? Puisque vous ne pouvez pas vous hisser à leur hauteur, vous les broyez ; à ce jeu de cons, vous vous sentez invincible. C’est votre fierté.
Pour dire ce qu’est une chose, il faut savoir ce qu’elle n’est pas. Or ici, sur ce fil, vous venez de dire au sujet des pn tout et le contraire. Vous ne savez donc pas ce que n’est pas un pn, donc vous ne savez pas ce qu’est un pn. CQFD. Comme d’habitude, vous n’avez pas parlé des pn mais de vous.Ceci dit, et c’est nouveau, vous avez dit ici des pn qu’ils se suicident parfois, et font souvent des TS. Auriez vous fait des TS ? Seriez vous bipolaire ?
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@ Vergnes
Vous avez autrefois révélé n’avoir jamais fait de psychanalyse. Je vous le rappelle encore mais sur le plan éthique et sur celui de la déontologie, c’est une faute majeure qui, seule, suffit à vous discréditer. Et vous ne manquez pas d’aplomb à enjoindre à l’Autre de se regarder dans le miroir, vous qui avez manifestement peur de regarder votre propre nudité dans la glaceet cela parce que vous la devinez intuitivement.
Bon, les règles, les morales communes, etc..., ça passe un peu au-dessus de la casquette de celui qui qui se vit de façon rigolote comme Dieu planant au-dessus de la foule des automates.
Bonne journée, Philippe.
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@ JL,
Passons sur l’inessentiel de votre message qui n’est que du bruit et simple projection délirante d’un imposteur en manque de perfusion narcissique (c’est à ça que sert aussi Internet) qui peut se vanter sans vergogne d’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres (et des sujets) qu’il n’a jamais lues : ce qui est la plus parfaite définition de l’imposture.« ... au lieu de cela, vous avez repéré une faute de frappe et en avez fait une montagne, démontrant une fois de plus le vide abyssal de votre réflexion. »Heu... non !Celui qui fait des chinoiseries pour les fautes d’orthographes, faute de frappe, etc., en privilégiant constamment la forme sur le fond (critère de l’imposteur), c’est VOUS ! Et avec une constance affligeante.La faute de frappe repérée, n’a été relevée QUE parce que dans le même message vous pouviez écrire, je cite : « La différence entre un scientifique et un charlot, c’est que, en cas de doute, le scientifique se relit et s’il y a lieu, précise sa pensée. Le charlot monte tout de suite sur ses grands chevaux. »Puis dans la phrase d’après, je cite encore tel quel : « L’imposteur, en ^mus,... »Diantre ! Vous ne vous relisez donc pas ? C’est donc que selon vos propres critères : VOUS ÊTES UN CHARLOT !Ainsi, vous auriez voulu nous avouez votre vice que vous ne vous y seriez pas mieux pris. Ce qu’il y a de marrant avec les gens tels que vous, c’est que votre inconscient parle pour vous. Et c’est cela qui est véritablement sans fin tant de telles contradictions sont présentes dans une multitude de vos interventions sur ce site. S’il fallait les relever toutes, un livre entier n’y suffirait pas !Ps 1 :La citation mensongère de Socrate... mouarfff ! J’en peux plus... vos sabots sont si gros qu’on peut voir la « merde » que vous soulevez avant même que vous ne leviez le pied pour commencer à marcher. Le pire, c’est que ça fonctionne bien : on peut pas dire que vous n’avez pas de clientèle... comme quoi, votre business a encore de belles heures à vivre. Il n’y a donc pas lieu de vous stresser pour si peu.Ps 2 :Allez, comme on est entre amis et que vous n’êtes pas à une contradiction près, une petite dernière pour la forme.JL 16 mars 20:41 : « La psychologie des profondeurs n’a pas sa place sur un site citoyen, il y a trop de trolls et de cinglés. » Ainsi parla celui qui peut afficher dans son profil d’auteur Agoravox la définition de la psychologie des profondeurs du concept de Liaison/déliason. (Encore faudrait-il préciser de quelle psychologie des profondeurs nous parlons, parce qu’avec la vôtre... inutile d’essayer d’en sonder le fond : il est abyssal. Totalement à l’image du vide qui vous habite.) !Si ça c’est pas dire une chose tout en faisant le contraire... je veux bien être pendu en place publique, mais en attendant... qu’est-ce qu’on se marre avec vous ! -
@ Kakachinois,« Bonne journée, Philippe. »Merci ! A toi aussi.Pour le reste, j’ai pas compris... j’ai toujours cru que tu ne faisais que parler de toi. Tu m’expliqueras ça lorsque nous nous verrons autour d’un bon café. Par contre, j’aimerais bien te rendre toute l’attention pleine de délicatesse que tu as eu à mon encontre en m’appelant par mon prénom, mais j’ignore le tien. (Kakachinois, ça fait un peu éculé comme concept, même si cela répond bien au style de tes interventions à mon encontre.) -
i@velosolex
Oui, surdoué était de trop, mais un mec très brillant ; j’en connais un peu les dessous parce que j’ai un cousin toubib qui le connaissait bien, était le parrain de sa fille, et n’avait rien vu ; tout ce qu’il disait concernant la médecine prouvait qu’il en connaissait un rayon ; après côté empathie... je ne sais pas ! en tout cas,quelle solitude pour ce mec... à sa place, j’aurais disparu de la circulation...quand on pense qu’au fond, c’était juste pour le fric, la reconnaissance sociale !!!
J’aimerais bien connaître l’histoire, le traumatisme, le complexe de toutes ces personnalités.
Je connais tout cela du « mien », j’ai fouillé, j’ai écouté, et je ne peux pas voir le mal absolu, je dirais presque : le contraire !
J’ai envie d’écrire ma vision des faits, ce qui n’est jamais dit derrière la froideur des termes idoines et « scientifiques », et surtout, en réponse à Philippe Vergnes, que je ne crois pas du tout qu’il faille y voir le mal absolu pour s’en sortir ; pour s’en sortir il faut se connaître mieux, et comprendre pourquoi on a tenu la bagarre si longtemps, jusqu’à la défaite totale. -
@Philippe VERGNES
le concept de « déliaison » n’est pas relatif à la seule psychologie des profondeurs : Je l’ai appris en cherchant à comprendre la définition que Racamier donne de la pensée perverse ; chose que vous n’avez pas faite : faut-il vous rappeler que vous avez toujours soutenu que ce mot désignait le fait de vouloir rompre des liens interpersonnels ? Ce faisant, vous étiez encore dans la déliaison, puisque dans le déni du principe de réalité : je parle du vrai sens de ce mot.
Et je vois un lien entre cette croyance erronée sur le sens de ce mot et le fait que vous disiez à alinea ici, que les pervers narcissiques font des TS et se suicident parfois. Je vois dans l’association de ces deux croyances une continuité certaine : vous vous seriez trompé dans vos diagnostics en accusant de perversion narcissique les victimes de pn qui voulaient quitter leur tortionnaire ; puis quand ces victimes auraient fait des TS, au lieu de revoir votre jugement, vous en auriez inféré que les pn font des TS. C’est aussi simple que cela pour vous !
A la façon dont vous parlez de ces choses en général, je ne serais pas surpris que vous vous soyez rendu coupable d’exercice illégal de la médecine.
