@ JL,
JL ou le délire d’interprétation (que l’on pourrait aussi appeler délire d’imposture ou d’imposteur) dans toute sa puissance d’évocation.
Je ne fais que vous mettre le nez dans vos propres excrets et je ne me comporte ici envers vous cas l’EXACT IMAGE des comportements que vous vous êtes permis ici même d’adopter envers moi. Et l’expérience est plus que concluante.
Un seul fait, un seul qui prouve à lui seul toute votre manie-hystérico-perverse : ce n’est jamais moi qui viens pondre mon œuf dans votre nid, ce n’est jamais moi qui vous harcèle sans cesse en vous relançant à chacune de vos apparitions.
Ainsi, je ne vous traite uniquement qu’eu égard au traitement que vous me réservez et il est assez facile de constater à quel point cela vous est intolérable, d’où l’adage pervers qui a force de loi chez vous : « faite du mal à autrui avant qu’il ne t’en fasse ».
« Vous affabulez : contrairement à vous, je ne me suis jamais vanté d’avoir des compétences que je n’avais pas... »
C’est très simple : pouvez-vous jurer ici même n’avoir jamais écrit ou insinué (car chez vous tout n’est qu’insinuation) que vous aviez lu tout Racamier alors même que vous n’aviez jamais ouvert un seul de ces livres ?
On vous écoute, ma réponse sera cinglante. Confusionniste un jour, confusionniste toujours !
Affabuler, cela veut dire « arranger la réalité à sa manière », donc, si j’affabule : où est-ce que je contesterais la définition du concept de déliaison ? Donner des liens qui attestent de faits et non pas de vos élucubrations de délirant pervers qui travestissent la réalité des faits et des actes de paroles ? Ce que je dis et que j’ai toujours maintenu, preuve à l’appui de la définition que donne Racamier de la pensée perverse, c’est que le concept de déliaison de Freud que vous citez n’a quasiment rien à voir avec l’emploi du terme « déliaison » qu’en fait Racamier lorsqu’il parle de pensée perverse dans son oeuvre. La déliaison dans le concept de pensée perverse de Racamier concerne, je cite texto sa définition : « la rupture des liens entre les personnes et les pensées ». C’est pourtant simple à comprendre, mais pas pour vous, manifestement. Et c’est très exactement cela que vous avez combattu en réassignant à cette réalité clinique (rupture des liens entre personnes et pensées = déliaison) selon un sens de votre propre crue qui MYSTIFIE totalement le concept de pensée perverse.
En foi de quoi et sur la base de cette mystification digne des plus grands imposteurs, vous pouvez ensuite écrire : « C’est une définition que j’ai pu vérifier maintes fois en observant vos agirs. »
Mais ce que vous observez de mes agirs sur la base de VOTRE définition PERVERTIE (inverse) de la pensée perverse n’est en fait que le reflet de vos PROPRES agirs. Un truc qu’il vous est impossible de comprendre tant vous avez l’esprit tordu. Les enfants normalement constitués comprennent cela très tôt : vous NON !
Je répète donc, pour les sourds et les malentendants : il n’y a de VRAIE définition de la déliaison que dans le contexte de son énonciation étant entendu que la plupart des mots sont polysémiques et que cette polysémie doit être éludée au regard du contexte. Or, le contexte de la définition psychanalytique du terme de déliaison, n’est pas celui de ce terme tel qu’il est utilisé par Racamier dans sa définition de la pensée perverse. C’est aussi simple que ça, mais encore une fois trop complexe pour celui qui mélange tout, baigne dans le confusionnisme le plus total et projette ensuite cette confusion chez autrui en étant incapable de la gérer lui-même. C’est là la définition exacte de la perversion narcissique (la définition de la pensée perverse que vous mystifiez ne vous sert qu’à justifier vos délires d’interprétation et vos persécutions).