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@ alinea,
« ... en réponse à Philippe Vergnes, que je ne crois pas du tout qu’il faille y voir le mal absolu pour s’en sortir. »Lorsque je dis cela, j’énonce des généralités pour lesquelles il y a toujours des exceptions. Cela va de soi.Je que j’ai énoncé sur les victimes de p.n. concernant « la figure du mal absolu » n’entre pas en contradiction avec ce que vous précisez : pour s’en sortir, il faut bien sûr se connaître mieux, et comprendre pourquoi on a tenu la bagarre si longtemps, etc. Mais il faut également en avoir la force et ce que j’ai observé, c’est que cette force là provenait de la prise de conscience chez la victime d’être face à un problème monumental pour lequel il va tout de même falloir s’atteler à la tâche.En disant cela, je me situe à la place d’une victime qui se trouve dans l’état totalement décervelé d’une personne ayant subit un meurtre d’âme, parfois durant des années, et qui cherche l’énergie nécessaire à se sortir de ce merdier. C’est à ce moment-là que la « figure du mal absolu » a une certaine utilité. CE QUI NE SIGNIFIE PAS QUE CETTE PHASE DOIT PERDURER !Tout au contraire. Le but étant d’amener une telle victime a s’interroger sur elle-même, mais seulement après avoir passé le cap de la sortie d’emprise. Cela est très précisément expliqué en psychotraumatologie par exemple. Or, cette phase préalable est éludée la plupart du temps, alors que c’est elle qui va conditionner la réussite du processus de résilience.Ici encore, il est question de processus, de phases et d’étapes à ne pas brûler sous peine d’échec. C’est très précisément la question pour laquelle la psychanalyse (orthodoxe), qui saute cette étape, connait beaucoup d’échecs et est totalement inefficace pour les victimes encore sous emprise. (Mais le problème est de plus en plus pris en compte par cette discipline de par l’impact médiatique qu’on certaines affaires comme celle de Cantat par exemple).Toutefois, il est à noter que bien souvent, cette première phase perdure. C’est là où justement il est important d’analyser cette problématique en tant que processus, car c’est bien lorsque il y a une « fixation » à cette figure du mal absolu qu’il y a également de possibles dérives perverses que l’on observe même chez certaines victimes qui ne réussissent pas à franchir ce cap. -
@ JL,
Délire d’interprétation et injection projective dans toute leur puissance.« Le concept de « déliaison » n’est pas relatif à la seule psychologie des profondeurs : Je l’ai appris en cherchant à comprendre la définition que Racamier donne de la pensée perverse ; chose que vous n’avez pas faite : faut-il vous rappeler que vous avez toujours soutenu que ce mot désignait le fait de vouloir rompre des liens interpersonnels ? Ce faisant, vous étiez encore dans la déliaison, puisque dans le déni du principe de réalité : je parle du vrai sens de ce mot. »La définition que Racamier donne de la pensée perverse, ben... c’est celle que Racamier donne dans son livre qui reprend tous les concepts qu’il a établi autour de sa théorie, ET NULLE AUTRE. J’ai recopié cette définition avec exactitude sous de précédents échanges. Définition que vous avez combattu, car elle allait à l’encontre de votre interprétation. Interprétation d’autant plus délirante qu’elle pervertit le sens que vous donnez à la pensée perverse et en inverse totalement les valeurs. Ainsi, votre définition parle pour vous : en inversant les valeurs de cette définition vous pouvez faire passer les pervers pour des victimes et les victimes pour des pervers : soit très précisément ce que vous me reprochez projectivement.La définition de la pensée perverse est ICI !Votre avez « glosé » cette définition à diverses reprises en la qualifiant d’absurde... vos divers commentaires (pervers = inverse) sur cette définition sont ICI !Ce qui est totalement absurde, c’est de pouvoir soutenir que Racamier ait pu donner une définition de la pensée perverse relative à la perversion narcissique dans sa propre théorie, tout en reprenant le concept, en le pervertissant pour enfin lui attribuer un sens dont vous seul avait la maîtrise à l’encontre même de Racamier, l’auteur de la théorie de la perversion narcissique et du concept de pensée perverse que l’on ne retrouve que chez lui.Seul un « fou » peut se croire capable d’une telle prouesse. On en comprend l’utilité qui est celle de réassigner les victimes en pervers et les pervers en victimes.Moralité : vous ne comprenez strictement rien de la pensée de Racamier, de son oeuvre et de ses concepts, mais vous pouvez déclarez en vous victimisant, comme vous avez l’habitude de le faire lorsque l’on vous mets le nez dans vos excréments, que, je cite : « ... je peux dire sans modestie, que je lui [Philippe VERGNES] ai appris à lire Racamier et bien d’autres choses encore... »Pauvre « fou » ! Et tout ça sans jamais avoir ouvert un livre de Racamier. (Le « petit » Racamier, comme vous le nommez n’est pas un de ses livres, mais seulement la réédition de deux chapitres de l’un de ses livres.)J’ai vraiment peine pour vous. -
@ Bonjour Self con troll,
Si je puis me permettre de rebondir sur votre post sans toutefois répondre à la place d’alinea à la question que vous luis posez : « En préambule, je revendique mon hostilité à la psychanalyse quand elle se veut cartographie des personnalités, selon le principe que notre individualité, que nous devons explorer et construire, n’est pas un point sur une carte. »C’est, en d’autres termes, le sens de mon propos lorsque j’ai répondu à alinea et à Kent ci-dessus en parlant de processus plutôt que de diagnostic « catégoriel ». Sauf que je n’ai pour ma part aucune « hostilité » sachant pertinemment que les progrès, quel que soit le domaine abordé, sont toujours lents et parfois douloureux à « accoucher ». Concernant la psychanalyse orthodoxe, ils sont plus que douloureux puisque qu’une frange « dure » de ses représentants sont totalement sectaires. Mais la psychanalyse orthodoxe ou traditionnelle, n’est pas l’Alpha et l’Oméga des sciences humaines. Loin s’en faut. Et pour bien comprendre les différences entre psychanalyse orthodoxe et psychanalyse moderne, il faut en connaître l’histoire intime. Ce qui sera le thème de mon prochain article. -
@Self con troll
Je pense oui ; ce que j’ai noté, c’est que mon « pervers » ne faisait bien les choses, avec plaisir, que lorsqu’il avait du public ; il n’était pas question de harcèlement là, mais se montrer sous son meilleur jour, brillance que lui renvoyaient ceux qui le regardaient ! et cela suffisait à le rendre heureux ! -
@JC_Lavau
merci ! je me contenterai de ce fait, quant à ce qu’il cache... ! -
@ Vergnes
Ah bon, vous êtes du genre, vous, à voir foi dans un individu qui n’est pas médecin mais se prend pour le gardien de la Médecine ? Qui ne veut surtout pas de ses remèdes pour lui-même mais les préconise pour tous ?
L’emprise de pareil camelot ne saurait tenir que sur l’illusion. Il est vide, en fait, sa personnalité n’est qu’un château de cartes qu’il échafaude en logeant comme un coucou dans la personnalité d’un autre, avérée, dont on ne saurait remettre l’autorité naturelle et établie en cause, un savant réputé, par exemple. En adoptant une langue morte, faite pour tromper, ce qui est visible quand on compare ses écrits et sa conduite au naturel ; on devine là l’effort consenti pour paraître sérieux et digne et dissimuler celui qu’on est en vrai, volontiers vulgaire, ordurier et intellectuellement limité.
Bref, tout ça pour dire que le pn n’est un problème parce qu’il n’a que l’existence qu’on lui prête. Suffit-il de fracasser l’illusion et son sort est réglé.
C’est toujours sympa de lire ce que vous dites au sujet de JCR, Philippe. Comme souvent, on en sort édifié, même si c’est malheureux pour vous que vous ne trouviez qu’un public clarsemé à votre mesure.
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@ kakachinois,
Je ne suis du genre à avoir foi que dans les faits. Tout bonnement !Qui s’est JCR ? Vos initiales ? Un joueur de foot ou autre ?Après, si ce n’est que je ne vois pas où vous voulez en venir tant vos interprétations sont alambiquées, ce qui est une source majeure d’illusion pour un esprit imaginatif, je vous ferais simplement remarqué que le coucou de l’histoire, c’est toujours celui qui va pondre ses œufs dans le nids des autres. C’est ainsi que je ne me suis jamais permis de commenter vos interventions et encore moins de vous imposer mon opinion... par contre, je vous ai mis le nez dans vos excrets, et ça devait sentir mauvais, en refusant que vous m’imposiez les vôtres. A la vue de vos réactions, j’ai sûrement touché une corde sensible, la castration, les pervers n’ont jamais apprécié (enfin, c’est du moins ce qu’en dit la psychanalyse, mais cela semble être bel et bien confirmé).Voilà les faits ! -
@Philippe VERGNES
Vous mentez honteusement comme chacun peut le voir dans le lien que vous donnez vous-même, ; je n’ai jamais contesté la définition que Racamier donne de la pensée perverse, mais seulement votre définition du concept de déliaison que vous assimilez à une rupture des liens interpersonnels.
Mais une fois de plus, ce n’est pas un pb pour vous : ce n’est qu’une diversion de plus. En somme, vous me singez en retournant à l’envers tout ce que je dis, comme la pensée pervers e qui est l’envers de la pensée analytique : c’est votre façon de « conformer l’autre en identique », et bien malins les lecteurs qui sauront qui est qui s’il ne lisent pas l’enchainement des posts, isolément lus dans le fil de tous les commentaires du site , tous articles confondus.Chacun de vos posts est construit dans ce seul but : faire en sorte que, lu indépendamment de ceux qui l’ont suscité, il se suffise à lui-même et donne le change : faire fi des précédents et vous donner le beau rôle. C’est typiquement une pensée pour ne pas penser, donc sans fin
Vous êtes une caricature de la pensée perverse à un point que je n’aurais jamais soupçonné. Un chercheur ferait une expérience consistant à recueillir les jugements de l’homme ordinaire sur un tel comportement qu’il ne devrait pas s’y prendre autrement. -
@ JL,
Ben oui... toute la force de vos dénis est illustré dans ce commentaire que je donne en lien. Dans cette intervention, vous pouvez dire, je cite : « Mensonge : je n’ai jamais contesté la définition par Racamier de la pensée perverse,... »... et sur la définition de la pensée perverse communiquée par Racamier lui-même que je donne ICI (PV 1er mars 14:36), écrire ensuite... dans le même commentaire : « Dire de la pensée perverse que, je cite : »elle ne vise qu’à rompre les liens entre les personnes et les pensée« est une absurdité dont j’ignore si elle est de Racamier lui-même ou de votre fait, étant donné que cette définition figurerait dans un ouvrage introuvable, et je ne veux même pas le savoir tant je la trouve absurde. Définition absurde en effet, voyons de plus près ce que pourrait signifier cette expression : « rupture des liens entre les personnes et les pensées » :... »Ainsi vous pouvez dire tout et le contraire de tout dans le même message tout en niant farouchement ne pas l’avoir dit... et cette attitude toute en paradoxe est une constante chez vous. D’où la réussite de vos dénis et... de votre perversion langagière (critère caractéristique essentiel d’identification de la perversité - perversion - narcissique).En conséquence de quoi, sur la foi de vos propres délires d’interprétations, autre constante chez vous, vous projetez chez autrui vos propres lacunes et vices que vous ne pouvez supporter voir chez vous.Ce ne sont là que des éléments FACTUELS. Domaine inaccessible à un imposteur illusionniste qui peut se vanter d’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres qu’il n’a jamais lues.CQFD ! -
@Philippe VERGNES
ne mélangez pas la forme et le fond et ne nous occupons pas de l’inessentiel genre ’’ il a dit ci, j’ai dit ça, gnagnagna’’. Restons en au factuel et au cœur de la question.
Les pervers quels qu’ils soient, ne défont pas sciemment les relations interpersonnelles, voyons, puisque leur but est au contraire, d’établir et conserver des relations d’emprise. « Conformer l’autre à l’identique » comme vous l’avez dit vous-même, c’est bien établir une relation interpersonnelle, non ? Ceux qui instituent des relations d’emprises, pourquoi voudraient-il les rompre ? C’est absurde. Ce sont les victimes qui veulent rompre ces relations malsaines. Rompre des liens est souvent salutaire.
Je concède que viser à défaire les liens entre des tiers relève d’une certaine perversion, mais ce n’est pas l’apanage des pervers narcissiques. Si les PN sont tous peu ou prou intrigants, les intrigants ne sont pas tous des PN, loin s’en faut. En conséquence, le fait de briser des liens ne saurait en aucun cas caractériser la pensée perverse : ne mélangez pas la pensée perverse avec les agirs pervers.
Avec des idées pareilles on pendrait les victimes ! Vous auriez fait un redoutable inquisiteur. -
@ JL,
Je ne mélange strictement rien... par contre vous, vous vous complaisez en permanence dans le confusionnisme le plus total.Votre développement n’est pas factuel, il est purement théorique... et théorie sauce JL qui pastiche toutes les toiles de maîtres avec ses crayons de couleurs.La pensée perverse est un concept de Racamier. Ce n’est pas mon concept et encore moins le votre vue que vous trouvez la définition qu’en donne Racamier absurde. Idem pour la notion de perversion narcissique et de pervers narcissique pour laquelle vous n’y comprenez strictement rien à un point si affligent que vous inversez le sens des mots des définitions de Racamier en faisant passer les victimes de p.n. pour perverses et les pervers pour des victimes... et sur la foi de cette inversion (perversion), vous projetez ensuite ce retournement sur autrui. Telle est votre principale technique pour semer la confusion depuis 6 ans que nous échangeons sur ce sujet.Les faits, ce n’est pas la théorie. Les faits vous concernant se résume en une seule phrase : vous vous vantez d’avoir des compétences que vous n’avez jamais eues sur des œuvres que vous n’avez jamais lues. Faits qui attestent de votre imposture.Je vous ai répété cette phrase des dizaines et des dizaines de fois, pas une seule vous ne m’avez traité de menteur à ce propos. Forcément, vous savez fort bien que les écrits restent et que j’ai les preuves formelles et factuelles de vos vantardises... et donc de votre imposture. Imposture que vous n’avez de cesse de dénier en manipulant des citations de Racamier, en inventant des citations que vous imputer à Freud pour asseoir par des arguments d’autorité vos manipulations, en prétendant que Freud à étudier la perversion narcissique alors que ce concept est né en 1978 sous la plume de Racamier, etc. j’en passe des vertes et des pas mûres.Bref, vous n’avez reculé devant aucune forfaiture, aucune malversation, aucune manipulation pour dissimuler ce fait évident : vous êtes un imposteur qui prend ce site et ses intervenants pour une décharge de ses propres excrets et qui en attend le bénéfice narcissique que tout bon manipulateur pervers attend normalement de ses proies (qui sur Internet sont nombreuses).Très honnêtement, il vaut mieux ça que de s’en prendre à vos proches si vous avez encore de la famille autour de vous qui peut encore supporter votre paranoïa, car dans cette affaire, ce sont finalement eux les plus à plaindre. Une telle paranoïa de combat laisse des marques indéfectibles chez ses victimes. Quant à vous, c’est bien dommage, mais votre cas est inamendable.Ps :La pensée perverse se caractérise par :- la manipulation d’autrui (exactement ce que vous faites avec vos fraudes sur les citations d’auteurs et la réassignassions du sens des mots à votre propre sauce à l’encontre des auteurs de ces citations )
- l’emprise narcissique (difficile à définir pour le profane, mais c’est bien l’objet de l’utilisation que vous faites de ce forum)
- la prédation (l’exemple que donne Racamier est celui du coucou qui va pondre ses œufs dans le nid des autres : là encore, tout à fait ce que vous faites en critiquant des œuvres que vous n’avez jamais lues, et donc encore moins comprise)
- prompte à la persécution (il suffit que j’apparaisse sous un article pour que vous vous précipitiez pour venir régler vos comptes, normal, un pervers ne supporte pas la castration)
- foncièrement disqualifiante (ça, c’est tout vous, il n’y a pas un seul des milliers de messages que vous avez postés sous mes articles qui ne soit pas disqualifiant)
- elle ne vise qu’à rompre les liens entre les personnes et les pensées (le sens de la déliaison dans la définition de la pensée perverse qui n’est surtout pas celui que vous lui assignez : votre spécialité d’Humpty Dumpty patenté)
Voilà qu’elles sont très précisément les caractéristiques de la pensée perverse telles que Racamier a pu les définir. A leur lecture, on comprendra très bien que vous combattiez cette définition de Racamier qui stygmatise tous les vices dont vous faîtes preuve sur ce site étant dans l’incapacité d’un échange collaboratif avec une personne qui dévoile vos impostures.Dernier point, la pensée pervers n’a aucun souci de vérité, seul le résultat compte. Là encore, cela caractérise parfaitement votre attitude lorsque vous citez des auteurs en pervertissant leur citation ou bien lorsque vous utilisez vos arguments circulaires qui s’auto-valident par des affirmations péremptoires redondantes. -
@ Vergnes
Parlons incestuel, voulez-vous.
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2004-03-11/un-amour-devastateur/920/0/117196
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@ kalachnikov,
Tu ne me donnes plus du « Philippe ». J’aimais pourtant bien, ça me donnait l’impression que nous étions intime toi et moi.Tu peux me parler de ce que tu veux... à la seule condition que tu ne cherches pas m’imposer ton opinion comme tu as su si bien le faire dans nos précédents échanges. Mais comme tu m’as pris la tête grave sur le sujet de la psychanalyse et de l’inceste, précise-moi clairement, d’une, ce que toi, tu entends et comprends de « l’incestuel », et de deux, où as-tu pu en apprendre la définition ?C’est le minimum vital pour n’importe quel échange : s’entendre sur la définition des mots et des concepts mis en discussion. -
@Philippe VERGNES
vous me dites ici que, selon vous je me vanterais d’avoir des compétences que je n’aurais jamais eues sur des œuvres que je n’aurais jamais lues et que ces faits attesteraient de mon imposture.
Vous affabulez : contrairement à vous, je ne me suis jamais vanté d’avoir des compétences que je n’avais pas ; c’est vous l’autoritarien, pas moi ; je vous rappelle que l’apanage de l’autoritarien ce sont aussi les attaques ad honinem et ad personam, ce dont vous usez et abusez comme un ivrogne de son alcool favori.
Vous me dites ici que vous m’avez répété « ça » des dizaines et des dizaines de fois en 6 ans ; que pas une seule fois je ne vous aurais traité de menteur à ce propos.
A ce propos deux choses : 1 : un mensonge répété cent fois ne fait pas une vérité ; 2 : cette répétition avouée démontre que, contrairement à moi, vous n’avancez pas. Vous êtes comme une moule accrochée à vos certitudes.
Si je ne vous ai pas traité de menteur, j’ai fait beaucoup mieux : j’ai à chaque fois établi et démonté vos mensonges.
Ceci dit, contrairement à ce que vous affirmez mensongèrement ici, non seulement je ne combats pas la définition de la pensée perverse par Racamier, mais je pense que c’est la chose principale dans son œuvre consacrée à l’étude de la perversion narcissique. C’est une définition que j’ai pu vérifier maintes fois en observant vos agirs.
Enfin, pour ce qui concerner la définition que vous contestez du concept de « déliaison », vous avez vous-même dit que Racamier n’aurait même pas utilisé ce mot. Vous avez donc tort sur ce point. Et pour ce qui concerne la « rupture des liens », vous lisez Racamier comme un intégriste lit son le Coran. Je me méfie des « hommes d’un seul livre ». D’ailleurs, Racamier était-il au clair sur ce point ? Était -il comme vous, dénué d’expérience d’analysant ?
Nb. La déliaison la vraie, celle des dictionnaires de la psychanalyse est, et c’est moi qui précise, un « déni de principe de réalité » : Le rêve, l’hallucination, le délire, la perversion ne tiennent aucun compte du principe de réalité, lequel principe est un appel à des énergie (liées) qui sont en cas de déni, économisées au profit du seul principe de plaisir.
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@ Vergnes
J’entends la question de l’inceste dans un sens très large, au-delà du simple génital. Toute société organisée repose sur la gestion, canalisation, orientation de la sexualité. Cela donne une société qui est régie implicitement par ce qui est permis, ce qui est défendu (inceste = littéralement ce qui n’est pas chaste). Prenons un exemple concret : ’tu ne dors pas dans la chambre de ta soeur’. On ne dit jamais à l’enfant ’tu ne dois pas coucher avec ta soeur’ ; on lui donne des raisons périphériques genre ’elle est plus vieille’ (= inceste de la classe d’âge), ’c’est une fille, tu es un garçon’ (distinction des genres et leur singularisation) ou on ne lui dit rien du tout, c’est une défense simple, injustifiée. Et bref, tout ceci fait que le comportement social de l’individu est régi sans m^me s’en rendre compte par des codes inconscients (qu’il ne théorise pas) mais qui n’ont rien de naturels (ils varient en fonction des cultures = des incestes admis, et sont propagés par la Société donnée).
Et bref, j’appelle climat incestuel un milieu où l’inceste au sens sexuel n’est bien sûr pas forcément pratiqué mais où tout ce qui le fonde est battu en brèche, nié, tourné en dérision contre le sens commun qui rend en fait possible une société qui serait autre qu’un simple agrégat d’individus en présence parce qu’on ne peut faire autrement.Je vous ai donné cet article parce qu’on peut déterminer dans quelle ambiance s’est déroulé ce qu’on appelle le drame de Vilnius et qu’il est loisible de déterminer le rapport psychologique des différentes personnes en présence à cette ambiance.
Et bref, je vous demande un avis personnel franc sur ce point : que pensez-vous de cette ambiance ? Du rapport de la mafia Trintignant à cette ambiance ? Du rapport de Marie Trintignant à cette ambiance ? Du rapport de Bertrand Cantat à cette ambiance ? -
@ JL,
JL ou le délire d’interprétation (que l’on pourrait aussi appeler délire d’imposture ou d’imposteur) dans toute sa puissance d’évocation.Je ne fais que vous mettre le nez dans vos propres excrets et je ne me comporte ici envers vous cas l’EXACT IMAGE des comportements que vous vous êtes permis ici même d’adopter envers moi. Et l’expérience est plus que concluante.Un seul fait, un seul qui prouve à lui seul toute votre manie-hystérico-perverse : ce n’est jamais moi qui viens pondre mon œuf dans votre nid, ce n’est jamais moi qui vous harcèle sans cesse en vous relançant à chacune de vos apparitions.Ainsi, je ne vous traite uniquement qu’eu égard au traitement que vous me réservez et il est assez facile de constater à quel point cela vous est intolérable, d’où l’adage pervers qui a force de loi chez vous : « faite du mal à autrui avant qu’il ne t’en fasse ».« Vous affabulez : contrairement à vous, je ne me suis jamais vanté d’avoir des compétences que je n’avais pas... »C’est très simple : pouvez-vous jurer ici même n’avoir jamais écrit ou insinué (car chez vous tout n’est qu’insinuation) que vous aviez lu tout Racamier alors même que vous n’aviez jamais ouvert un seul de ces livres ?On vous écoute, ma réponse sera cinglante. Confusionniste un jour, confusionniste toujours !Affabuler, cela veut dire « arranger la réalité à sa manière », donc, si j’affabule : où est-ce que je contesterais la définition du concept de déliaison ? Donner des liens qui attestent de faits et non pas de vos élucubrations de délirant pervers qui travestissent la réalité des faits et des actes de paroles ? Ce que je dis et que j’ai toujours maintenu, preuve à l’appui de la définition que donne Racamier de la pensée perverse, c’est que le concept de déliaison de Freud que vous citez n’a quasiment rien à voir avec l’emploi du terme « déliaison » qu’en fait Racamier lorsqu’il parle de pensée perverse dans son oeuvre. La déliaison dans le concept de pensée perverse de Racamier concerne, je cite texto sa définition : « la rupture des liens entre les personnes et les pensées ». C’est pourtant simple à comprendre, mais pas pour vous, manifestement. Et c’est très exactement cela que vous avez combattu en réassignant à cette réalité clinique (rupture des liens entre personnes et pensées = déliaison) selon un sens de votre propre crue qui MYSTIFIE totalement le concept de pensée perverse.En foi de quoi et sur la base de cette mystification digne des plus grands imposteurs, vous pouvez ensuite écrire : « C’est une définition que j’ai pu vérifier maintes fois en observant vos agirs. »Mais ce que vous observez de mes agirs sur la base de VOTRE définition PERVERTIE (inverse) de la pensée perverse n’est en fait que le reflet de vos PROPRES agirs. Un truc qu’il vous est impossible de comprendre tant vous avez l’esprit tordu. Les enfants normalement constitués comprennent cela très tôt : vous NON !Je répète donc, pour les sourds et les malentendants : il n’y a de VRAIE définition de la déliaison que dans le contexte de son énonciation étant entendu que la plupart des mots sont polysémiques et que cette polysémie doit être éludée au regard du contexte. Or, le contexte de la définition psychanalytique du terme de déliaison, n’est pas celui de ce terme tel qu’il est utilisé par Racamier dans sa définition de la pensée perverse. C’est aussi simple que ça, mais encore une fois trop complexe pour celui qui mélange tout, baigne dans le confusionnisme le plus total et projette ensuite cette confusion chez autrui en étant incapable de la gérer lui-même. C’est là la définition exacte de la perversion narcissique (la définition de la pensée perverse que vous mystifiez ne vous sert qu’à justifier vos délires d’interprétation et vos persécutions). -
@Philippe VERGNES
ah votre post est encore un post de diversion, pour avoir le dernier mot.
Vous dites : ’C’est très simple : pouvez-vous jurer ici même n’avoir jamais écrit ou insinué (car chez vous tout n’est qu’insinuation) que vous aviez lu tout Racamier alors même que vous n’aviez jamais ouvert un seul de ces livres ?’’
Et je réponds : encore plus simple , donnez donc le lien du post où j’aurais insinué une telle chose, que l’on puisse juger de la qualité de votre sens de l’insinuation !
Pfff ! Mdr ! -
@ kalachnikov,
Bon, vu que ne m’as pas fait de chinoiserie et que tu abordes le sujet sérieusement, je consens à ne plus t’appeler « kakachinois », mais tu ne m’as pas dit d’où tu tires cette définition de l’incestuel et quelles sont les lectures qui t’y ont conduit ?Je reviendrais plus tard pour te répondre franchement (ce qui est une de mes qualités premières dans la vie et qui peut être un sérieux inconvénient face à de véritables pervers, au sens clinique et non péjoratif du terme).Pour l’heure, plutôt d’accord avec tes deux premiers paragraphes, mais il faudra encore quelques échanges pour accorder nos violents sur ces notions d’inceste et d’incestuel. C’est important pour ne pas dire n’importe quoi.Ps 1 :Si tu souhaites parler sérieusement... tu seras toujours le bienvenu chez moi... à la condition expresse que tu ne cherches pas à m’imposer un quelconque avis ou une quelconque opinion sur un quelconque sujet. Je conçois parfaitement que l’on puisse avoir des désaccords sur une multitude de thèmes, mais je conchie tous les doctrinaires qui cherchent à s’imposer par n’importe quel moyen... en les mettant face à leur propre excrets, ce qu’ils ne supportent jamais, cela va s’en dire. -
@ Vergnes
Je la tire de moi, de mon expérience, de mes lectures. Je n’ai pas lu Racamier, de toute façon. J’ai des connaissances sur la notion d’inceste, en particulier à travers l’ethnologie. Ce qui m’intéresse, en fait, c’est l’organisation d’une société, quelle qu’elle soit, et l’interaction entre culture et nature chez l’individu.
Bon, cela étant, je n’ai pas envie de parler de mon cas ou du vôtre, ou de notre rapport mutuel mais de Vilnius sous l’angle des connaissances dont vous vous présentez comme spécialiste. depuis des données objectives plutôt que des croyances s’élevant sur l’émotionnel.
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@ kalachnikov,
Cette explication me suffit,Je plussoie et adhère totalement à votre commentaire ci-dessus.« Ce qui m’intéresse, en fait, c’est l’organisation d’une société, quelle qu’elle soit, et l’interaction entre culture et nature chez l’individu. »C’est très exactement le domaine de recherche pour lequel j’ai intégré dernièrement un groupe « théorico-clinique » animé par le Dr J.-P Caillot (successeur de P.-C. Racamier et co-fondateur avec lui du CPGF) autour de cette problématique. Je l’aborderais également dans mon prochain article qui sera proposé à la modération début avril.Si cela vous intéresse d’en débattre dans le respect des opinions de chacun, je ne vois strictement aucun inconvénient à ce que vous y interveniez si le cœur vous en dit.Les jeux de pouvoir ne m’intéressent que pour mieux les comprendre et les dénoncer. Et c’est la seule raison pour laquelle je m’y exerce parfois. Autrement, si ce n’était cela, il y a bien longtemps que j’aurais fermé mon compte sur ce site où ces jeux de pouvoir sont légion (parfois « rigolos », mais le plus souvent chiant en fait).Pour le reste, je n’en ai cure, seule m’intéresse la richesse de la pensée, fut-elle d’apporter la contradiction, à la condition expresse de rester dans le respect des opinions de chacun, aux idées proposées, etc. Une richesse que ceux qui se permettent de décocher des jugements à l’emporte-pièce en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (ou l’écrire) sont incapables de comprendre (ou d’apporter). De tels contradicteurs qui pour convaincre utilisent tous les stratagèmes des jeux de pouvoir m’ennuient plus qu’autre chose (d’où le fait que je me montre « odieux » avec eux). Quelqu’un qui sait argumenter ses positions sans chercher à faire changer d’avis son interlocuteur et sans réduire son argumentation à des jeux de pouvoir m’intéresse au plus haut point. C’est très simple à comprendre.Des arguments, pour le peu que j’ai pu lire de vous, il me semble que vous n’en manquez pas, il est donc inutile d’y inclure des jeux de pouvoir puérils et stupides qui de toute manière porteront préjudice à vos démonstrations.Voilà ma conception du débat et si vous y adhérez, ça ne me gène absolument pas que vous me fassiez part de vos opinions fussent-elles en contradiction avec les miennes.Ps 1 :Je ne me suis jamais présenté comme spécialiste d’un quelconque sujet, dans la mesure où la seule prétention que j’ai toujours affichée, c’est celle d’écrire des articles de vulgarisation sur les théories de Racamier qui ont le mérite d’être connues, au delà de la « vulgarisation » outrancière qu’en font actuellement les journaux « mainstreams ». Ne faites pas la même confusion que les imposteurs pervers qui ont besoin d’idéaliser quelqu’un, y compris même leur « ennemi » pour mieux le critiquer par la suite afin de rehausser l’image défaillante qu’ils ont d’eux-mêmes. C’est le principe de base des individus « pleins de vide » (qu’il faut donc continuellement remplir, d’où les histoires qui n’en finissent jamais avec eux). Je n’y peux strictement rien si mes articles de vulgarisation passent pour être « expert » aux yeux de certains. Mon seul souci, c’est d’être précis et de ne surtout pas dévoyer les concepts que j’emploie en ne sortant pas les propos de leur contexte, en ne dissociant surtout pas la forme du fond, . Soit très exactement l’inverse, de l’attitude d’un imposteur.Ps 2 :Il y a des indices probants d’incestuel (incestualité) chez les deux familles du couple Cantat-Trintignant qui peuvent « expliquer » ce qui s’est joué sur le théâtre de l’inconscient dans le passage à l’acte de B. Cantat à Vilnius. -
@Philippe VERGNES
à 12:19, vous dites : ’’ le contexte de la définition psychanalytique du terme de déliaison, n’est pas celui de ce terme tel qu’il est utilisé par Racamier dans sa définition de la pensée perverse.’’
Racamier n’a jamais utilisé le mot déliaison, vous l’avez dit vous même : une fois de plus vous affabulez.
C’est pitoyable ! -
@ Vergnes
Cette affaire est justement un cas d’école, comment un fait divers devenant national empoisonne durablement une société. Rien que ça devrait interpeller : qu’on ne puisse parler de la chose sans finir par s’écharper. C’est qu’il y a inconsciemment quelque chose qui est en travail dans le collectif.
Il me semble que la façon correcte d’envisager ce drame de Vilnius, c’est la rivalité entre NT et Bc, avec pour enjeu la poupée de chiffon Mt. Ce point me semble intéressant : le fait que Mt avait résolu de ne plus jamais travailler avec sa mère après ce tournage (une rupture définitive, donc) et ses crises concernant les exigences de dénudement de son corps que lui soumettait pour des motifs cinématographiques sa mère. C’est en particulier pour des raisons esthétiques que se rebellait Mt (critique esthétique, pas de nécessité d’être à poil dans les bras de son fils, n’apporte rien à l’histoire). Le problème est que Mt a été érigée en icône (par qui ?) et que personne ne s’est intéressée à elle en tant que personne et autrement que comme victime.
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@ JL,
« ... ah votre post est encore un post de diversion, pour avoir le dernier mot. »Dixit l’enfumeur professionnel !Car c’est bien cela qui vous anime : « avoir le dernier mot » sans aucun souci de vérité. Vous vous trahissez vous-même au travers de chacune de vos interprétations qui, soit dit en passant, en disent bien plus long sur vous que n’importe laquelle de mes accusations.Avoir le dernier mot et sauver la face est le jeu de pouvoir par excellence des imposteurs pour qui il faut surtout pas que la vérité soit dite, car trop blessante pour leur narcissisme défaillant.Vous avez écrit à un intervenant sous un de mes articles le 23 mai 2013 20:56 : « Je rends ici hommage à votre honnêteté intellectuelle et j’y joins ma gratitude : je ne me voyais pas relire tout Racamier pour retrouver la citation originale (*). »Et ce à une époque où vous n’aviez même pas encore ouvert un seul livre de Racamier. Parvenir à rendre hommage à l’honnêteté intellectuelle d’un intervenant en y joignant sa gratitude tout en énonçant un mensonge aussi grotesque tel que celui d’insinuer avoir pu lire tout Racamier sans jamais avoir ouvert un seul de ses ouvrages est vraiment une « prouesse » digne des plus grands imposteurs.Et vous inondez mes articles de tels messages d’enfumage à l’attention des commentateurs de mes articles de depuis mes premières apparitions sur ce site.Cela fait de vous un imposteur affabulateur menteur pathologique prêt a absolument toutes les compromissions pour... simplement « avoir le dernier mot » u compris même « avoir le dernier mot » sur vos propres mensonges. Et cela sans aucun souci de vérité comme en atteste les fraudes incessantes que vous commettez sur les citations des auteurs que vous reprenez à votre compte pour leur faire dire l’inverse de ce qu’elles disent véritablement.Allez... exercer maintenant la toute-puissance de votre pensée perverse pour nous montrer la parfaite réussite de vos dénis (déni réussi = perversion). Niez donc avec force et virulence comme vous m’y avez habitué ce fait évident de flagrant délit d’imposture. Exactement comme vous êtes en train de le faire ci-dessus à 14:45 : je n’ai strictement jamais dit que Racamier n’avait jamais utilisé le mot déliaison. Une fois de plus, il y a un divorce total entre ce qui est écrit et ce que vous CROYEZ en comprendre.Vous êtes fou mon brave !Ps :Il n’y a strictement aucune diffamation, calomnie, injures, etc. à désigner quelqu’un d’imposteur dès lors que l’on est en mesure de prouver la véracité de l’imposture. Vos accusations sur mes soit-disant mensonges que vous ne pouvez prouver qu’en pervertissant tous mes propos en leur réassignant un sens différent comme vous avez si bien su le faire pour la définition de la pensée perverse de Racamier sont, elles, bel et bien des attaques ad personam, des sophismes, des calomnies, des injures et de la diffamation... et ça dure depuis 6 ans. Ce qui fait de vous un imposteur harceleur. Pervers donc ! -
@alinea
Faut reconnaître que cette histoire est fascinante. Mais l’intelligence n’est elle pas un handicap, une option encombrante, quand on n’a pas les émotions et l’empathie. La mégalomanie est alors sous vacante, car la nature a horreur du vide, et peut être elle est indispensable comme carburant moteur. Cela donne souvent de bien tristes personnages, truqueurs, hautains, dés qu’on gratte la couche superficielle de la normalité, où ils se planquent, comme des espions dormant.. Ils peuvent tromper car toute leur énergie est dirigée vers un seul but, là où vous avez cent occupations, divertissements, intérêts. Je pense qu’on peut faire illusion même auprès de spécialistes, en orientant subrepticement le discours vers ce que l’on veut discuter, ou étonner, ce qui semblait d’ailleurs le but....Révélateur encore une fois de plus de la psyché de ce type, qui n’existe qu’en Narcisse. Les diseuses de bonne aventure elles aussi ont cette capacité à faire parler les gens, et de les surprendre ensuite, en leur révélant les informations qu’elles ont elles mêmes lâchées. Roman possédait plus que des bases, et effectivement épluchait les dernières revues spécialisées, pendant tout son temps libre, ce que n’ont pas toujours le temps de faire les spécialistes. Dans cette logique désincarnée, et égotiste, Roman représente bien un mal absolu. Par les faits, il a tué sa famille. Ce n’est pas qu’un simple escroc. Il fait partie de ces gens qui sont près au pire, dans une logique mortifère, qui refuse la marche arrière, une sorte de désaveux, où il lui faudrait retirer son masque. Me vient l’idée des moloch antiques, des rois exigeant en même temps que leur mort le sacrifice de leurs esclaves, de leurs femmes et enfants. Il a tenu tout simplement parce que cela lui plaisait, qu’il était amoureux de lui. Il a écrit son livre avant celui de Carrière. C’est dommage qu’il ne soit pas contenté d’être écrivain ; On construit et on abat des empires sans faire de mal aux autres. C’est en ce sens que j’ai pitié de lui. -
@ kalachnikov,
« Cette affaire est justement un cas d’école, comment un fait divers devenant national empoisonne durablement une société. Rien que ça devrait interpeller : qu’on ne puisse parler de la chose sans finir par s’écharper. C’est qu’il y a inconsciemment quelque chose qui est en travail dans le collectif. »Je suis absolument d’accord avec cela, c’est très exactement ce que je cherche à mettre en lumière dans mon prochain article sur un sujet pour le moins similaire. (Je précise que j’ai déjà rédigé ce futur article depuis six mois et que je ne le proposerais que le mois prochain à la modération pour, d’une part espacer mes publications, et d’autre part me laisser du temps pour prendre de l’avance sur mes futures publications à paraître.)D’accord aussi sur le fait que MT était considérée comme une poupée de chiffon par son entourage et n’a jamais été perçue comme une « personne » à part entière. C’est malheureusement le drame de toutes ces familles incestuelles et c’est bien la raison pour laquelle je dénonce ces meurtres d’âmes (et leur processus extrêmement complexe à décoder et à retranscrire) dans mes articles.Sur le nœud de ce drame que vous évoquez je ne peux qu’abonder dans votre sens également. Ce point de vue me semble correct d’autant que j’ai lu de la part de la sœur de B. Cantat que Marie Trintignant était excessivement pudique. Ce qui quelque part peut-être lu comme une défense face à ce climat incestuel envahissant (et pervers). Autre fait qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est le lire que B. Cantat avait « fuit » (?) l’emprise de sa mère à 17 ans. Si tel était effectivement le cas, une défaillance de MT dans le but de se libérer de l’emprise de sa propre mère pourrait expliquer le passage à l’acte de BC qui lui, a su trouver la force de « rompre » avec sa mère (mais pas avec ses « démons »).Ces hypothèses seraient à affiner avec plus d’information. Mais pour cela, il faudrait avoir un quelconque accès aux résumés du procès. Pas simple à juger au regard des informations communiquées par les médias.Ps :Nous avons assez fait les « coucous » sous l’article de siatom que je salue au passage pour son calme Olympien. Respect !Je ne reviendrais y répondre qu’en rapport à des messages relatifs au sujet de son article. Pour les autres sujets, en rapport au thème que vous évoquez dans le message auquel je réponds, je vous ai débloqué de mes articles. Vous pourrez y commenter à votre guise, y compris même pour y exprimer vos désaccord si vous savez argumenter vos positions sans tomber dans les jeux de pouvoir.Pour ce qui est de l’imposteur en chef de ce site, j’ai mis les points sur les I dans mes précédents messages et le dernier de 15:22. Je n’ai donc plus rien à lui dire même si comme d’accoutumé, il ne manquera pas d’exercer la toute-puissance de son déni par une nouvelle pirouette. -
@Philippe VERGNES
à 12:19 AUJOURD’HUI , vous avez dit : ’’ le contexte de la définition psychanalytique du terme de déliaison, n’est pas celui de ce terme tel qu’il est utilisé par Racamier dans sa définition de la pensée perverse.’’Ah ? Celle que vous avez donnée hier à 20:53 ne mentionne pas ce mot. : dans ce post où vous avez fait mine de donner en post scriptum la définition de la pensée perverse, le mot déliaison qui y figure, c’est vous qui sournoisement l’y avez ajouté. Vous vous prévalez de vos turpitudes.
Je vous mets au défi de démontrer que Racamier a utilisé ce mot quelque part. Vous êtes un incorrigible menteur. Dans le domaine dont vous prétendez être savant, cela fait de vous non seulement un imposteur, mais un dangereux manipulateur.
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@ Philippe VERGNES
La mère de Cantat était institutrice, je crois, et son père, militaire. Des personnes droites, austères, dispensant une éducation sévère. Cantat avait pour idole de jeunesse Rimbaud et vivait ça comme le jeune Arthur à Charleville : un étouffoir. Ce n’est pas un rapport propre à la personne de la mère, je pense, mais à l’éducation, l’autorité, les valeurs. C’est un libertaire qui s’est construit en réaction à ça : antimilitariste, anti ordre établi, etc, etc.
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@ JL,
Mékiléconkiléconkilécon... c’est pas dieu possible d’être aussi con et borné !JL... où la toute-puissance de ses dénis dans ses œuvres : « Je vous mets au défi de démontrer que Racamier a utilisé ce mot [déliaison] quelque part. »Vous JL, citant Racamier sous votre propre article le 25 janvier 9:52 :Extraits de Paul Claude Racamier :« La pensée perverse est une pensée créativement nulle et socialement dangereuse ; elle peut être considérée comme le modèle de l’anti-pensée.
Le véritable secret de cette pensée : une pensée pour ne pas penser !
Alors que la pensée est toute faite de liaison, la pensée perverse n’opère que dans la disjonction et dans la déliaison. Tel est bien le piège : les instruments (contacts et pensées) utilisés d’ordinaire pour le lien sont, par le pervers, employés systématiquement pour la déliaison. »Alors de deux choses l’une, soit Racamier n’a jamais utilisé ce mot quelque part... et vous êtes un incorrigible menteur pathologique, soit Racamier a bien utilisé ce mot tel que vous le citer vous-mêmes dans l’extrait ci-dessus reproduit avec le lien vers votre commentaire et dans ce cas... ben, vous êtes un imposteur qui cherche par tous les moyens à avoir le dernier mot, car sa faille narcissique l’empêche de prendre conscience de la réalité des faits tels qu’ils sont ici rapportés.Dans les deux cas, il n’y a aucune issue à vos mensonges pathologiques ou à votre imposture. La seule possible serait celle d’avoir la dignité de reconnaître ses torts, mais c’est une option impossible pour les menteurs pathologiques (les mythomanes) et les imposteurs.Aussi cruel que ce soit, vous vous enfoncez à chacune de vos interventions ! -
@kalachnikov
Les militaires et les père autoritaires et stricts (cf Hitler) ont souvent une personnalité paranoïaque, barrant la voie à l’idenfication indispensable du fils au père. Cantat comme la majorite des PN est (très banal) un homosexuel refoulé. -
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Je vous ai demandé des faits objectifs : une sextape de Cantat suçant des bites en couinant ’Ich liebe dich, papa Adolf’ ? Non, gardez vos mythologies dégoûtantes que vous tirez d’une littérature à laquelle vous n’entravez rien. Ca donne juste accès à votre fond de culotte à vous et rien qu’à vous et ç’est pas joli joli.
-
@Philippe VERGNES
parfait, vous avez enfin donné le lien.
Donc Racamier a écrit : ’’Alors que la pensée est toute faite de liaison, la pensée perverse n’opère que dans la disjonction et dans la déliaison.Tel est bien le piège : les instruments(contacts et pensées) utilisés d’ordinaire pour le lien sont, par le pervers, employés systématiquement pour la déliaison.’’
En aucun cas il n’est dit là que liaisons = relations interpersonnelles.
Une « pensée faite de relations interpersonnelles », ça ne voudrait strictement rien dire.
Ce ne sont pas les pensées qui font ou défont les relations interpersonnelles, pas plus qu’elles n’en sont faites, ce sont les « agirs » (agissements, actions, manœuvres, etc.) des individus. Confondre pensées et agirs est ridicule. Les mots ont un sens ; le pervertir relève de la pensée perverse.
"Liaison-déliaison Psychan. Couple conceptuel désignant la manière dont se fixe, circule et se décharge l’énergie psychique. On parle de déliaison lorsque que l’énergie circule librement avec pour but la satisfaction des pulsions et le plaisir, comme c’est le cas lors des rêves.L’énergie liée voit son mouvement vers la décharge, contrôlée, notamment par le Moi. Tandis que les énergies déliées se meuvent selon un principe direct de plaisir, les énergies liées subissent les pressions des processus secondaires de réalité." -
@Mélusine ou la Robe de Saphir. « Cantat comme la majorite des PN est (très banal) un homosexuel refoulé. »
Whaoouuu, l’analyse des faits avance ! -
@ kalachnikov,
C’est en ce point d’incertitude que l’on ne peut malheureusement que spéculer sur les raisons inconscientes de ce drame. Mais il est clair que tant du côté (hypothétique ou pas) de Cantat que de celui de MT, la clef réside dans cette problématique incestuelle.Ce qu’apporte (j’ai toujours dit que Racamier corrigeait les apories de Freud... à un point dont on n’a même pas idée) la notion d’incestuel de Racamier, c’est qu’elle « déplace » (pas absolument toutefois) la notion d’inceste à la relation. A ce titre, ce n’est pas tant l’inceste que la relation qui est pathogène. Tout dépendrait en fait de la figure d’autorité et de la place qu’elle incarne dans la psyché pour qu’un inceste soit pathologique. Cela remet en cause beaucoup de nos conceptions toutes faites. Pour ne citer qu’un exemple, un enfant adopté abusé sexuellement par un de ses parents adoptifs, cela aura le même effet pathogène que s’il avait été victime d’un inceste au sens où nous l’entendons actuellement. Ce qui importe, c’est la relation de séduction qui se joue au travers de cet inceste ou de l’équivalent d’inceste comme c’est le cas en climat incestuel. A tel point que l’incestuel est considéré (mais cela a du mal a être admis) comme plus pathogène encore que l’inceste en lui-même.Nous ne sommes qu’au tout début de cette prise de conscience, poussés que nous sommes par la mutation d’une conscience individuelle en une conscience écologique ou systémique (système complexe, cf. Edgar Morin, Henir Laborit, etc.). J’aime beaucoup le fait que Jean-Claude Maes, spécialistes des sectes, systémicien de formation et donc quelque part un peu réfractaire à la psychanalyse, ait pu écrire que s’il n’y avait qu’un seul concept à conserver dans toute la psychanalyse, ce serait celui d’incestuel. (Bon... à mon sens il n’y a pas que ça, mais il est sûr qu’il y a beaucoup à revoir chez les psychanalystes orthodoxes ou traditionnels. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur cette « guerre » qui se joue en interne, je vous conseille la lecture du livre Le mystère Freud : psychanalyse et violence familiale de M. Hurni et G. Stoll dignes successeur de Racamier. C’est très riche d’enseignement. Vous y lirez comment l’incestuel a infiltré toute la psychanalyse. Mais cela est encore un autre débat !) -
@ JL,
Votre connerie n’a d’égale que votre folie.Vous à Kalachnikov 16 mars 20:41 : « La psychologie des profondeurs n’a pas sa place sur un site citoyen, il y a trop de trolls et de cinglés. »Vous ci-dessus et comme déjà signifié par ailleurs (et dénié par vous) : « Liaison-déliaison Psychan... blablabla. » (Ce qui est une définition du concept de liaison-déliaison de la psychologie des profondeurs freudiennes.)Vous pouvez ainsi soutenir avec force et conviction tout et le contraire de tout dans un même fil de discussion et parfois même dans un même message sans jamais être en mesure de vous fatiguer.Chapeau !Je n’ai jamais pu observer in-vivo un tel acharnement à nier les évidences.Ben... vous savez quoi ? C’est exactement ça affabuler, autre notion que vous pervertissez puisque vous affligez du terme d’affabulateur celui qui retranscrit précisément les paroles d’autrui sans avoir à les pervertir. -
@Trelawney
il n’y a pas que les féministes qui lui en veulentle voir se pavaner sur scène....le ressenti est qu’il nargue les parents ,amis de sa victime -
@Philippe VERGNES
La mauvaise querelle que vous me faites au sujet de ce qu’a voulu dire Racamier est doublement condamnable :
- Ce qui compte ce n’est pas ce que votre dieu a dit ; cette querelle est une querelle d’intégristes indigne de moi.
- La définition que je défends est féconde ; la votre est stérile sinon redoutablement dangereuse comme je l’ai montré à maintes reprises.
la « réalité » c’est ce qui ne change pas quoi qu’on en pense, par définition. Croire comme vous, que la pensée perverse défait des liens interpersonnels, c’est croire en la pensée magique.
La déliaison dont parle Racamier, comme la vraie définition, ce n’est pas défaire des liens interpersonnels, c’est ne pas en tenir compte dans sa pensée. La nuance est énorme : cette définition résonne avec l’empathie.
Les pensées perverses ne tiennent pas compte des liens interpersonnels ; ce sont les agirs qui « font avec » ce que sont ces liens à un instant donné, et en fonction du plaisir du pervers : nouer des liens d’emprise en phase de séduction, abuser, défaire ou saboter des liens de fidélité en phase de délire.
Ainsi, un petit exemple récent d’agirs pervers, sous nos yeux : avant-hier, vous avez perçu une certaine entente entre celui que vous appeliez ce matin encore, kakachinois et moi. Voici ce que vous avez écrit 16 mars 20:21, ça ne s’invente pas : ’’vous avez bien sûr le droit de vous faire des papouilles, l’homosexualité n’est plus considérée comme un « vice » depuis bien longtemps et personnellement, je n’y vois aucun inconvénient. Mais si vous pensez vous marier, venant nous en faire part nous partagerons votre joie avec bonheur.Congratulations et longue vie aux amoureux. Qu’ils puissent vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants ! ’’
Aujourd’hui, vous n’avez pas assez de mots pour lui dire combien vous êtes d’accord avec lui. Mais tout ça n’est pas pensé : c’est votre nature, votre manière d’être : nouer, dénouer, au gré de votre humeur du moment. -
@ JL,
La seule chose de condamnable sur ce fil de discussion, c’est votre folie raisonnante et vos délires d’interprétations qui vont avec. Un individu tel que vous n’a pas sa place sur un forum citoyen et encore moins dans une démocratie digne de ce nom pour la simple et bonne raison qu’il est incapable d’assurer la nécessaire clarté des débats qui doivent y régner. Ce n’est pas votre faute, c’est le « vice » de tout paranoïaque. Votre démonstration, basée une fois de plus sur l’un de vos délires interprétatifs qui se conclue par : « ... tout ça n’est pas pensé : c’est votre nature, votre manière d’être : nouer, dénouer, au gré de votre humeur du moment » n’est qu’un pur délire de paranoïaque (folie raisonnante + délire interprétatif) posté par un intervenant qui peut se vanter sans vergogne d’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres qu’il n’a jamais lues, soit la plus parfaite imposture. Et les imposteurs, on les démasque et on les envoie se faire soigner en hôpital psychiatrique lorsqu’ils se montre incapable de faire face à leur déni de réalité. Ça n’a rien de personnel, ce n’est qu’une mesure de salubrité publique pour préserver la santé mentale du groupe. C’est le simple constat d’une froide rationalité qui vise le bien-être collectif plutôt que sa folie. -
@Philippe VERGNES
si j’ai une prétention à avoir un avantage sur vous, c’est que je possède non seulement une formation scientifique de base, mais aussi derrière moi une carrière dans une profession qui fait appel à la rigueur et la vérité. Ma pensée est par construction, analytique.
Pas vous, et ça se voit. Le minimum quand on écrit une charge contre quelqu’un c’est de se poser la question : est-ce que cette charge pourrait me concerner ? Ce que vous ne faites jamais. Votre pensée est anti-analytique : la preuve en est que, après des milliers de pages écrites ici pour reconnaitre les pervers narcissiques, vous en êtes à dire tout et son contraire et incapable de dire ce que ne sont pas les PN ; dire que les PN se suicident est en contradiction totale avec tout ce que vous avez soutenu ici pendant 6 ans. -
@ JL,
Dans vos rêves et vos fantasmes... très certainement. Pour le reste, un imposteur reste un imposteur. Et sur ce sujet précis où j’ai écris des milliers de pages selon vous (j’ai pas compté), vous êtes le plus parfait des imposteurs. Votre pensée n’a rien de rigoureux, elle est d’une telle confusion que vous ne parvenez pas à vous comprendre vous-mêmes d’un post à l’autre tellement vous racontez de connerie. De plus, votre incapacité « congénitale » à pouvoir comprendre les concepts de Racamier vous rend totalement inapte à en apporter la critique. Aucun débat n’est possible avec un individu tel que vous qui ne comprenant pas ce qui est écrit projette son incompréhension sur son contradicteur. Nombreux ont été ceux qui vous en ont fait la remarque. Il y a même des auteurs qui vous ont « banni » de leur article pour cela, vous avez déjà oublié ? -
@Philippe VERGNES
les seuls auteurs qui m’ont banni sont deux : vous qui vous prenez pour le prophète de Allah-Racamier ; l’autre se prend pour le nouveau Darwin-Einstein.
C’est un motif de satisfaction que, d’être muselé sur vos articles : c’est la preuve que vous n’avez pas d’arguments crédibles et que je vous défrise. -
@ Vergnes
Je ne crois pas aux motifs inconscients dans cette histoire. En parlant de tout ça, je veux juste établir quelques faits objectifs et ne souhaite pas verser dans la psychologie de bonne femme à la Mélusine.
Je crois à la généalogie, en fait. La thèse que Cantat serait un pn, qu’il s’agirait là d’un cas de violences conjugales, c’est une propagande entièrement montée par la partie civile et relayée par la presse amie. Mais ça n’est en rien étayé par des faits objectifs, bien au contraire. Ainsi, il s’agit de violences conjugales parce qu’elles ont lieu dans l’espace clos du couple mais ça n’a rien à voir avec des violences conjugales répétées (= le supposé rapport de Cantat à la femme). Comme il y a eu une enquête diligentée en France, parallèlement à celle en Lituanie, la police n’a rien trouvé.
Les circonstances psychologiques sont cependant utiles pour comprendre comment cette violence est survenue. Il est évident que le couple, qui était dans sa bulle, s’est trouvé aux prises avec l’hostilité générale et que cela a fini par mettre en péril leur relation. Mais on sait que Mt avait pris son parti : rompre avec son milieu et en particulier sa mère et partir avec Cantat. L’explication que NT donne, Cantat le magicien en quelques mois lui aurait retourné la tête, ne tient pas debout. Sa mère est de toute façon dans la négation continue que mt ait pu avoir une seule idée propre : ’ça ne te ressemblait pas’. Mt n’a pas le droit de dire non à sa mère, elle ne peut avoir de désir autre que ceux de sa mère, etc.J’ai trouvé la raison pour laquelle Cantat est parti de chez lui à 17 ans : ses parents ne voulaient pas qu’il fasse de la musique.
-
@ JL,
« Les seuls auteurs qui m’ont banni sont deux : vous qui vous prenez pour le prophète de Allah-Racamier ; l’autre se prend pour le nouveau Darwin-Einstein. »Déni un jour... déni toujours !Faut-il encore que je vous rafraîchisse votre mémoire de poisson rouge ? Ou bien est-ce une fois de plus l’expression de la toute-puissance de vos dénis réussis ? Personne d’autre que « le nouveau Darwin-Einstein » (je suppose que vous parlez de Bernard Dugué) et moi n’avons utilisé le ciseau à votre encontre pour « museler » votre « folie » ? Vous êtes sûr tout comme vous l’étiez pour le fait de ne pas vous être vanter d’avoir des compétences que vous n’avez jamais eues sur des œuvres que vous n’avez jamais lues ?Si le fait d’être muselé sous mes articles est un motif de satisfaction, pourquoi donc venez-vous régler vos comptes avec moi partout où j’apparaîs sur ce site... et jamais l’inverse. Décidément, vous n’êtes vraiment pas à une contradiction près. Et vous vous prétendez « scientifique ». -
@Philippe VERGNES
hahaha ! Vous avez cherché en vain, et pour cause !
Il y en a eu deux autres, en effet, qui ne valent même pas qu’on en parle : Wanted-Pedo et kelenborn.
Kellenborn, cet énarque défroqué qui a été la risée de tous les auteurs agoravoxiens : a été éjecté ou a pris la fuite avec armes et bagages depuis déjà un moment.Il n’y a plus aucune trace. Voilà pourquoi vous n’avez rien trouvé.
Wanted-Pedo dont le pseudo à lui seul est toute une promesse : ceux qui acceptent ce pseudo sont déjà à moitié sous sa coupe. Il est expert en pédophilie comme vous en perversion narcissique, c’est tout dire ! Il m’aura suffit d’un seul avis posté en modération pour me valoir le blocage, avant même que j’aie posté un seul commentaire sous ses articles. Voilà pourquoi vous n’avez rien trouvé.
Vous avez vraiment de bonnes références !
Lol !
Je suis très fier pour un poisson rouge, d’être bloqué par des pointures telles que vous quatre.
-
@JPV,
Ah ! j’oubliais ! Pourquoi je vous interpelle partout où vous intervenez en dehors de chez vous ? Mais c’est parce que vous y dites autant de conneries que chez vous, cher monsieur !
Et que j’ai la liberté de poster où je veux, quand je veux, sauf bien entendu si le taulier m’interdit l’accès de sa boutique. Et je rends hommage ici à Siatom qui fait preuve sur ce point, d’une indifférence admirable. -
@ kalachnikov,
Justement, le transgénérationnel (à distinguer de l’intergénérationnel) est ESSENTIEL dans la véritable théorie de la perversion narcissique et non pas celle que l’on nous sert dans les magazines de presse People. Dans la perspective de la psychanalyse groupale et familiale de Racamier (psychanalyse SANS divan) la règle est de travailler si possible sur trois générations. Et c’est particulièrement éclairant.Heu... sur NT, si j’en crois ce que j’ai lu de quelques articles qui en parle... ben, toute ma compassion va à sa fille et je ne peux que me dire qu’elle était en fait une proie toute désignée pour tous les prédateurs qui pouvaient passer à portée. Impossible de se construire « normalement » avec une telle emprise sur les épaules.Le problème d’une éducation hyper-rigide telle que l’aurait reçu Cantat, c’est que malheureusement, ça ne donne pas non plus de personnalité super bien « structurée ». Ce qu’il semble confirmer dans ses compositions, mais n’ayant jamais écouté les paroles de ses chansons autre part qu’à la radio lorsqu’elles étaient diffusées, je garde un doute à ce sujet bien que le seul nom de son groupe soit évocateur tout de même. L’exemple extrême (le plus connu) du résultat de ce genre d’éducation étant celui du président Schreber que je cite en exemple dans mon article sur le meurtre d’âme.Faut tout de même reconnaître que l’enregistrement audio de Kristina Radu et le suicide de cette dernière ne plaident malheureusement pas pour lui. On ne peut pas lui trouver des excuses à tout bout de champ non plus d’autant qu’il semble avoir un don particulier à tendre le bâton pour se faire battre. Quoi qu’il en soit, personnellement... et excepté certains contextes particuliers... en règle générale, je m’abstiens de juger pas les gens, car pour se faire, il faut avoir marcher un long moment dans leur pas pour entrevoir ce qui peut les animer. (C’est aussi la raison pour laquelle je m’étonne toujours de la rapidité des jugements portés sur autrui sur les réseaux sociaux. Ça, c’est vraiment un objet d’étude pour moi.)Sur le côté psycho, lorsque l’on cherche à comprendre ce « quelque chose » qui est inconsciemment en travail au niveau du collectif et qui fait résonance lors de ce genre d’affaire, on ne peut guère en faire l’économie ce me semble. En tout cas, je n’en connais pas d’autre approche pour aborder cette question. De telles affaires, toutes clivantes et plus ou moins liées par le même sujet, font désormais régulièrement retour dans l’espace public : Affaire Jacqueline Sauvage, DSK, T. Ramadan, etc. Quelles mutations cela annonce-t-il ? Quels changements de paradigmes ? Bénéficiant à qui ? Est-ce une évolution (progression vers plus d’autonomie) ou une régression (plus d’emprise) ? Etc.Voilà ce qui m’intéresse personnellement dans toutes ces affaires qui interrogent l’avenir de notre société.Dans le cas Jacqueline Sauvage, j’ai passé plus de trois mois à enquêter sur ce dossier pour écrire mon article en passant au peigne fin tous les liens que j’y communique sans parvenir au bout du compte à pouvoir me faire une opinion à son sujet, c’est dire si je juge « facilement » autrui. Par contre, il était évident que ses avocates ont manipulé l’opinion publique et peut-être même JS à son insu pour plaider leur cause. A ce titre, la défense de JS a été un fiasco total. Ce qui a obligatoirement eu une incidence sur l’emballement médiatique que nous avons connu autour de cette affaire. -
@ JL,
« Ah ! j’oubliais ! Pourquoi je vous interpelle partout où vous intervenez en dehors de chez vous ? Mais c’est parce que vous y dites autant de conneries que chez vous, cher monsieur ! »Non... vous venez régler vos comptes parce que je vois clair dans votre petit jeu de manipulateur et que je suis l’un des rares intervenants de ce site à pouvoir situer la source de votre mythomanie et de vos impostures. Ce qui est absolument insupportable pour toutes personnes aux narcissismes pervers tels que le votre.Ps :Ce n’est pas à ces deux là auxquels je pensais, n’avez-vous pas été « éjecté » de chez un autre auteur qui a tout de suite su voir en vous le pervers que vous êtes et qui s’ignore ? Vous ne voyez-toujours pas ou vous exercez encore la toute-puissance de votre déni ? -
@Philippe VERGNES
hé bien s’il y en a un autre, je doute qu’il soit capable de relever le misérable niveau du quarteron dont vous faites partie.
-
@ JL,
C’est fou cette habitude qu’ont tous les pervers à nier les évidences et à tordre la réalité telle qu’elle s’exprime au travers des faits : « c’est pas moi, c’est lui... » attestant par là du niveau mental auquel vos interlocuteurs sont « contraints » de se rabaisser lorsqu’ils sont poussés à échanger avec vous. Niveau de développement émotionnel d’un enfant de 3 ans.En fait, cet autre que vous avez chassé bien vite de votre mémoire de poissons rouge, vous a écrit très précisément dans un message que vous vous êtes empressé de faire supprimer : « Vous avez un problèrne JL ? Votre attitude confirme ma précédente réponse. Vous êtes un pervers (de petite envergure). Vous voulez absolument trouver une perversion parmi certains commentaires certainement un peu trop compliqués à comprendre pour vous. Le problème avec les pervers pépères, c’est qu’ils sont persuadés d’avoir raison sur tout... Pas de bol... ça ne se soigne pas... on fuit les gens comme vous. »Effectuant en peu de mot un diagnostic aussi concis que précis :. « avoir raison sur tout », ce que vous traduisez par « avoir le dernier mot » y compris même et surtout en affichant la prétention d’avoir des compétences que vous n’avez jamais eues sur des œuvres que vous n’avez jamais lues ;. « vouloir trouver une perversion parmi certains commentaires... », votre attitude sur ce site bien avant même mon arrivé : c’est vous qui voyez des pervers narcissiques partout et qui faites un transfert pour « évacuer » ce vice chez autrui (il est vrai que je suis une cible idéale pour cela puisque ce thème est mon principal sujet d’étude, mais pour de tous autres raisons que les vôtres) ;. « ... certainement un peu trop compliqué à comprendre pour vous » comme en attestent vos chinoiseries sur la définition de la pensée perverse (et bien d’autres) qui sont inaccessibles à votre mental.. etc.Ce que vous chassez comme « confusion » sur ce site, Ô grand chasseur d’ambiguïté, ne que celle que vous projetez. Ce n’est pas contre moi que vous vous battez, vous combattez votre propre fantôme, votre image dans le miroir qu’il vous est impossible de voir. C’est bien la raison pour laquelle je vous plains, car il n’y a pas de solutions pour les gens tels que vous.Allez... montrer nous donc encore une fois comment vous exercez la toute-puissance de vos dénis. -
@PV,
Qui est Pedo-Wanted ?
Continuez donc à m’injurier : vu que vous chantez faux, il convient d’inverser vos propos ad’hominem ; ainsi, quand vous me traitez de pervers nous avons le choix entre deux propositions : ou « bien JL est vertueux », ou bien « PV est pervers ».
Tant il est vrai que la proposition « JL est pervers » est aussi irrecevable que sa cousine « PV est vertueux ».
La preuve toute fraiche ? il y a trois jours, vous aviez perçu une certaine convergence d’oînion entre celui que vous appeliez alors kakachinois et moi. Voici ce que vous avez écrit le 16 mars 20:21, ça ne s’invente pas :
’’vous avez bien sûr le droit de vous faire des papouilles, l’homosexualité n’est plus considérée comme un « vice » depuis bien longtemps et personnellement, je n’y vois aucun inconvénient. Mais si vous pensez vous marier, venant nous en faire part nous partagerons votre joie avec bonheur.Congratulations et longue vie aux amoureux. Qu’ils puissent vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants ! ’’
Aujourd’hui, vous n’avez pas assez de mots pour lui dire combien vous êtes d’accord avec lui. Mais tout ça n’est pas pensé : c’est votre nature, votre manière d’agir : nouer, dénouer, au gré de votre humeur du moment. Le contraire de vertueux, c’est clair. -
@Philippe VERGNES
nos posts se sont croisés.
Vous diffamez en ne donnant pas le contexte de ce post copié-collé qui fait sans doute partie de votre collection destinée à me faire condamner par un tribunal ? Cet autre que vous avez sorti de votre chapeau c’est qui ? quelqu’un comme vous probablement qu’il faut lire à l’envers.
Aurais-je le pouvoir de faire supprimer les posts qui disent vrai ? Ce post dont vous faites état, vicieusement est en soi, banal et anodin au regard de tout ce qui se dit ici. Vous me prenez pour dieu, ou bien vous insultez les administrateurs ? S’il a été supprimé, c’est que la demande a été jugée légitime. Et d’ailleurs, était-ce seulement moi le demandeur ? Peut-être étions nous plusieurs à le demander.
Il convient donc de voir dans cette dernière de vos manœuvre une nouvelle turpitude. -
La perversion ce n’est pas seulement se prévaloir de ses propres turpitudes : c’est aussi se prévaloir des turpitudes d’autrui promues au rang de témoignages à charge en sa propre faveur.
-
@ JL,
Bon, juste pour la forme... tant vous êtes « barge ». Une illustration de la pensée perverse telle qu’a su la définir Racamier (et non pas vous) nous est donnée dans vos deux derniers posts : les pervers narcissiques ne supportent absolument pas les réconciliations... cela met en grand danger le pouvoir qu’il s’octroie afin de régner en maître sur leur « tribu ».Toute la différence entre nous se situe en ce point bien précis : je me réjouis de me réconcilier avec qui que ce soit... y compris même vous si vous étiez capable de sortir de vos dénis. Mais vous, ça vous emmerde à un point tel que c’en est insupportable. Il vous faut donc détruire les liens ou faire avorter toutes tentatives de liens qui se tissent.« La rupture des liens entre les personnes et les pensée... » c’est très précisément le sens du mot déliaison tel qu’utilisé par Racamier lorsqu’il parle de pensée perverse. On comprend donc bien pourquoi en vous lisant ci-dessus vous trouvez ce sens « absurde ». Mais tout le monde n’est pas comme vous, mon cher JL... et heureusement. Il existence encore des gens qui n’aiment pas se cantonner dans des guerres intestines perpétuelles que se plaisent à entretenir les pervers. -
@Philippe VERGNES
’’les pervers narcissiques ne supportent absolument pas les réconciliations.’’
C’est archi-faux ; c’est une affabulation, une thèse élaborée tout spécialement pour la circonstance : une « pensée déliée » de plus. Une affirmation destinée à discréditée les victimes, dans la droite ligne de vos autres affirmations ! Des affirmations redoutablement dangereuses.
C’est un sujet sur lequel je suis prêt à discuter,j’ai mille choses à y redire contre mais pas ici : nous n’avons que trop abusé de l’hospitalité de Siatom. -
@ JL,
Heu... désolé, mais on ne transige pas avec des pervers qui peuvent faire preuve d’une capacité telle que la vôtre à nier les évidences, la réalité des faits et leurs propres actes de paroles (écrits). Vos délires d’interprétation, qui sont le plus grave indicateur d’une folie raisonnante, autrement dit d’une paranoïa de caractère n’ont pour seule valeur à mes yeux qu’une étude de cas.Ecrivez-nous un article sur le sujet et discutez-en avec qui vous voulez chez vous, vos opinions ont cessés de m’intéresser à l’instant même où vous avez affichez des compétences que vous n’avez jamais eues sur des œuvres que vous n’avez jamais lues, car il y a toujours un divorce total entre ce qui est écrit et ce que vous croyez en comprendre. Incompréhension qui, comme le soulignait l’auteur que j’ai cité ci-dessus, et de votre fait et non celui des autres.Les milles choses que vous auriez à redire contre cette évidence concernant les pervers narcissiques ne pourraient donc provenir que de nouveaux délires pervers (inversant la réalité des faits, du sens des mots et des situations, etc.). Vous n’avez jamais été en mesure de produire une argumentation autre que sophistique pour étayer de tels délires.Il n’y a juridiquement strictement aucune diffamation à appeler un chat un chat et un imposteur un imposteur dès lors que l’on est en mesure d’apporter la preuve d’un telle accusation. Ce que j’ai pu produire maintes fois ici, là où vos preuves ne sont qu’interprétations délirantes, propos sortis de leur contexte, inventions, réassignation du sens des mots de certaines citations, etc., etc., etc.Vos manipulations et vos enfumages n’ont aucune limite et sont plus que soûlants à force : vous vous réinventez chaque jour. Ce sera donc ici mon dernier mot à votre attention.Fin des débats ! -
@JL
Voilà une conclusion pleine de sagesse à laquelle je ne peux que souscrire.
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